Emeutes à Alger, Tipaza, Djelfa, Oran...: l'Algérie gronde

Pasdetahleb

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Emeutes
Algérie: "Nous ne voulons plus de cette vie de chien"

De violents affrontements ont opposé de jeunes manifestants aux forces de l'ordre dans plusieurs villes algériennes mercredi soir, après une hausse de produits alimentaires en début d'année. Revue de presse.


Des émeutes ont éclaté ce mercredi dans plusieurs quartiers d'Alger (Bab El Oued, Casbah, Laquiba, Bachdjarah) où des dizaines de jeunes ont manifesté contre la récente flambée des prix de plusieurs produits alimentaires de base (sucre, huile et farine) rapporte Le Soir d'Algérie repris sur le site Algeria Watch. Des jeunes appellent à de nouvelle manifestations ce jeudi annonce le site Le quotidien d'Algérie qui a mis en ligne plusieurs vidéo des émeutes.


Les manifestations avaient commencé dans la petite ville de Douaouda, dans la wilaya (département) de Tipaza à l'ouest d'Alger dès mardi soir, rapporte Le Temps d'Algérie. La ville "a connu ses premières émeutes depuis ces vingt dernières années. Jamais les habitants de cette partie de la wilaya de Tipaza "n'ont manifesté avec une telle virulence", décrivent des témoins" cités par le journal.

Plus rien ne va nous retenir cette fois-ci

"Le quartier populaire de Bab El-Oued, est devenu ces derniers temps un véritable bastion pour la protestation populaire." explique El Watan qui témoigne de la colère des jeunes: "Plus rien ne va nous retenir cette fois-ci. La vie est devenue trop chère et la disette menace nos familles alors que les apparatchiks détournent des milliards et s'enrichissent sur notre dos. Nous ne voulons plus de cette vie de chien. Nous réclamons notre part aux richesses de ce pays". Le quotidien rapporte que de nombreux commerces sont restés fermés ce jeudi matin par crainte de nouvelles émeutes.


La contestation aurait gagné Oran souligne Le Soir d'Algérie: "des dizaines de citoyens à travers plusieurs quartiers populaires de la ville d'Oran, sont sortis dans la rue hier dans un mouvement spontané pour crier leur désarroi face à la flambée des prix des produits alimentaires de large consommation."

Les émeutes se sont propagées à plusieurs autres villes du pays. Le Matin cite notamment Djelfa, Boumerdes, Annaba, Tipaza, Staoueli, Fouka.

Source : http://www.lexpress.fr/actualite/mo...oulons-plus-de-cette-vie-de-chien_950298.html
 

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Les émeutes s’étendent à l’Ouest d’Alger :
Cheraga et Aïn Bénian secoués par des violences

Les émeutes qui ont secoué, mercredi 5 janvier dans la soirée le quartier de Bab El Oued, au centre d’Alger, se sont propagéd à d’autres quartiers, notamment à l’Ouest de la capitale. A Cheraga, plusieurs dizaines de manifestants du quartier Kathbane ont coupé dans la soirée la route menant vers le siège du commandement de la Gendarmerie nationale, a-t-on constaté sur place. Les manifestants ont brûlé des pneus et lancé des pierres en direction de la gendarmerie causant d’importants dégâts à leurs véhicules et blindés. Les gendarmes n’ont pas riposté mais les forces de l’ordre ont bouclé le quartier.

Selon des manifestants interrogés sur place, la principale cause de cette colère est la cherté de la vie. « Ils nous ont imposé de fermer nos gueules depuis plusieurs années et maintenant Bouteflika veut fermer nos bouches pour nous empêcher de manger », a expliqué un jeune manifestant en colère.

A Aïn Bénian, une autre commune de l’Ouest d’Alger, plusieurs dizaines de manifestants sont sortis mercredi soir dans la rue. Ils ont incendié des pneus en scandant des slogans hostiles au pouvoir, selon des témoins joints par téléphone. Là encore, les raisons de la colère sont liées à la cherté de la vie après la flambée des prix ces derniers jours.
 
