droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
La femme est l'égal de l'homme :Ca a toujours été mondial. Les hommes ne sont pas parfaits, les femmes "presque"
Pédophilie: les femmes aussi - L'Express
Fillette enlevée et tuée à calais : sa mère témoigne (vous voyez )
- Initiateur de la discussion remake
- Date de début
Pédophilie: les femmes aussi - L'Express
D'où le presque concernant la pédophilie.
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Ben je pensais justement aux 3% mentionnés dans votre lien, c'est à dire celles qui sont condamnées. Pas d'arrière pensée feministes lolDonnez moi vos sources concernant le presque.
Seriez vous communautariste ?
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Dommage, j'aime bien les féministes .Ben je pensais justement aux 3% mentionnés dans votre lien, c'est à dire celles qui sont condamnées. Pas d'arrière pensée feministes lol
Les vrais reconnaissent que l'égalité sera effective quand elles auront le droit d'être AUSSI ( pas presque ) co.nne que les hommes.
Les FEMEN seraient donc à un stade d'évolution plus grand que la majorité
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Certains hommes ont besoin pour s'affirmer de mettre leurs gonades sur la table, elles font de même . L'égalité est en marche.Les FEMEN seraient donc à un stade d'évolution plus grand que la majorité
Moi, j'avoue une faiblesse à leur égard.
Elles, au moins, elles ont des cojones.
Pas mal de bladinautes ne peuvent pas en dire autant.
Hier, sur Arte : pourquoi la femme est plus petite que l'homme ?
Avec un peu de chance, vous le chopperez sur pluzz : ça bouscule, ça dérange, ça agite.
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
J'avouerai une faiblesse autre que physique pour elles, le jour où j'en aurai saisi le fondement
Je ne me crois pas assez outillé pour pouvoir saisir le fondement des fémen.J'avouerai une faiblesse autre que physique pour elles, le jour où j'en aurai saisi le fondement
Personne n'y saisit rien.
Les "réseaux dits sociaux" ont encore frappé
Disparition : Inès, 15 ans, a été séquestrée et prostituée durant sa fugue.
Inès, 15 ans, avait fugué du domicile familial situé à Roanne, dans la Loire, le 24 mars dernier.
Ce jour là, l'adolescente a pris le train à la gare de Lyon Part-Dieu en direction de Paris. Puis, elle s'est volatilisé.
Dans un premier temps, les enquêteurs ont pensé que la jeune fille était partie faire le Jihad, avant d'abandonner cette piste.
En fait, Inès a été retrouvée vivante en région parisienne, dans les Hauts-de-Seine, à la fin du mois d'avril.
Elle se trouvait au domicile d'un couple, qui est soupçonné de l'avoir séquestrée et prostituée. Lorsqu'on l'a retrouvé, Inès « avait les cheveux coupés, teints. Ils l'ont fait travailler » a témoigné sa maman sur France Bleu.
Selon le parquet de Nanterre, en charge de l'affaire, le couple était entré en contact avec Inès via les réseaux sociaux.
L'homme et la femme ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour proxénétisme aggravé.
Disparition : Inès, 15 ans, a été séquestrée et prostituée durant sa fugue.
Inès, 15 ans, avait fugué du domicile familial situé à Roanne, dans la Loire, le 24 mars dernier.
Ce jour là, l'adolescente a pris le train à la gare de Lyon Part-Dieu en direction de Paris. Puis, elle s'est volatilisé.
Dans un premier temps, les enquêteurs ont pensé que la jeune fille était partie faire le Jihad, avant d'abandonner cette piste.
En fait, Inès a été retrouvée vivante en région parisienne, dans les Hauts-de-Seine, à la fin du mois d'avril.
Elle se trouvait au domicile d'un couple, qui est soupçonné de l'avoir séquestrée et prostituée. Lorsqu'on l'a retrouvé, Inès « avait les cheveux coupés, teints. Ils l'ont fait travailler » a témoigné sa maman sur France Bleu.
Selon le parquet de Nanterre, en charge de l'affaire, le couple était entré en contact avec Inès via les réseaux sociaux.
L'homme et la femme ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour proxénétisme aggravé.
Que fait la justice ? le gouv de collabos .
***
Vendredi de la semaine dernière, une étudiante rentrait à son domicile situé dans le 2ème arrondissement de Lyon, lorsque l'individu, qui la suivait, est entré avec elle dans l'immeuble.
