Laisser les vêtements descendre en dessous des chevilles

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Tu n'es pas musulman!!!:rolleyes:

Je t'embrasse très fort lamomie....:D

désolé mais pour moi c'est haram de laisser des énérguméme parler de science...

et dis autoriser /interdit , ça fera moins racaille dans la bouche d'une française ...

pour moi, c'est un devoir en tant que muslim de mettre la lumière sur votre ignorance, c'est non seulement halal autorisé mais c'est vivement conseillé de toujours chercher la vérité !

voilà ce qu'elle te dis la gentille mummy ...
 

IbnSalah

الله اكبر
J'ai cité les ahadith qui rapportent que les Sahabas ont pratiqué cela jusqu'à l'époque de Umar, jusqu'à ce qu'il l'interdise sur un différent s'ensuivant à un mariage mut'a. J'ai rapporté tous les hadiths avec les variantes, et montré que le Prophète n'a effectivement pas interdit cela. Cette divergence a préexisté aux écoles juridiques. De même, pour la so.domie, Abdullah ibn Umar, Ikrima, al-Bukhari et d'autres sont parmi ceux qui considéraient la so.domie comme permise dans le Coran. J'ai cité les versets, les ahadith, et montré les variantes. Tu n'as pas à t'attaquer à moi, si tu as la prétention de mieux maitriser le sujet que moi, au lieu de venir comme une kharéjite, si tu es convaincue que je fais des erreurs, pointe ce que je ferais comme erreur.
Comme il faut le faire, cite moi les preuves et s'il te plait sans parler des oussoul, simplement cites les différents avis avec les sources et les hadiths de même simplement le naql avec la source. Et faites que le débat reste scientifique dans les règles Islamiques
 

Prizma

musulman
VIB
Comme il faut le faire, cite moi les preuves et s'il te plait sans parler des oussoul, simplement cites les différents avis avec les sources et les hadiths de même simplement le naql avec la source. Et faites que le débat reste scientifique dans les règles Islamiques
Je ne parles pas des khalaf, mais des salaf. C'est-à-dire d'avant Umar ibn abd'al Aziz.

Voici les hadiths au sujet du mut'a :

Abdullah ibn Mas'ud rapporte : "Nous partions au combat avec le Messager d'Allah alors que nous n'avions pas de femmes. Nous nous sommes donc dit : pourquoi ne pas se castrer ? Le Prophète nous l'y interdit et nous autorisa d'épouser par mut'a la femme contre l'habit." (Muslim, 8, 3243)

D'après Sabra al-Jouhani qui dit que lors la prise de la Mecque, DEUX ANS APRES KHAYBAR, le Messager d'Allah a recommandé de faire des mariages temporaires et qu'il a rappelé les troupes en retournant à Médine en disant : "Que ceux qui ont contracté un mariage temporaire se séparent des femmes, et ne reprennent pas la dot qu'ils ont donnée." (Muslim, 8, 3255)

En entendant ce hadith selon Sabra al Jouhani, Umar ibn Abdalaziz ajouta ensuite : "Ô les croyants. aujourd'hui, moi je vous interdit le mariage de jouissance jusqu'au jour du Jugement". (Muslim, 8, 3261)

Jaber rapporte au sujet des débats entre Zubayr et ibn Abbas au sujet de l'interdiction de la pratique du mariage mut'a : "Du temps du Prophète et d'abu Bakr, nous consommions nos mariages pour une poignée de dattes ou de farine. Cela dura jusqu'au temps de Umar, qui interdit cela après l'incident d'Amr ibn Hurays."

D'après ces hadiths figurant chez Muslim, le Prophète a autorisé le mariage mut'a au moins trois fois. Il l'a permis à la prise de la Mecque après la supposée prohibition à Khaybar qui est soutenue par Ali. Et il ne l'a jamais prohibé, en sorte que Jaber rapporte que les Sahabas l'ont pratiqué du temps du Messager, du temps d'abu Bakr et du temps de Umar, jusqu'à ce que Umar l'interdise, en sorte que plus aucun sahaba n'osa le pratiquer.

Ce sont les hadiths, je ne fais que citer des hadiths. Pas d'avis ou d'ijtihad.
 
Dernière édition:

Prizma

musulman
VIB
P.S. : @IbnSalah. Est-ce que le Prophète a selon toi aussi encouragé en recommandant de pratiquer le Mut'a à Khaybar et DEUX ANS PLUS TARD A LA PRISE DE LA MECQUE à la prostitution. Drianke t'écoute plus, peux-tu lui expliquer la différence entre se tenir à l'ijma' chez les khalaf pour tenir le mut'a comme haram et la qualification de cette pratique, qui a été pratiquée et commandée par le Messager de prostitution ? Accusation grâve pouvant exclure de l'islam.
 

Prizma

musulman
VIB
Désormais, laissons-le s'exprimer, et je tiens à souligner que ma position n'est pas injuste mais seulement celle d'Ahl al Sounnah
L'Imam al-Chafi'i a dit : « Lorsque l’authenticité d’un hadith est établie, c’est mon madhhab. »

L'Imam Malik ibn Anas a dit : « Chacun parmi vous peut rejeter une parole ou voir la sienne rejetée sauf la parole de l'occupant de cette tombe (et il indiqua la tombe du prophète). »

Al-Chafi'i à dit : « Si une parole contredit un Hadith, tradition du Messager d'Allah, jetez ma parole contre le mur et prenez le Hadith. »

Imam Ahmad ibn Hanbal à dit : «Ne m'imitez pas aveuglément, ni Malik ou ash-Safi'i, mais prenez de la source de laquelle nous prenons. »

Imam Nu'man ibn Thabit, abu Hanifa a dit : « Si le hadith est authentique, c'est mon madhab. »

Imam abu Hanifa dit aussi : « Il n'est PAS PERMIS à une personne d'adopter mon avis, sans savoir d'où nous l'avons tirée. » et « Si j'ai dit une parole en désaccord avec le Coran et la Sunnah, alors délaissez ma parole. »

Machaallah, ceux-là étaient de VRAIS savants. En islam, ce n'est pas celui qui parle, mais ce qui dit qui prime. Salam.
 
