Guerre d'Irak : les dossiers secrets

Voici un reportage "spécial investigation" sur la guerre en Irak.

Les dossiers traités sont ceux divulgués par wikileaks (400 000 dossiers).

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=h6OW4GBWohM

Qu'Allah fasse miséricorde à tout les peuples qui sont oppressés inchAllah et ça qu'importe les raisons revendiqué.

Wa salam aleikoum wa ramatulah i wa barakatuh


Dur dur le reportage que constate le citoyen lambda suite à cette vidéo

Ils ont attaqué l'Irak pour supprimer Al Qaida il n'y avait d'Al qaïda
Ils ont attaqué l'Irak pour libérer la population qui a payé lourd tribut. Ils ont fini par lui tirer dessus
Il quitte l'Irak tout le pays est démoli
Ils ont chassé un dictateur pour le remplacer avec des millions de dictateurs.

Au secours l'echec

.
 

abounidal

Allahu akbar
Dur dur le reportage que constate le citoyen lambda suite à cette vidéo

Ils ont attaqué l'Irak pour supprimer Al Qaida il n'y avait d'Al qaïda
Ils ont attaqué l'Irak pour libérer la population qui a payé lourd tribut. Ils ont fini par lui tirer dessus
Il quitte l'Irak tout le pays est démoli
Ils ont chassé un dictateur pour le remplacer avec des millions de dictateurs.

Au secours l'echec

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Franchement quand tu commences à te renseigner un petit peu, tu atteins vite fait l'abces !

Y a pas d'Al quaida ? Et vasi que je te finance tout sa.

Allez pourquoi pas ne pas les aider à s'installer dans tout les pays musulman non alignés ?

En catimini bien sur, ou à travers l'Arabie Saoudite ou le Qatar.

Et comme d'hab les peuples prennent sur la tronche...

C'est comme la bonne blague que les states ait vendu des armes à hitler avant la guerre :
http://membres.multimania.fr/wotraceafg/collon.htm

J'aimerai bien si un historien passe par là qu'il donne son avis.

Salam
 
Au secours l'echec

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Un article qui souligne bien l'incurie et la cécité des militaires et des politiques us:

"En août 2003, une séance de cinéma pas comme les autres, dans un auditorium du Pentagone : des militaires américains découvrent La Bataille d’Alger de Gillo Ponterco. Le New York Times salue alors cette " heureuse initiative pour repenser la guerre de manière créative" .

« Cette référence cinématographique que fait le Pentagone prouve l’inadaptation totale des Américains face à la situation. C’est comme si les chefs d’Etats se référaient à des dessins animés » analyse Charles Saint-Prot, géopolitologue. Une preuve de plus selon lui d’une guerre "mal préparée" . L’administration Bush aurait alors totalement improvisé. "Les Français sont resté plus d’un siècle en Algérie, ils connaissaient le terrain, alors qu’en Irak les Américains sont comme des extra-terrestres" (...)

Le carton d’invitation de la projection décrit par un journaliste américain : « Comment gagner la bataille contre le terrorisme et perdre celle des idées… Des enfants qui tirent à bout portant sur des soldats, des femmes qui posent des bombes et bientôt la population arabe sera emportée par une folle ferveur. Ca vous rappelle quelque chose ? Les Français ont un plan, il réussit tactiquement mais échoue stratégiquement. Pour comprendre pourquoi, venez voir ce film rare" .

Le Pentagone compare donc sa situation à celle des militaires Français d’avant 1962. Il lui semble qu’Alger ou Bagdad, c’est la même chose. « Ils n’ont pas regardé le film ou bien ils n’ont pas compris » tempête Subhi Toma.
« Les Français se sont montrés plus intelligents car lors de cette bataille d’Alger, ils avaient éliminé la majeure partie des réseaux de résistance. Mais ils n’ont pas résolu le problème politique.
Tandis que les Américains eux, se cassent le nez sur la terrain, mais ont pratiquement gagné sur le plan politique. Car personne ne peut les contredire sur ce projet d’instaurer une démocratie en Irak. Mais ils n’ont aucune idée de la manière de traiter la résistance" . Ou plutôt si, la coalition américano-britannique a une bonne idée des méthodes à employer, d’après la journaliste Marie-Monique Robin. Dans livre "Escadrons de la mort, l’école française" elle décrit comment le général Aussaresses a déjà dispensé son savoir-faire en Amérique Latine, et aux Etats-Unis. Pour illustrer ses formations aux pratiques de « renseignement », le « bourreau de la guerre d’Algérie » aurait même utilisé des extraits du film de Pontecorvo.

Juste après les premiers bombardements en Afghanistan la question de la torture s’est imposée dans le débat public américain en de drôles de termes. Un sondage paru en 2005 donne presque une moitié d’opinions favorables à l’usage dit « justifié »de la torture. Aussi, les multiples scandales qui ont éclaté, de Guantanamo à Abou Grhaïb, ne sont peut-être que la partie émergée de l’iceberg. (...)

Il y a une énorme différence entre l’Algérie de 1957 ans et l’Irak de 2005, conclut Subhi Toma (...) En France, il y avait un grand homme qui s’appelait de Gaulle. Devant l’ampleur des dégâts et les aspirations du peuple algérien, il a eu le courage de se retirer. Cet acte témoignait d’un haut degré de conscience politique. A Washington aujourd’hui, il y a un médiocre qui n’admettra jamais ses erreurs".
Suite:
http://www.motionmedia.fr/de-la-bataille-dalger-a-abou-grahib/
 
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