Il faut avoir à l’esprit qu’il n’y a pas un racisme, mais des racismes :

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
en parlant de vinaigre et si t arrêtait un peu des salade ; )
Ce ne sont pas des salades, c’est du rationalisme : la réalité ne se décrète pas, elle se constate. Dire que c’est mal de faire le constat d’une chose réelle, c’est dangereux. La chose censée la plus proche que je vois, ce serait plutôt de dire que c’est mal de faire une estimation volontairement biaisée du réel.

quant au FN ..la france n a pas peu besoin d un dictionnaire pour inscrire la barbarie dans la loi ..

http://www.axl.cefan.ulaval.ca/afrique/indigenat_code.htm
Je ne parle de l’histoire passée, je parle du présent (le FN, c’est l’histoire contemporaine). Les lepénistes se sont souvent plein qu’on leur interdisait de parler de ce qu’ils voyaient (ou pensaient voir) tous les jours. Ce genre de définition idéologique (donc potentiellement insensée) a eu pour effet en réaction l’émergence d’un contre‑discours disant que les anti‑racistes sont déconnectés du réel et donc non‑crédibles.

Je n’insiste pas pour rien sur la dangerosité de cette fausse définition, c’est parce qu’elle a déjà montré sa dangerosité.

On ne répond pas au racisme, qui est aussi une idéologie, par une autre idéologie, sinon c’est le dialogue de sourd assuré (ou pire). On répond à une idéologie par le rationalisme.
 
Dernière édition:

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
Je ne parle de l’histoire passée, je parle du présent (le FN, c’est l’histoire contemporaine

nan mais t es sérieux ??? .. comment occulter l histoire passé pour comprendre le présent .. de l indigenes a l immigré .. et ses enfants ..
Gisele Halimi a quitté SOS racismes et d autres quand cette association a pris postion en faveurs de la loi pour interdire le voile .. cette femme ..qui a connus la barbarie colonial avait tout de suite compris qu est ce qu il y avait derriere ...
les Electeurs du FN sont tous des Raciste et hélas ils ne sont pas les seuls ...

" l’existence de dispositions racistes et islamophobes préexistantes dans une partie importante du corps enseignant. Ce qui est apparu, à l’occasion des innombrables débats internes qui ont traversé à peu près tous les établissements de Seine-Saint Denis, c’est que le corps enseignant n’est, à cet égard, pas foncièrement différent du reste de la société : ce qu’on a pu entendre en " salle des profs " ne diffère pas fondamentalement de ce qu’on entend au café du commerce, dans les repas de famille ou à la télévision. De la confusion entre les situations française, algérienne, afghane ou iranienne aux amalgames entre voile et viol, en passant par les généralisations racistes sur " l’arrogance " ou " la sexualité des garçons musulmans ",

sans parler des propos orduriers (" le foulard c’est de la ***** ", " les filles voilées sont des ***** ") ou des injures adressées aux collègues opposés à l’interdiction (" intégriste ", " complice de la lapidation des femmes ", " ce n’est pas un musulman qui va m’appendre ce qu’est la laïcité "), les poncifs les plus grossiers et les plus violents ont été repris. Il faut se rendre à l’évidence : il existe en France un racisme culturaliste, visant les descendants des colonisés, et prenant pour principal prétexte leur référence musulmane, et ce racisme atteint les milieux " éduqués " (et même, en l’occurrence, " éducants ") autant que les autres. Il traverse par ailleurs toutes les familles politiques (on peut le trouver autant chez les communistes que dans la " deuxième gauche ", chez les " trotskystes " autant que chez les " libertaires ", chez les socialistes autant que chez les " non syndiqués " ou les " non politisés " [10] ; de même, à l’opposé, la minorité consciente et mobilisée contre ce racisme post-colonial est présente, en proportions voisines, dans toutes ces organisations)."
 
Haut