Ce dernier, ganté et casqué, a demandé à la jeune femme de se déshabiller, sous la menace d'un couteau à pain.
Il l'a ensuite contrainte à lui pratiquer une *********, tout en filmant avec son téléphone portable.
Un suspect a été identifié grâce à son ADN. Ce dernier, âgé de 30 ans, est déjà bien connu des services de police.
Il a été condamné pour au moins 70 infractions et délits tels que des vols, des violences et même une incursion dans des vestiaires de femmes. Il était sorti de prison en janvier.
Placé en garde à vue, le trentenaire a tenté en vain de faire croire aux policiers que la victime était consentante, avant de faire des aveux complets.
Il a été placé en détention provisoire.
PS: Ou est le suivi gouv de collabos responsable des crimes . Dieu est il aveugle ?
Lyon : le violeur présumé dune étudiante écroué
***
Vendredi de la semaine dernière, une étudiante rentrait à son domicile situé dans le 2ème arrondissement de Lyon, lorsque l'individu, qui la suivait, est entré avec elle dans l'immeuble.
Ce dernier, ganté et casqué, a demandé à la jeune femme de se déshabiller, sous la menace d'un couteau à pain.
Il l'a ensuite contrainte à lui pratiquer une *********, tout en filmant avec son téléphone portable.
Un suspect a été identifié grâce à son ADN. Ce dernier, âgé de 30 ans, est déjà bien connu des services de police.
Il a été condamné pour au moins 70 infractions et délits tels que des vols, des violences et même une incursion dans des vestiaires de femmes. Il était sorti de prison en janvier.
Placé en garde à vue, le trentenaire a tenté en vain de faire croire aux policiers que la victime était consentante, avant de faire des aveux complets.
Il a été placé en détention provisoire.
PS: Ou est le suivi gouv de collabos responsable des crimes . Dieu est il aveugle ?
Lyon : le violeur présumé dune étudiante écroué
Je suis contre la peine de mort parce qu'elle déshumanise le condamné or son acte est horrible et inhumain de ce fait il faut lui ôter son humanité donc il faut le condamner à mort
Pour les tueurs d'enfants je vois qu'une seule sentence : la peine capitale
Pour les tueurs d'enfants je vois qu'une seule sentence : la peine capitale
Réseau d'enlèvement .
Eludine, 22 ans, a disparu depuis le mardi 5 mai.
Ce jour là, vers 7H45, elle a quitté précipitamment le domicile familial situé à Allinges, en Haute-Savoie, pour se rendre à son travail à Bons-en-Chablais.
Aux environs de 13H00, elle a donné des nouvelles à sa maman qui est souffrante. Et, depuis, on n'a plus aucun signe de vie.
"Un silence qui ne lui ressemble pas du tout" a indiqué son père. Ce dernier a expliqué, dans le Dauphiné Libéré, que sa fille a l'habitude de les appeler très régulièrement pour donner de ses nouvelles.
"Elle devait faire le plein de sa voiture et m’a dit être pressée. Éludine est partie sans bagage ; rien n’indique qu’elle ne rentrerait pas" a précisé sa maman sur le quotidien.
La jeune femme possède une Citroën Berlingo bleu immatriculée 3491XK74. Elle a les cheveux bruns et les yeux bleus. Elle mesure 1,72 m pour 58 kg.
Toute personne pouvant fournir des information peut contacter les enquêteurs au 04 50 36 11 02
Eludine, 22 ans, a disparu depuis le mardi 5 mai.
Ce jour là, vers 7H45, elle a quitté précipitamment le domicile familial situé à Allinges, en Haute-Savoie, pour se rendre à son travail à Bons-en-Chablais.
Aux environs de 13H00, elle a donné des nouvelles à sa maman qui est souffrante. Et, depuis, on n'a plus aucun signe de vie.
"Un silence qui ne lui ressemble pas du tout" a indiqué son père. Ce dernier a expliqué, dans le Dauphiné Libéré, que sa fille a l'habitude de les appeler très régulièrement pour donner de ses nouvelles.
"Elle devait faire le plein de sa voiture et m’a dit être pressée. Éludine est partie sans bagage ; rien n’indique qu’elle ne rentrerait pas" a précisé sa maman sur le quotidien.
La jeune femme possède une Citroën Berlingo bleu immatriculée 3491XK74. Elle a les cheveux bruns et les yeux bleus. Elle mesure 1,72 m pour 58 kg.
