« L’espoir fait vivre ». Le proverbe est destiné à ceux qui vivent leurs moments les plus difficiles. Il y a toujours de l’espoir. Même s’il fera sombre pendant des jours, les rayons de soleil ne vont pas tarder à scintiller. Je vis un moment difficile, mais le proverbe n’est pas fait pour moi, pour ma situation. J’ai toujours cru que l’espoir fait vivre, mais il fait humilier aussi. Je suis devenu faible. Je me suis mis à genoux pour elle. Elle le mérite certes, mais je me suis trop collé. A force de la suivre, elle m’a fui. Les personnes qui connaissent mon histoire sont comptées au bout des doigts, sans compter ceux qui ont lu mes articles publiés sur un forum anonymement. J’avais besoin de parler de mon chagrin, je me suis donc adressé à ceux en qui j’ai confiance. En dehors, je ne pouvais parler à personne peur que mes prochains me voient faible d’esprit, faible d’âme.
Elle m’avait dit qu’elle va se marier, je n’en suis pas sure. A quoi sert de savoir si elle dit la vérité ? De toute façon elle a montré qu’elle ne veut pas de moi. Il faut évidemment que je renonce, il faut que je lâche prise, il faut que je l’oubli... Jadis elle me disait que quoiqu’elle porte notre relation de nom, elle souhaite qu’elle reste jusqu’à ce qu’on vieillit. Je comptais pour elle, elle m’admirait beaucoup et elle savait qu’elle pourrait compter sur moi tant que je suis en vie. Tout ce qu’elle disait n’a aucun sens aujourd’hui, elle m’a laissé tout seul de un tunnel si sombre. Au bout, il y a de la lumière que je dois atteindre.
Je me suis toujours imaginé comment pourrait être notre relation. J’étais prêt à tout faire et à tout offrir. Elle était si respectueuse et avait des grimaces innocentes qui me faisaient toujours sourire. J’étais si fier de l’avoir dans mon cœur, si fier que j’imaginais le jour où je parlerai à mes parents de la fille que j’aime et avec qui je voudrais partager le reste de mes jours. Selon moi, le meilleur moment que je pourrais vivre c’était celui de voir ses parents et les miens autour de la même table discuter les trucs de famille, d’une seule famille. Mon plan était de lui commander une bague de mariage de la Russie. La robe de mariage, je lui éviterais de l’essayer avant la cérémonie histoire de lui monter que j’ai trop confiance en elle. Cela aurait un grand effet sur elle, sur ce qu’elle est pour moi, sur ce qu’elle signifie pour moi. J’aurais invité à notre mariage toutes ses amies pour montrer aux fidèles et aux fausses ce qu’elle est parfaite à mes yeux. J’aurais invité toutes mes ex et amies pour assister à mon alliance à celle que j’ai choisi en dehors d’elles. J’aurais dit un mot que j’aurais écrit au préalable. J’aurais demandé tenu sa main toute la soirée pour lui montrer que je suis là et que pas la peine qu’elle stresse, qu’elle est la meilleure de toutes et qu’il n’y a aucun soucis si une femme dans cette table ou l’autre lui a fait un regard suspicieux. J’aurais et j’aurais ….
Je l’ai tout de même trop idéalisé. Je pensais à elle. Mais j’ai oublié de prendre soin de moi. J’ai cru que je la trouverais à côté de moi chaque jour du reste de nos vies. Cependant, sans préavis elle a pris ses bagages avant qu’elle franchise l’entrave de notre maison. J’ai laissé une partie de ma vie à côté de moi. Je dois sans faute passer à autre chose, penser à autre chose, penser à quelqu’un d’autre. Je dois prendre soin de mes pensées et mon âme qui ne m’ont jamais faussé compagnie, pas comme le cœur qui n’a point fait attention à ce que mon cerveau lui disait.
Elle m’avait dit qu’elle va se marier, je n’en suis pas sure. A quoi sert de savoir si elle dit la vérité ? De toute façon elle a montré qu’elle ne veut pas de moi. Il faut évidemment que je renonce, il faut que je lâche prise, il faut que je l’oubli... Jadis elle me disait que quoiqu’elle porte notre relation de nom, elle souhaite qu’elle reste jusqu’à ce qu’on vieillit. Je comptais pour elle, elle m’admirait beaucoup et elle savait qu’elle pourrait compter sur moi tant que je suis en vie. Tout ce qu’elle disait n’a aucun sens aujourd’hui, elle m’a laissé tout seul de un tunnel si sombre. Au bout, il y a de la lumière que je dois atteindre.
Je me suis toujours imaginé comment pourrait être notre relation. J’étais prêt à tout faire et à tout offrir. Elle était si respectueuse et avait des grimaces innocentes qui me faisaient toujours sourire. J’étais si fier de l’avoir dans mon cœur, si fier que j’imaginais le jour où je parlerai à mes parents de la fille que j’aime et avec qui je voudrais partager le reste de mes jours. Selon moi, le meilleur moment que je pourrais vivre c’était celui de voir ses parents et les miens autour de la même table discuter les trucs de famille, d’une seule famille. Mon plan était de lui commander une bague de mariage de la Russie. La robe de mariage, je lui éviterais de l’essayer avant la cérémonie histoire de lui monter que j’ai trop confiance en elle. Cela aurait un grand effet sur elle, sur ce qu’elle est pour moi, sur ce qu’elle signifie pour moi. J’aurais invité à notre mariage toutes ses amies pour montrer aux fidèles et aux fausses ce qu’elle est parfaite à mes yeux. J’aurais invité toutes mes ex et amies pour assister à mon alliance à celle que j’ai choisi en dehors d’elles. J’aurais dit un mot que j’aurais écrit au préalable. J’aurais demandé tenu sa main toute la soirée pour lui montrer que je suis là et que pas la peine qu’elle stresse, qu’elle est la meilleure de toutes et qu’il n’y a aucun soucis si une femme dans cette table ou l’autre lui a fait un regard suspicieux. J’aurais et j’aurais ….
Je l’ai tout de même trop idéalisé. Je pensais à elle. Mais j’ai oublié de prendre soin de moi. J’ai cru que je la trouverais à côté de moi chaque jour du reste de nos vies. Cependant, sans préavis elle a pris ses bagages avant qu’elle franchise l’entrave de notre maison. J’ai laissé une partie de ma vie à côté de moi. Je dois sans faute passer à autre chose, penser à autre chose, penser à quelqu’un d’autre. Je dois prendre soin de mes pensées et mon âme qui ne m’ont jamais faussé compagnie, pas comme le cœur qui n’a point fait attention à ce que mon cerveau lui disait.