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tassalat

Pasdetahleb à dit:
Les émeutes s’étendent à l’Ouest d’Alger :
Cheraga et Aïn Bénian secoués par des violences

Les émeutes qui ont secoué, mercredi 5 janvier dans la soirée le quartier de Bab El Oued, au centre d’Alger, se sont propagéd à d’autres quartiers, notamment à l’Ouest de la capitale. A Cheraga, plusieurs dizaines de manifestants du quartier Kathbane ont coupé dans la soirée la route menant vers le siège du commandement de la Gendarmerie nationale, a-t-on constaté sur place. Les manifestants ont brûlé des pneus et lancé des pierres en direction de la gendarmerie causant d’importants dégâts à leurs véhicules et blindés. Les gendarmes n’ont pas riposté mais les forces de l’ordre ont bouclé le quartier.

Selon des manifestants interrogés sur place, la principale cause de cette colère est la cherté de la vie. « Ils nous ont imposé de fermer nos gueules depuis plusieurs années et maintenant Bouteflika veut fermer nos bouches pour nous empêcher de manger », a expliqué un jeune manifestant en colère.

A Aïn Bénian, une autre commune de l’Ouest d’Alger, plusieurs dizaines de manifestants sont sortis mercredi soir dans la rue. Ils ont incendié des pneus en scandant des slogans hostiles au pouvoir, selon des témoins joints par téléphone. Là encore, les raisons de la colère sont liées à la cherté de la vie après la flambée des prix ces derniers jours.
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et comment se fait -il que ces manifs n'aient pas lieu pdt le mois du ramadhan alors que ces meme produits sont introuvales et leur prix et souvent x par 5 ??et au moment de l'aid lorques kebch voit son prix x par je ne sait combien???c'est vrai quand on aime on ne compte pas mais on est en droit de poser la question si ces manifs debouchent sur quelques chose de serieux ce serait pas mal (depart du nain par exemple) mais attention les gentils barbus ne sont pas loin
 
Pasdetahleb

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Emeutes à Bordj El Kiffan, tension extrême à Alger centre (Actualisé à 16h55)


Des émeutes ont éclaté jeudi après midi à Bordj El Kiffan, dans le quartier la « Verte rive », a-t-on appris auprès des habitants. La route qui mène à Bordj El Bahri depuis les Bananiers est coupée à la circulation. Une voiture de police a barré la route, indiquant aux automobilistes de faire demi-tour. «J’ai vu des automobilistes faire demi-tour sur l’autoroute », affirme un automobiliste. Les émeutes touchent les quartiers dits « Verte rive » et « Bateau cassé » situés entre Bordj El Kiffan et Bordj El Bahri.

A Alger-centre, une tension extrême règne en début d’après-midi, sur fond de rumeurs sur des émeutes dans plusieurs quartiers de la capitale et surtout sur la volonté des jeunes de Bab El Oued de marcher sur le centre-ville ce soir. Dans la matinée, des rumeurs ont fait état d’émeutes dans plusieurs quartiers de la capitale : Belcourt, Kouba, Bachdjerrah et même une reprise à Bab El Oued. Mais souvent il ne s’agissait que d’attroupements de jeunes.

A 15h45, de nombreux magasins étaient déjà fermés au niveau des rues Larbi Ben Mhidi et Didouche Mourad et la circulation automobile est inhabituellement fluide dans le centre-ville, a-t-on constaté sur place. Les rues étaient presque vides. Les banquiers ont reçu l’ordre de prendre toutes les précautions nécessaires pour éviter des vols en cas d’émeutes.

A 16h30, des émeutes ont éclaté dans le quartier du « Lido » à Bordj El Kiffan. Les forces de l'ordre sont intervenues pour dégager la route bloquée par les manifestants, selon des habitants.
 
ould khadija

ould khadija

fédalien
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tassalat à dit:
et comment se fait -il que ces manifs n'aient pas lieu pdt le mois du ramadhan alors que ces meme produits sont introuvales et leur prix et souvent x par 5 ??et au moment de l'aid lorques kebch voit son prix x par je ne sait combien???
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Questions pertinentes !
Sans doute il y a un malaise sociale en Algérie (comme dans tous les autres pays du Maghreb ) mais le timing de ce ras le bol des jeunes algériens ne me parait pas fortuit !
Et d'abord qui a poussé à ces émeutes ?
Qui plus est, le silence "pesant" des autorités sur ces événements n'arrange pas les "choses" !