Toute personne pouvant fournir des information peut contacter les enquêteurs au 04 50 36 11 02
Ça continue
**
Reuters
Cela s'est joué à quelques secondes. Une mère de famille a évité l'enlèvement de sa fille de 4 ans, mardi 26 mai, alors que l'enfant était déjà installé sur le siège passager de la voiture de son ravisseur, à Bourgoin-Jallieu (Isère).
La scène se déroule à la sortie de l'école Boussieu, en fin d'après-midi. Alors que la mère d'une écolière discute avec une enseignante, elle se rend compte que sa fille, Maëlys, n'est plus à ses côtés. Elle interroge d'autres parents, qui lui indiquent que la petite a continué de marcher "sur quelques mètres", indique
Le Dauphiné Libéré.
La police recherche l'auteur de l'enlèvement raté
Un peu plus loin, le conducteur d'une Mercedes beige a invité Maëlys à monter dans sa voiture. La mère aperçoit sa fille et se rue vers le véhicule pour ouvrir la portière et arracher Maëlys à son ravisseur. Le véhicule démarre à toute vitesse, sans l'enfant.
Depuis, la police recherche toujours l'auteur de cet enlèvement manqué, en exploitant notamment les données enregistrées par une caméra de vidéosurveillance. Selon Le Dauphiné Libéré, il s'agirait d'un quinquagénaire, chauve, avec des lunettes. Si l'enquête piétine, un appel à témoins pourrait être lancé pour tenter de retrouver sa trace.
**
Reuters
Cela s'est joué à quelques secondes. Une mère de famille a évité l'enlèvement de sa fille de 4 ans, mardi 26 mai, alors que l'enfant était déjà installé sur le siège passager de la voiture de son ravisseur, à Bourgoin-Jallieu (Isère).
La scène se déroule à la sortie de l'école Boussieu, en fin d'après-midi. Alors que la mère d'une écolière discute avec une enseignante, elle se rend compte que sa fille, Maëlys, n'est plus à ses côtés. Elle interroge d'autres parents, qui lui indiquent que la petite a continué de marcher "sur quelques mètres", indique
Le Dauphiné Libéré.
La police recherche l'auteur de l'enlèvement raté
Un peu plus loin, le conducteur d'une Mercedes beige a invité Maëlys à monter dans sa voiture. La mère aperçoit sa fille et se rue vers le véhicule pour ouvrir la portière et arracher Maëlys à son ravisseur. Le véhicule démarre à toute vitesse, sans l'enfant.
Depuis, la police recherche toujours l'auteur de cet enlèvement manqué, en exploitant notamment les données enregistrées par une caméra de vidéosurveillance. Selon Le Dauphiné Libéré, il s'agirait d'un quinquagénaire, chauve, avec des lunettes. Si l'enquête piétine, un appel à témoins pourrait être lancé pour tenter de retrouver sa trace.
Dernière édition:
Réseau de crapules au service de crapules .
****
Saint-Avold : un homme tente d'enlever une ado de 15 ans
La scène s'est produite mercredi midi à Saint-Avold, en Moselle. Une jeune fille, âgée de 15 ans, est descendue du bus scolaire et rentrait chez elle à pieds.
Alors qu'elle se trouvait à 200 mètres de son domicile, une camionnette blanche s'est portée à sa hauteur. Le chauffeur, âgé environ de 25 ans, lui a demandé l’heure.
L'adolescente lui a répondu, mais a trouvé la question bizarre car, normalement, toutes les voitures sont munies d'une horloge.
Puis le conducteur s'est montré plus entreprenant : « Vous êtes charmante ! », avant de lui donner l'ordre de monter dans son véhicule.
Prise de panique, la collégienne a arrêté une voiture qui passait et, par chance, il s'agissait d'un ami. Ce dernier a appelé tous ses copains qui sont partis à la recherche de cette camionnette. En vain.
La victime a ensuite porté plainte dans l'après-midi. Une enquête a été ouverte et des témoins ont vu aperçu ce véhicule errer devant le lycée Metzinger, à quelques centaines de mètres du lieu de la tentative d'enlèvement et peu de temps après.
La vidéosurveillance de la ville va être étudiée pour tenter d'identifier le suspect.
source : http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/05/27/saint-avold-une-ado-echappe-a-un-enlevement
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Saint-Avold : un homme tente d'enlever une ado de 15 ans
La scène s'est produite mercredi midi à Saint-Avold, en Moselle. Une jeune fille, âgée de 15 ans, est descendue du bus scolaire et rentrait chez elle à pieds.
