pour étoffer
http://www.bladi.info/threads/reforme-college-changer-eleves-rentree.438639/
Porté par une relation étroite avec l’enseignant durant le primaire, l’enfant perd ses repères, une fois en sixième, face à une multitude de professeurs aux personnalités et aux attentes différentes.
C’est précisément pour ménager une transition que les nouvelles réformes accordent à la sixième un statut à part. Désormais, cette classe est, avec le CM1 et le CM2, rattachée à un cycle dit de consolidation, qui sert de passerelle entre le primaire et le secondaire.
Cette évolution est d’autant plus essentielle que les réformes attendues – nouveaux programmes du CP à la troisième, nouveau collège, nouveau socle commun de connaissances, de compétences et de culture – renforcent cette logique de cycle.
> Lire aussi : Aborder la sixième sans stress
Les programmes sont certes jalonnés de repères annuels mais ils accordent le primat à des « attendus de fin de cycle ».
Il s’agit de s’assurer tous les trois ans, en s’appuyant sur un livret scolaire unique, que les connaissances et compétences requises sont maîtrisées et qu’ainsi l’élève validera la totalité du socle avant la fin de la scolarité obligatoire.
Coopération entre enseignants du primaire et du collège
Cette approche suppose davantage de travail en équipe pour ménager, d’une classe à l’autre, une progressivité des apprentissages. Pas toujours facile, non seulement parce que certains enseignants ont une vision individualiste de leur métier mais aussi parce que, dans certains établissements, l’équipe change d’une année à l’autre.
S’agissant de la sixième, la difficulté est d’autant plus grande qu’il faut faire coopérer des enseignants du primaire et du collège, qui appartiennent à deux corps distincts, avec une approche du métier qui dans le premier cas est généraliste et dans le second disciplinaire.
Par-delà cette divergence, voire les a priori des uns sur les autres (« si les élèves de sixième sont si mauvais, c’est que les collègues du primaire n’ont pas bien fait leur boulot »), il faut aussi surmonter des obstacles matériels pour mettre en place les conseils école-collège.
> Lire aussi : Comment bien accompagner son enfant en sixième ?
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http://www.bladi.info/threads/reforme-college-changer-eleves-rentree.438639/
Porté par une relation étroite avec l’enseignant durant le primaire, l’enfant perd ses repères, une fois en sixième, face à une multitude de professeurs aux personnalités et aux attentes différentes.
C’est précisément pour ménager une transition que les nouvelles réformes accordent à la sixième un statut à part. Désormais, cette classe est, avec le CM1 et le CM2, rattachée à un cycle dit de consolidation, qui sert de passerelle entre le primaire et le secondaire.
Cette évolution est d’autant plus essentielle que les réformes attendues – nouveaux programmes du CP à la troisième, nouveau collège, nouveau socle commun de connaissances, de compétences et de culture – renforcent cette logique de cycle.
> Lire aussi : Aborder la sixième sans stress
Les programmes sont certes jalonnés de repères annuels mais ils accordent le primat à des « attendus de fin de cycle ».
Il s’agit de s’assurer tous les trois ans, en s’appuyant sur un livret scolaire unique, que les connaissances et compétences requises sont maîtrisées et qu’ainsi l’élève validera la totalité du socle avant la fin de la scolarité obligatoire.
Coopération entre enseignants du primaire et du collège
Cette approche suppose davantage de travail en équipe pour ménager, d’une classe à l’autre, une progressivité des apprentissages. Pas toujours facile, non seulement parce que certains enseignants ont une vision individualiste de leur métier mais aussi parce que, dans certains établissements, l’équipe change d’une année à l’autre.
S’agissant de la sixième, la difficulté est d’autant plus grande qu’il faut faire coopérer des enseignants du primaire et du collège, qui appartiennent à deux corps distincts, avec une approche du métier qui dans le premier cas est généraliste et dans le second disciplinaire.
Par-delà cette divergence, voire les a priori des uns sur les autres (« si les élèves de sixième sont si mauvais, c’est que les collègues du primaire n’ont pas bien fait leur boulot »), il faut aussi surmonter des obstacles matériels pour mettre en place les conseils école-collège.
> Lire aussi : Comment bien accompagner son enfant en sixième ?
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