N'est on pas plutôt en train d'assister à une guerre des clans pour la succession de Bouteflika, guerre dans laquelle les uns et les autres utilisent la Rue ...pour arriver à leur fin !
 
Erolisk

Erolisk

VIB
ould khadija à dit:
Questions pertinentes !
Sans doute il y a un malaise sociale en Algérie (comme dans tous les autres pays du Maghreb ) mais le timing de ce ras le bol des jeunes algériens ne me parait pas fortuit !
Et d'abord qui a poussé à ces émeutes ?
Qui plus est, le silence "pesant" des autorités sur ces événements n'arrange pas les "choses" !

N'est on pas plutôt en train d'assister à une guerre des clans pour la succession de Bouteflika, guerre dans laquelle les uns et les autres utilisent la Rue ...pour arriver à leur fin !
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la FAO a sorti son dernier rapport, il en ressort que l'inflation sur les denrées alimentaires est à son paroxysme dans plusieurs pays du monde, et bien sûr ce sont ceux qui dépendent le plus de l'extérieur pour leurs besoins alimentaires qui casqueront le plus.
 
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Bab El Oued, Eucalyptus, Hussein Dey, Bainem, Ain Beniane…
Reprise des émeutes dans plusieurs quartiers d’Alger


Après un calme précaire qui aura duré quelques heures ce jeudi 6 janvier, les émeutes ont repris en début de soirée dans le quartier de Bab El Oued à Alger pour le 2e jour consécutif. Selon des témoins sur place, les manifestants ont une nouvelle fois tenté de s’attaquer au commissariat du « cinquième » dans le quartier des Trois horloges. Les policiers ont fait usage des bombes lacrymogènes pour disperser les manifestants, ont précisé ces sources. Des détonations ont été entendues dans le quartier. Mais nous n’avons pas pu connaître leur origine.

Aux Eucalyptus, dans la commune de Baraki à l’est d’Alger, les manifestants ont incendié le siège de l’APC en début de soirée. Ils ont fermé la route nationale RN8 menant vers Larbaa provoquant un blocage de la circulation routière. La police est intervenue en usant de bombes lacrymogènes.

Des affrontements ont éclaté à Hussein Dey. Un bus de l’ETUSA a été brûlé dans le quartier El Afia à Kouba. Des échauffourées sont également signalées à Bab Ezzouar. A Aïn Beniane, dans l’ouest d’Alger, des manifestants sont sortis dans les rues vers 19 heures, brûlant des pneus et plaçant des barricades. Vers 20 heures, la police n’était toujours pas intervenue.Des manifestants sont également sortis dans la rue à Bainem.

Dans l’après midi, les forces antiémeutes se sont positionnées en force dans les principales artères d’Alger. Un vent de panique s’est emparé des commerçants. Tous ont baissé rideau notamment dans les principales rues Larbi Ben M’Hidi, Didouche Mourad, Hassiba Ben Bouali et Abane Ramdane. La circulation s’est subitement fluidifiée et beaucoup de passants se sont empressés de rejoindre leurs domiciles. Les entreprises ont libéré leurs employés plus tôt que d’habitude. Le tout sur fond de rumeur sur d’imminentes manifestations dans la nuit et dans tous les quartiers.

Source : http://www.tsa-algerie.com/divers/reprise-des-emeutes-dans-plusieurs-quartiers-d-alger_13595.html
 
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L’autoroute Est-Ouest rouverte à la circulation à Lasnam
Bouira : violents affrontements en centre ville

Des affrontements ont éclaté, jeudi 6 janvier dans la soirée, dans le centre ville de Bouira. Vers 20 heures, plusieurs centaines de jeunes ont coupé à la circulation plusieurs rues dans des quartiers de la ville comme Draa El Bordj, Khezane Elma, 1100 logements et Harkat. Les manifestants ont brûlé des pneus et dressé des barricades en scandant des slogans contre la cherté de la vie.