Alors qu'elle se trouvait à 200 mètres de son domicile, une camionnette blanche s'est portée à sa hauteur. Le chauffeur, âgé environ de 25 ans, lui a demandé l’heure.
L'adolescente lui a répondu, mais a trouvé la question bizarre car, normalement, toutes les voitures sont munies d'une horloge.
Puis le conducteur s'est montré plus entreprenant : « Vous êtes charmante ! », avant de lui donner l'ordre de monter dans son véhicule.
Prise de panique, la collégienne a arrêté une voiture qui passait et, par chance, il s'agissait d'un ami. Ce dernier a appelé tous ses copains qui sont partis à la recherche de cette camionnette. En vain.
La victime a ensuite porté plainte dans l'après-midi. Une enquête a été ouverte et des témoins ont vu aperçu ce véhicule errer devant le lycée Metzinger, à quelques centaines de mètres du lieu de la tentative d'enlèvement et peu de temps après.
La vidéosurveillance de la ville va être étudiée pour tenter d'identifier le suspect.
source : http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/05/27/saint-avold-une-ado-echappe-a-un-enlevement
Avignon : il lui soulève la jupe et lui arrache sa culotte en pleine rue.
U n homme a été interpellé mardi 9 juin après-midi en Avignon après avoir soulevé le jupe d'une femme et lui avoir arraché sa culotte en pleine rue et devant témoins.
Le trentenaire, originaire d'Algérie et hébergé par un cousin depuis un mois sur Avignon, n'était pas coutumier du fait. Pourtant, mardi 9 juin, dans une rue de la cité des Papes, en pleine journée et devant témoins, il s'est mis à suivre une jeune femme avant de lui soulever sa jupe et de lui arracher sa culotte.
Les magistrats ont ordonné qu'il soit vu par un psychiatre
Interpellé peu de temps après son agression sexuelle par les policiers nationaux, l'homme a été placé en garde à vue au commissariat d'Avignon, avant d'être déféré mercredi auprès du parquet et de passer en comparution immédiate, dans l'après-midi devant le tribunal d'Avignon. Il a été placé en détention. Les magistrats ont ordonné qu'il soit vu par un psychiatre afin d'y voir plus clair dans cette personnalité trouble. Sa victime, elle, si elle n'a pas été blessée, serait particulièrement choquée.
midilibre
U n homme a été interpellé mardi 9 juin après-midi en Avignon après avoir soulevé le jupe d'une femme et lui avoir arraché sa culotte en pleine rue et devant témoins.
Le trentenaire, originaire d'Algérie et hébergé par un cousin depuis un mois sur Avignon, n'était pas coutumier du fait. Pourtant, mardi 9 juin, dans une rue de la cité des Papes, en pleine journée et devant témoins, il s'est mis à suivre une jeune femme avant de lui soulever sa jupe et de lui arracher sa culotte.
Les magistrats ont ordonné qu'il soit vu par un psychiatre
Interpellé peu de temps après son agression sexuelle par les policiers nationaux, l'homme a été placé en garde à vue au commissariat d'Avignon, avant d'être déféré mercredi auprès du parquet et de passer en comparution immédiate, dans l'après-midi devant le tribunal d'Avignon. Il a été placé en détention. Les magistrats ont ordonné qu'il soit vu par un psychiatre afin d'y voir plus clair dans cette personnalité trouble. Sa victime, elle, si elle n'a pas été blessée, serait particulièrement choquée.
midilibre
quel rapport avec le (supposé) laxisme de la justice ? des gens interdits de territoire, on pourrait presque dire qu'il y en a des milliers en France: ceux interdits par la justice, les immigrés clandestins, sans papier etc même le père mérah... Le fait est que les frontières françaises sont poreuses et la probabilité pour que la douane, la police tombe par contrôle inopiné sur un interdit de territoire est quasi nulle...
Si vous voulez que ce genre de drame n'arrive plus, il faudrait rétablir nos frontières, réformer la justice n'y changera rien.
Des juges crapuleux à l"époque voire maintenant ?
La justice ordonne la réouverture de trois affaires de disparition d'enfants en Isère.
