En vrai y'a pas a avoir peur de ca.
Je dit pas que l'aluminium est inoffensif, mais il est la pour une raison précise, et la quantité est trop infime pour causer quoi que ce soit.
Je dit pas que le risque 0 n'existe pas (comme dans tout).
Mais c'est clairement moins risqué de vacciner, que de ne pas le faire.
Tu es médecin ?
As tu entendu parler des microbiotes humain?
Bactéries, métaux lourds et vaccins
Les enfants qui ne développent pas un microbiote normal sont beaucoup plus exposés aux effets indésirables des vaccins. Il se trouve aussi que la présence de métaux lourds modifie la composition du microbiote. Les autistes par exemple ont à la fois des problèmes avec les métaux lourds et avec les bactéries. Des travaux de recherche d’horizons très différents ont tous révélé une inflammation de la muqueuse intestinale.
Pour le Dr Stephen Walker, le vaccin ROR est susceptible, chez les individus dont l’écosystème intestinal est fragilisé, d’aggraver les dysfonctionnements et d’entraîner le passage dans le sang de molécules indésirables qui, en aval, iront perturber les circuits cérébraux. Ce qu’explique la théorie de l’hyperperméabilité intestinale, aujourd’hui largement documentée (1). La vaccination, additionnée à la consommation d’antibiotiques, entraîne une perturbation durable de l’écosystème intestinal et de l’immunité dont on commence seulement à mesurer l’ampleur.
Dans une publication de la Washington University de Saint-Louis en août 2014, on peut lire que les enfants prématurés naissent avec un microbiote dominé par des gammaproteobactéries, ce qui entraîne une réponse immunitaire défavorable à la vaccination corrélé à un risque plus élevé d’autisme. L’effet protecteur des bifidobactéries n’est pas encore développé à la naissance. Dans ces conditions, est-il raisonnable de vacciner les enfants prématurés selon le même calendrier que les enfants nés à terme ?
La bactérie Bacteroides fragilis a montré des capacités à améliorer certains symptômes autistiques. La recherche travaille à la mise au point de probiotiques qui pourraient être inclus dans la stratégie thérapeutique contre l’autisme. Une étude publiée en 2014 par l’American Society for Microbiology révèle que certaines souches probiotiques protègent les femmes enceintes – et donc le fœtus – des métaux lourds ingérés.
Les chercheurs américains du Pfeiffer Treatment Center ont découvert un lien entre l’autisme et l’activité des métallothionéines (MTs), des protéines qui jouent un rôle important à la fois dans l’évacuation des métaux lourds et dans le développement cérébral. Lorsque l’activité de ces protéines est diminuée, on constate à la fois une hypersensibilité aux métaux lourds ainsi que des symptômes qui cadrent avec les caractéristiques principales de l’autisme. Les MTs sont présentes au niveau du GALT, des glandes endocrines et des organes lymphoïdes, lesquels ne sont pas pleinement matures avant l’âge de deux ans.
Pour les chercheurs du MIT de Boston, expliquer la forte hausse de la prévalence de l’autisme par un meilleur diagnostic ne tient pas la route. Ils soulèvent que cette augmentation est due aux toxiques environnementaux. Deux d’entre eux suivent presque exactement la courbe de l’autisme : l’aluminium vaccinal et le glyphosate (molécule chère à Monsanto). En synergie, ils bloquent l’enzyme CYP sur l’axe intestin-foie, perturbant le métabolisme de la sérotonine, indispensable au cerveau mais aussi à l’intestin qui en a besoin pour se protéger de l’inflammatio