Des affrontements ont éclaté entre les manifestants et les forces de l’ordre. La police a reçu d’importants renforts qui lui ont permis de faire face aux manifestants et de les disperser à coups de gaz lacrymogènes. Au moins deux policiers ont été blessés. Ils ont été victimes de jets de pierres alors qu’ils se trouvaient dans leur véhicule.

D’importants dégâts matériels ont également été enregistrés. La façade de l’office de promotion immobilière, situé dans le quartier des 1100 logements, a été endommagée. Les locaux de plusieurs entreprises publiques ont été ciblés par les jets de pierres des manifestants. Vers 22h30, les affrontements se poursuivaient notamment à Khazane Elma. D’importants renforts policiers ont été déployés à proximité du siège de la wilaya, de la radio et de l’agence Djezzy.

Par ailleurs, l’autoroute Est-Ouest a été rouverte à la circulation à Lasnam, dans la wilaya de Bouira, par les unités antiémeutes de la gendarmerie nationale. Vers 16h30, des habitants de Ahl El Ksar avaient fermé l’autoroute à la circulation avec des pneus brûlés et des barricades.

TSA
 
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URGENT : reprise ce soir des émeutes à Alger

Les nouvelles qui nous parviennent d’Alger sont alarmantes.

A l’heure actuelle le quartier de Belouizdad est en proie à un violent mouvement de révolte des jeunes, après celui de la nuit dernière où le musée du 11 décembre 60 avait été saccagé ainsi que des cabines téléphoniques et certains magasins. En ce moment de nombreux pneus enflammés jonchent les rues. Un impressionnant dispositif des brigades anti-émeutes est déployé. Un autre convoi de plus de 20 véhicules vient d’arriver en renfort.
A la rue Hassi BenBouali, près du Moulin, des affrontements ont lieu actuellement avec les services de sécurité.
A El Biar, des affrontements ont lieu actuellement à la place centrale, près de la mosquée. Les brigades anti-émeutes répliquent par des bombes lacrymogènes. Il y a également des affrontements à Kouba et même dans le quartier de Hydra. Des informations font état de violents affrontement à El Hamiz et à Bab Ezzouar ou des coups de feu sont entendus actuellement (19h30, ce jeudi 06 janvier)
A Aïn Benian et Raïs Hamidou, les routes sont bloquées actuellement par des pneus enflammés.
A Bab El Oued, reprise actuellement des affrontements. Les rues principales sont occupées par les jeunes manifestants. De nombreux foyers d’incendie sont visibles sur les routes barricadées.
Selon de nombreux témoins sur place, les forces de l'ordre évitent, autant que possible, les affrontements direct avec les jeunes émeutiers.

source : http://www.lematindz.net/news/3581-urgent-reprise-ce-soir-des-emeutes-a-alger.html
 

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L’armée prête à intervenir

De nombreux observateurs ont constaté ce soir une très grosse concentration de troupes de l’ANP (armée nationale populaire) et particulièrement des parachutistes, des troupes d’infanterie et des blindés légers sur l’autoroute entre Benaknoun et Oued Smar. Il est certain que ces éléments vont être déployés dans les points névralgiques de la capitale. Cette intervention de l’armée est tout à fait plausible en ce sens que l’état d’urgence est toujours en vigueur et ne nécessite pas une quelconque règlementation.

Les évènements actuels sont entrain de prendre une ampleur qui rappelle étrangement les émeutes d’octobre 88. La plupart des communes situées à l’Est et à l’Ouest d’Alger sont secouées à l’heure actuelle par de violentes émeutes et des affrontements avec les forces de police qui semblent dépassées par l’ampleur prise par ce mouvement. L’armée saura t-elle ramener le calme ?