La cour d'appel de Grenoble a ordonné mardi la réouverture de trois affaires de disparition d'enfants datant des années 80 en Isère, infirmant les non-lieux des juges d'instruction, a-t-on appris auprès de l'un des avocats des familles.
"La chambre de l'instruction de la cour d'appel nous a donné raison et a décidé d'un complément d'information et de ne pas faire droit à la demande de clôture des dossiers", a déclaré à l'AFP Me Didier Seban, "très satisfait de cette décision très motivée".
Il s'agit des enquêtes sur les disparitions de Charazed Bendouiou, 10 ans, le 8 juillet 1987 à Bourgoin-Jallieu, de Ludovic Janvier, 6 ans, le 17 mars 1983 à Saint-Martin d'Hères et de Gregory Dubrulle en juillet 1983. Alors âgé de 8 ans, ce dernier avait été enlevé par un homme en bas de son domicile à Grenoble et laissé pour mort, le crâne fracassé, dans une décharge du massif de la Chartreuse. Le petit garçon avait survécu par miracle mais son agresseur n'avait jamais été retrouvé.
En novembre dernier, les juges d'instruction chargés des dossiers avaient rendu une ordonnance de non-lieu dans ces trois affaires, suivant ainsi les réquisitions du parquet de Grenoble. Ce dernier estimait en effet que tous les éléments d'investigation avaient été exploités dans ces dossiers et que les faits étaient prescrits.
"On est très optimistes car c'est la véritable réouverture de l'enquête", a ajouté Me Seban, soulignant que la cour avait décidé, contrairement aux juges d'instruction, "que les dossiers n'étaient pas prescrits".
Compte tenu des qualifications pénales retenues, la prescription pénale est de 10 ans mais elle a été interrompue par des actes à plusieurs reprises, a-t-il expliqué.
"La cour a demandé aux juges de faire beaucoup d'investigations. Elle donne des orientations et demande d'en rendre compte aux parties civiles, ce qu'elle n'avait pas fait jusque là", s'est-t-il félicité.
Parmi ces orientations, il s'agit notamment de "regarder ces affaires en lien les unes avec les autres, de refaire le parcours de criminels ou de personnes arrêtées pour des crimes sexuels dans l'Isère et de confronter un certain nombre de témoignages", a détaillé l'avocat.
La justice ordonne la réouverture de trois affaires de disparition d'enfants en Isère.
La cour d'appel de Grenoble a ordonné mardi la réouverture de trois affaires de disparition d'enfants datant des années 80 en Isère, infirmant les non-lieux des juges d'instruction, a-t-on appris auprès de l'un des avocats des familles.
"La chambre de l'instruction de la cour d'appel nous a donné raison et a décidé d'un complément d'information et de ne pas faire droit à la demande de clôture des dossiers", a déclaré à l'AFP Me Didier Seban, "très satisfait de cette décision très motivée".
Il s'agit des enquêtes sur les disparitions de Charazed Bendouiou, 10 ans, le 8 juillet 1987 à Bourgoin-Jallieu, de Ludovic Janvier, 6 ans, le 17 mars 1983 à Saint-Martin d'Hères et de Gregory Dubrulle en juillet 1983. Alors âgé de 8 ans, ce dernier avait été enlevé par un homme en bas de son domicile à Grenoble et laissé pour mort, le crâne fracassé, dans une décharge du massif de la Chartreuse. Le petit garçon avait survécu par miracle mais son agresseur n'avait jamais été retrouvé.
En novembre dernier, les juges d'instruction chargés des dossiers avaient rendu une ordonnance de non-lieu dans ces trois affaires, suivant ainsi les réquisitions du parquet de Grenoble. Ce dernier estimait en effet que tous les éléments d'investigation avaient été exploités dans ces dossiers et que les faits étaient prescrits.
"On est très optimistes car c'est la véritable réouverture de l'enquête", a ajouté Me Seban, soulignant que la cour avait décidé, contrairement aux juges d'instruction, "que les dossiers n'étaient pas prescrits".
Compte tenu des qualifications pénales retenues, la prescription pénale est de 10 ans mais elle a été interrompue par des actes à plusieurs reprises, a-t-il expliqué.
"La cour a demandé aux juges de faire beaucoup d'investigations. Elle donne des orientations et demande d'en rendre compte aux parties civiles, ce qu'elle n'avait pas fait jusque là", s'est-t-il félicité.
