je me lève et je regard mon lit, personne. est ce si étonnant? pas tellement quand on est célibataire et musulman.
chaque jour, le même spectacle, celle de ressentir un manque, comment une chose qu'on n'a jamais connu peut il nous perturber à ce point?
je descend et direction salle de bain, ensuite, je prend mon petit déj, je me sers à boire, à manger...le petit déj se fait assez rapidement, le matin j'ai assez bon apétit. Une fois fini, je range et lave.
je m'habille, tout en écoutant les infos, et une fois fini, je prend mes affaires et part de chez moi, 7h30
dans le rer, les gens ont l'air usé, la nuit est marquée sur le visage, nous sommes calme, serein, certains lisent un bon bouquin, bon car ils sont très concentrés et n'ont pas l'air de se rendre compte du monde qui les entoure, d'autres dans leur portable à jouer des jeux qui ont été fait pour les maintenir accro à ses nouvelles technologies...
la journée se passe et se repasse, les mêmes tracas du quotidien...vient la pause déjeuner, on y va car c'est l'heure, mécaniquement, on rigole avec des amis, on papotte de tout et de rien, moi j'écoute surtout, parler je ne saurai pas quoi commencer tant j'ai des choses en moi qui veuillent sortir.
une fois fini on reprend nos activité, jusqu'a 18h, fin d'une journée "active", à faire de la paperasse, rangeant tel document, appeler tel collègue, gérer tel soucis ...
un ami à la sortie,me montre sa femme et leur bébé, une jolie petite princesse comme il dit qui fait son bonheur chaque soirée. j'écoute et hoche la tête sans grande conviction mais il est bon d'être d'accord dans ses moments là pour ne pas à subir tout un discours explicative sur le fait d'être père.
j'arrive jusqu'à la bouche du métro/rer, le rer est bondé, comme souvent à ces heures là, les gens ont une mine fatigué mais ravi, ravi de quoi? de retrouver les siens? de rejoindre ses véritables occupations et passions? de retrouver un être qui nous ai si cher que la fatigue s'efface à mesure des arrêts ?
je descend à mon arrêt, automatiquement, sans réfléchir jusqu'au tourniquet puis attend le bus
j'arrive chez moi en même pas 15min, je dépose mes affaires, me met à l'aise et avant d'aller me coucher vers 23h, je prend un bol de lait au chocolat chaud, et , avec le sourire, je me dis : un jour, cela sera mon tour d'être impatient de rentrer du travail.
chaque jour, le même spectacle, celle de ressentir un manque, comment une chose qu'on n'a jamais connu peut il nous perturber à ce point?
je descend et direction salle de bain, ensuite, je prend mon petit déj, je me sers à boire, à manger...le petit déj se fait assez rapidement, le matin j'ai assez bon apétit. Une fois fini, je range et lave.
je m'habille, tout en écoutant les infos, et une fois fini, je prend mes affaires et part de chez moi, 7h30
dans le rer, les gens ont l'air usé, la nuit est marquée sur le visage, nous sommes calme, serein, certains lisent un bon bouquin, bon car ils sont très concentrés et n'ont pas l'air de se rendre compte du monde qui les entoure, d'autres dans leur portable à jouer des jeux qui ont été fait pour les maintenir accro à ses nouvelles technologies...
la journée se passe et se repasse, les mêmes tracas du quotidien...vient la pause déjeuner, on y va car c'est l'heure, mécaniquement, on rigole avec des amis, on papotte de tout et de rien, moi j'écoute surtout, parler je ne saurai pas quoi commencer tant j'ai des choses en moi qui veuillent sortir.
une fois fini on reprend nos activité, jusqu'a 18h, fin d'une journée "active", à faire de la paperasse, rangeant tel document, appeler tel collègue, gérer tel soucis ...
un ami à la sortie,me montre sa femme et leur bébé, une jolie petite princesse comme il dit qui fait son bonheur chaque soirée. j'écoute et hoche la tête sans grande conviction mais il est bon d'être d'accord dans ses moments là pour ne pas à subir tout un discours explicative sur le fait d'être père.
j'arrive jusqu'à la bouche du métro/rer, le rer est bondé, comme souvent à ces heures là, les gens ont une mine fatigué mais ravi, ravi de quoi? de retrouver les siens? de rejoindre ses véritables occupations et passions? de retrouver un être qui nous ai si cher que la fatigue s'efface à mesure des arrêts ?
je descend à mon arrêt, automatiquement, sans réfléchir jusqu'au tourniquet puis attend le bus
j'arrive chez moi en même pas 15min, je dépose mes affaires, me met à l'aise et avant d'aller me coucher vers 23h, je prend un bol de lait au chocolat chaud, et , avec le sourire, je me dis : un jour, cela sera mon tour d'être impatient de rentrer du travail.