Source : http://www.algerie-plus.com/actualite/larmee-prete-a-intervenir/
 
G

gazolet2003

Citoyennes et citoyens Algerien le moment est venue. Y en a marre des bla bla bla. Nous somme gouverner depuis 1962 par les même voleurs. Ils promettent des monts et des merveilles depuis x temps.DES PREUVES?? Regarder la cité de la mer à Oran investissement étranger. La baie d'alger investissement privé. L'Opéra d'Alger offert par les Chinois etc etc. Ils ne savent qu'acheter des armes pour garder leurs mains mise sur le pays. Cette révolte n'est pas vraiment la hausse des prix, encore du bla bla bla.Depuis quelques temps déja on observe des petites émeutes par ci par là. En Algérie il n'y a pas d'avenir pour nos enfants non rien.Ils vont finir par vendre notre pays a des industriels étranger. Pour obtenir que l'algérien soit de simple ouvrier. C'est se qu'ils sont entraint de faire en se moment. Montage de voitures étrangère sur notre sol. Industrie de l'aluminium confier à un étranger etc etc. Tout cela dans l'espoir d'obtenir une paix social. Pfff foutaise tout ça. Les bénéfices engendrer par cette nouvelle politique de la soit disant industrialisation du pays sera pour eux et les etranger. Le peuple Algérien n'aura encore que les miètes. Peuple Algérien réveiller vous car lorsque il n'y aura plus la mane pétrolier vos politiques actuel auront pris le large. A BON ENTENDEUR
 
R.Chakib

R.Chakib

Artist
Pasdetahleb à dit:
L’armée prête à intervenir

De nombreux observateurs ont constaté ce soir une très grosse concentration de troupes de l’ANP (armée nationale populaire) et particulièrement des parachutistes, des troupes d’infanterie et des blindés légers sur l’autoroute entre Benaknoun et Oued Smar. Il est certain que ces éléments vont être déployés dans les points névralgiques de la capitale. Cette intervention de l’armée est tout à fait plausible en ce sens que l’état d’urgence est toujours en vigueur et ne nécessite pas une quelconque règlementation.

Les évènements actuels sont entrain de prendre une ampleur qui rappelle étrangement les émeutes d’octobre 88. La plupart des communes situées à l’Est et à l’Ouest d’Alger sont secouées à l’heure actuelle par de violentes émeutes et des affrontements avec les forces de police qui semblent dépassées par l’ampleur prise par ce mouvement. L’armée saura t-elle ramener le calme ?

Source : http://www.algerie-plus.com/actualite/larmee-prete-a-intervenir/
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L'armée ne fera qu'augmenter leur colere vu que le peuple deja souffre le martir de peur d'etre égorger à n'importe quel moment et ça depuis longtemps ...
 
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Bab El Oued : arrestations, blessés et rumeurs sur la reprise des émeutes

Un calme précaire régnait vendredi en fin de matinée dans le quartier populaire de Bab El Oued à Alger, d’où est partie la contestation sociale, mercredi, a-t-on constaté sur place. La police a considérablement renforcé sa présence notamment au niveau de la rue Basta Ali, d’où les émeutes ont commencé, il y a deux jours.

L’étincelle des émeutes a été allumée à la rue Basta Ali, à Bab El Oued, par des jeunes tenant des tables sur les trottoirs. La décision des autorités de les chasser de la voie publique dans le cadre de la lutte contre l’économie informelle a mis le feu aux poudres, selon des témoignages d’habitants recueillis sur place.

Devant le commissariat du 5e arrondissement, rue Ibrahim Ghrafa, des dizaines de familles étaient rassemblées pour réclamer la libération de leurs enfants arrêtées depuis le début des émeutes contre la cherté la vie (voir photo).

« Mon fils de 18 ans a été arrêté par la police alors qu’il fuyait les émeutes pour rentrer à la maison », affirme Samia, debout, avec un panier plein de denrées alimentaires, qu’elle veut remettre à son enfant, en garde à vue dans le commissariat. « La police ne veut pas me laisser voir mon fils qui n’a rien mangé depuis mercredi », déplore-t-elle. « Mon frère Fathi a été arrêté alors qu’il se trouvait à l’intérieur de la concession Renault » de Triolet, saccagé par les manifestants mercredi, explique pour sa part Mohamed.

Des familles ont dénoncé l’arrestation de leurs enfants qui ont simplement exprimé leur ras-le-bol de la cherté de la vie et de la misère. « Les vrais casseurs n’ont pas été arrêtés », fulmine Khadidja. « La police a arrêté des jeunes qui cherchaient à renter chez eux et qui n’ont pas participé à la casse », poursuit-elle.

Des rumeurs circulent sur le retour des émeutes ce soir. « Si la police ne libère pas les manifestants arrêtés, on ne s’arrêtera pas », affirme un jeune. Par ailleurs, l’hôpital Mohamed Lamine Debaghine (ex-Maillot) a accueilli de nombreux blessés parmi les forces antiémeutes.