Parmi ces orientations, il s'agit notamment de "regarder ces affaires en lien les unes avec les autres, de refaire le parcours de criminels ou de personnes arrêtées pour des crimes sexuels dans l'Isère et de confronter un certain nombre de témoignages", a détaillé l'avocat.
Et pendant qu'ils dormaient .
Ce sont ses pleurs qui ont alerté les voisins. Une fillette de 5 ans a été enlevée dans son sommeil, chez elle, à Bellerive-sur-Allier (Allier), par un homme qui s'est introduit dans la maison par une fenêtre laissée ouverte en raison de
la canicule, mardi 30 juin. La fillette a été "retrouvée en état de choc". Elle a été examinée par un médecin, dont les conclusions n'étaient pas encore connues, jeudi 2 juillet.
Dans la nuit de mardi à mercredi, entre 3 heures et 4 heures, l'homme s'est introduit dans la chambre de la fillette, à l'étage, par la fenêtre, alors que les parents dormaient. "Il l'a enlevée et l'a entraînée une dizaine de mètres plus loin dans un jardin privatif" de ce paisible quartier résidentiel de Bellerive-sur-Allier, a expliqué le procureur. Plusieurs voisins ont alors été réveillés par les cris et les pleurs de l'enfant. L'homme a alors pris la fuite. Il était toujours activement recherché mercredi soir.
Son mobile reste encore à déterminer. "Il y a une forte suspicion que ce soit un mobile d'ordre sexuel, mais il est probable que l'individu ne soit pas parvenu à ses fins", a déclaré le procureur de la République de Cusset, confirmant une information de La Montagne.
Ce sont ses pleurs qui ont alerté les voisins. Une fillette de 5 ans a été enlevée dans son sommeil, chez elle, à Bellerive-sur-Allier (Allier), par un homme qui s'est introduit dans la maison par une fenêtre laissée ouverte en raison de
la canicule, mardi 30 juin. La fillette a été "retrouvée en état de choc". Elle a été examinée par un médecin, dont les conclusions n'étaient pas encore connues, jeudi 2 juillet.
Dans la nuit de mardi à mercredi, entre 3 heures et 4 heures, l'homme s'est introduit dans la chambre de la fillette, à l'étage, par la fenêtre, alors que les parents dormaient. "Il l'a enlevée et l'a entraînée une dizaine de mètres plus loin dans un jardin privatif" de ce paisible quartier résidentiel de Bellerive-sur-Allier, a expliqué le procureur. Plusieurs voisins ont alors été réveillés par les cris et les pleurs de l'enfant. L'homme a alors pris la fuite. Il était toujours activement recherché mercredi soir.
Son mobile reste encore à déterminer. "Il y a une forte suspicion que ce soit un mobile d'ordre sexuel, mais il est probable que l'individu ne soit pas parvenu à ses fins", a déclaré le procureur de la République de Cusset, confirmant une information de La Montagne.
Hier matin, un quinquagénaire a été déféré au parquet de Bourgoin-Jallieu, dans une affaire d’agressions sexuelles.
Les faits ont été révélés par la victime, une jeune fille âgée de 11 ans, demeurant dans le pays berjallien, qui, courant mai, s’est confiée à une amie. Rapidement mis au courant, les parents décident de déposer plainte.
Il prenait soin d’isoler la victime
Entendue, la jeune victime explique qu’elle a subi à plusieurs reprises, ces derniers mois, des agressions sexuelles. Elle n’a pas de mal à identifier son agresseur, qui n’est autre que son oncle. Selon les déclarations de la jeune fille, son oncle passait à l’acte lors de réunions de famille. Afin de ne pas éveiller les soupçons, il prenait soin d’isoler la victime.
ledauphine
Les faits ont été révélés par la victime, une jeune fille âgée de 11 ans, demeurant dans le pays berjallien, qui, courant mai, s’est confiée à une amie. Rapidement mis au courant, les parents décident de déposer plainte.
Il prenait soin d’isoler la victime
Entendue, la jeune victime explique qu’elle a subi à plusieurs reprises, ces derniers mois, des agressions sexuelles. Elle n’a pas de mal à identifier son agresseur, qui n’est autre que son oncle. Selon les déclarations de la jeune fille, son oncle passait à l’acte lors de réunions de famille. Afin de ne pas éveiller les soupçons, il prenait soin d’isoler la victime.
ledauphine
Reste plutôt à savoir si c'est un prédateur ou une personne faisant partie d'un réseau de crapules .