Je ne parle de l’histoire passée, je parle du présent (le FN, c’est l’histoire contemporaine
nan mais t es sérieux ??? .. comment occulter l histoire passé pour comprendre le présent .. de l indigenes a l immigré .. et ses enfants ..
Gisele Halimi a quitté SOS racismes et d autres quand cette association a pris postion en faveurs de la loi pour interdire le voile .. cette femme ..qui a connus la barbarie colonial avait tout de suite compris qu est ce qu il y avait derriere ...
les Electeurs du FN sont tous des Raciste et hélas ils ne sont pas les seuls ...
" l’existence de dispositions racistes et islamophobes préexistantes dans une partie importante du corps enseignant. Ce qui est apparu, à l’occasion des innombrables débats internes qui ont traversé à peu près tous les établissements de Seine-Saint Denis, c’est que le corps enseignant n’est, à cet égard, pas foncièrement différent du reste de la société : ce qu’on a pu entendre en " salle des profs " ne diffère pas fondamentalement de ce qu’on entend au café du commerce, dans les repas de famille ou à la télévision. De la confusion entre les situations française, algérienne, afghane ou iranienne aux amalgames entre voile et viol, en passant par les généralisations racistes sur " l’arrogance " ou " la sexualité des garçons musulmans ",
sans parler des propos orduriers (" le foulard c’est de la ***** ", " les filles voilées sont des ***** ") ou des injures adressées aux collègues opposés à l’interdiction (" intégriste ", " complice de la lapidation des femmes ", " ce n’est pas un musulman qui va m’appendre ce qu’est la laïcité "), les poncifs les plus grossiers et les plus violents ont été repris. Il faut se rendre à l’évidence : il existe en France un racisme culturaliste, visant les descendants des colonisés, et prenant pour principal prétexte leur référence musulmane, et ce racisme atteint les milieux " éduqués " (et même, en l’occurrence, " éducants ") autant que les autres. Il traverse par ailleurs toutes les familles politiques (on peut le trouver autant chez les communistes que dans la " deuxième gauche ", chez les " trotskystes " autant que chez les " libertaires ", chez les socialistes autant que chez les " non syndiqués " ou les " non politisés " [10] ; de même, à l’opposé, la minorité consciente et mobilisée contre ce racisme post-colonial est présente, en proportions voisines, dans toutes ces organisations)."