TSA
 
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Hausse des prix : un conseil interministériel samedi

Un Conseil interministériel se tiendra, samedi 8 janvier, a annoncé vendredi le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, cité par l’agence APS. Cette réunion sera consacrée à la hausse des prix des principaux produits de consommation. Le gouvernement se penchera notamment sur les textes d'application des lois relatives à la concurrence et aux pratiques commerciales, notamment l'aspect relatif à la définition des marges bénéficiaires des produits de large consommation, a précisé le ministre.


La hausse des prix est à l’origine depuis mercredi de violentes émeutes dans plusieurs régions du pays, notamment Alger. A l’origine de cette flambée, il y a l'augmentation du prix des produits sur les marchés internationaux. Mais pas seulement : en Algérie, la décision des grossistes de facturer la TVA aux détaillants pour se conformer aux nouvelles lois sur la distribution a contribué fortement à cette hausse. Le gouvernement pourrait annoncer samedi l’abandon des nouvelles mesures destinées à lutter contre le commerce informel.

TSA
 
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Reprise des affrontements vendredi après-midi à Tizi Ouzou

Des affrontements ont opposé, vendredi 7 janvier dans l’après-midi, des manifestants aux forces de l’ordre en centre ville de Tizi Ouzou, a-t-on constaté sur place. Plusieurs dizaines de jeunes ont incendié des pneus et dressé des barricades dans plusieurs rues de la ville notamment la rue Lamali et le quartier des genêts.

Les manifestants ont affronté les forces de l’ordre à coups de pierres et de projectiles. Les forces antiémeutes ont utilisé des grenades lacrymogènes pour disperser les manifestants. Vers 15h30, les affrontements ont baissé en intensité. Mais la situation était tendue. Jeudi soir, la ville de Tizi Ouzou avait connu sa première nuit d’émeutes.

TSA
 
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Emeutes à Oran
Reprise des affrontements après la prière du vendredi

Des manifestations populaires sporadiques ont repris cet après-midi après la prière du vendredi, notamment dans le centre-ville où les émeutiers brulant des pneus et des poubelles en plastique, ont investi la rue d’Arzew. Les violences ont également repris dans les quartiers populaires d’El-Hamri et de Petit Lac. Des éléments de la brigade anti-émeute ont été déployés à travers toute la ville d’Oran pour dissuader les jeunes manifestants. Ces derniers ont bravé le dispositif sécuritaire pour sortir dans la rue et exprimer leur désarroi face à la dégradation du pouvoir d’achat, avant d’être chargés par les policiers.

A l’heure actuelle (15H30), aucune interpellation n’est à signaler alors que des sources hospitalières font état de 22 policiers blessés depuis le début des évènements, c'est-à-dire mercredi dernier. Depuis ce jour, Oran, devenue ville morte à cause des commerces qui ont baissé leurs rideaux, vit une forte tension. Des obstacles jonchent la chassée au niveau de la rue d’Arzew. Les commerçants ont barricadé leurs locaux. Mêmes chose à Petit Lac et El-Hamri.

Le climat de tension est en train de se propager à travers toute la ville où des regroupements de jeunes sont remarqués. La ville est depuis plusieurs heures paralysées par l’absence de transports et de commerces. Manifestement l’appel au calme des imams lors de la prière de ce vendredi ne semble pas avoir trouvé d'écho auprès des jeunes émeutiers. Des éléments de la gendarmerie nationale sont déployés au niveau d’un tronçon de la RN11 près de Gdyel à 20 km à l'est d’Oran.
 
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Des affrontements pour la première fois à Annaba

Les émeutes ont gagné Annaba, vendredi en début d’après-midi. Juste après la prière du vendredi, comme si elles obéissaient à un mot d’ordre, des centaines de personnes ont pris possession de la voie publique. Il en a été ainsi dans les quartiers populeux de Didouche Mourad, Oued Eddeheb, Pont Blanc et 8 mai 45. Dépêchées sur les lieux, les brigades antiémeutes sont intervenues en faisant usage de tirs de bombes à gaz lacrymogène sous une pluie de cailloux lancés par les émeutiers.
Au même moment, quelques attroupements de jeunes ont été observés du côté de la vieille ville et de Beni M’haffeur quartiers à forte concentration de populations démunies. Ils ont été rapidement dispersés par des policiers arrivés sur les lieux. Alors que l’hélicoptère de la gendarmerie nationale n’a pas cessé de survoler la commune chef-lieu de wilaya, les rangs des émeutiers grossissaient devant les éléments de la police anti émeutes. Ces derniers répondaient par des tirs de bombes lacrymogène aux tentatives des émeutiers de confectionner d’autres barrages de Pneus et autres objets hétéroclites incendiés ainsi que les jets de projectiles.

TSA
 
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Les affrontements reprennent à Alger

Les affrontements ont repris vendredi après-midi dans certains quartiers d’Alger. A Belcourt, des heurts opposent depuis le milieu d’après-midi des manifestants forces antiémeutes. Ces dernières tentent depuis plus d’une heure de disperser les manifestants à l'aide de gaz lacrymogènes. Actuellement l’avenue de Mohamed Belouizdad est toujours fermé à la circulation.

D’après des témoins, des émeutes ont éclaté à la Place du 1er mai, à proximité de la station de bus de l’Etusa. D'autres quartiers de la capitale connaissent une vive tension.

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Msila : Les émeutiers demandent la dissolution des chambres (APN et Senat) et la démission du ministre du Commerce

Des centaines de manifestants se sont rassemblés aujourd’hui vendredi 07 janvier au niveau de l’avenue de la liberté et ont demandé au président de la république de procéder à la dissolution des deux chambres (APN et SENAT), et la démission du ministre du commerce.

Les trois institutions, à leurs yeux, ont fait preuve d’incompétence devant la détérioration des conditions de vie.

Les affrontements ont repris juste après la prière du vendredi sur l’ensemble du quartier entre les gendarmes et les émeutiers.

Les services de sécurité semblent être dépassés par les événements. Il a été enregistré au niveau de l’hôpital Zahraoui 50 blessés entre policiers et gendarmes. Plus de 100 interpellations ont été effectuées parmi les émeutiers.

L’agence postale de la cité a été saccage et pillé, l’institut national de la formation professionnelle n’a pas été en reste, des voitures, et des bureaux saccagés.

El watan
 
gladis

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Issad Rebrab: Nous n’avons pas augmenté les prix du sucre et de l’huile !

3 questions à Issad Rebrab. PDG du groupe Cevital sur le prix du sucre et l’huile en Algérie


- Vous êtes accusé d’avoir augmenté les prix de l’huile et du sucre…

Cevital a été montré du doigt alors que nous sommes les seuls à ne pas avoir augmenté nos prix cette année d’un centime, tandis que les autres opérateurs l’ont fait. Que ce soit le sucre ou l’huile. Nous avons encore notre stock, que nous avions acheté avant la flambée des prix.

- Qu’est-ce qui explique cette augmentation chez les grossistes ?

Le décret qui entrera en vigueur le 31 mars 2011 et qui oblige les opérateurs à procéder au paiement par chèque de tout montant global supérieur à 500 000 DA contraint désormais les grossistes à déclarer des impôts, ce qu’ils ne faisaient pas avant. Du coup, ils augmentent leur marge bénéficiaire, ce qui se répercute sur les prix.

- L’UGCA a plaidé pour un plafonnement des prix des produits de large consommation, est-ce la solution?

Je pense que l’Etat trouvera une solution adéquate pour gérer cette crise. Il y a plusieurs taxes en Algérie sur l’huile et le sucre, qu’il est possible de diminuer ou de supprimer.
 

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FPP75

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Je rêve du jour ou le peuple du Maghreb vire tous les despotes, et crée la République Fédérale du Maghreb, démocrate et laique !!!!!!!!!

Oui je sais, c'est un rêve !!! ou une utopie plutôt !!
 
Courir

Courir

Tas beau courir, Tu ne me rattrapes pas
VIB
Ses événements sont du au niveau intellectuels de ceux qui gouvernent
Malgré la richesse
Le niveau est très bas des ministres !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
 
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