Dernière édition:

IbnSalah

الله اكبر
- J'interdis personnellement de prendre quelconque avis de ce '@Prizma' -> @Drianke et les autres ...
Maintenant la réfutation :
Je ne parles pas des khalaf, mais des salaf. C'est-à-dire d'avant Umar ibn abd'al Aziz.
Les Salafs sont les trois premiers siècles de l'Islam et 'Umar ibn 'Abd-el 'Aziz (raDiya Allahou 'anhou wa arDaou) a vécu au deuxième siècle dont il eut bien des Salafs après lui.
Voici les hadiths au sujet du mut'a :
Abdullah ibn Mas'ud rapporte : "Nous partions au combat avec le Messager d'Allah alors que nous n'avions pas de femmes. Nous nous sommes donc dit : pourquoi ne pas se castrer ? Le Prophète nous l'y interdit et nous autorisa d'épouser par mut'a la femme contre l'habit." (Muslim, 8, 3243)
D'après Sabra al-Jouhani qui dit que lors la prise de la Mecque, DEUX ANS APRES KHAYBAR, le Messager d'Allah a recommandé de faire des mariages temporaires et qu'il a rappelé les troupes en retournant à Médine en disant : "Que ceux qui ont contracté un mariage temporaire se séparent des femmes, et ne reprennent pas la dot qu'ils ont donnée." (Muslim, 8, 3255)
En entendant ce hadith selon Sabra al Jouhani, Umar ibn Abdalaziz ajouta ensuite : "Ô les croyants. aujourd'hui, moi je vous interdit le mariage de jouissance jusqu'au jour du Jugement". (Muslim, 8, 3261)
Jaber rapporte au sujet des débats entre Zubayr et ibn Abbas au sujet de l'interdiction de la pratique du mariage mut'a : "Du temps du Prophète et d'abu Bakr, nous consommions nos mariages pour une poignée de dattes ou de farine. Cela dura jusqu'au temps de Umar, qui interdit cela après l'incident d'Amr ibn Hurays."
D'après ces hadiths figurant chez Muslim, le Prophète a autorisé le mariage mut'a au moins trois fois. Il l'a permis à la prise de la Mecque après la supposée prohibition à Khaybar qui est soutenue par Ali. Et il ne l'a jamais prohibé, en sorte que Jaber rapporte que les Sahabas l'ont pratiqué du temps du Messager, du temps d'abu Bakr et du temps de Umar, jusqu'à ce que Umar l'interdise, en sorte que plus aucun sahaba n'osa le pratiquer.
Ce sont les hadiths, je ne fais que citer des hadiths. Pas d'avis ou d'ijtihad.
1/ D'après Sabra Al-Jouhany qui dit : "Qu'il était en compagnie du Messager d'Allah lorsque celui-ci dit : O les hommes ! Je vous avais autorisé le mariage temporaire et Allah a désormais interdit cela jusqu'au Jour de la Résurrection. Quiconque détient une femme sur cette base, qu'il la libère et ne prenez rien de ce que vous leur avez donné". (Mouslim/1406)
 

IbnSalah

الله اكبر
Al-Mâziry dit : il est prouvé que le mariage temporaire était permis au début de l'Islam puis abrogé par les hadith authentiques mentionnés ici. Son interdiction fait l'objet d'unanimité. N'a enfreint à cela qu'une faction d'innovateurs – c'est-à-dire : les chiites".
Al Nawawi dit dans le Shahr de Mouslim : "L'avis juste choisi est que la permission et l'interdiction se sont produites à deux reprises : cela était permis avant la conquête de Khaïbar, puis interdit le jour de la conquête de Khaïbar ; puis autorisé le jour de la conquête de la Mecque, ensuite interdit trois jours après, de manière définitive jusqu'au Jour de la Résurrection."
2/ Ash Shafi'i dit : "Je ne connais pas une chose qu'Allah a autorisée puis interdite, à deux reprises sauf le mariage temporaire"
3/ Ibn Al-Qayyim approuve dans Zâdul Ma'âd (5/111) la justesse de l'avis qui stipule que la permission et l'interdiction de ce mariage se sont faites une seule fois, il dit en effet : "La question de savoir si le mariage temporaire a été interdit le jour de la conquête de Khaïbar, fait l'objet d'une divergence en deux avis. L'avis juste est que cette interdiction eut lieu le Jour de la conquête de la Mecque tandis que l'interdiction du jour de la conquête de la Mecque ne portait que sur les ânes domestiques.
4/ Al-Khattâbî -apporte que Sa'îd Ibn Jubayr questionna Ibn 'Abbâs en ces termes :
"As-tu conscience de ce que tu viens de faire et de l'avis juridique (sur la mout'a) que tu viens de donner ? Ton avis est parvenu aux quatre coins du pays et les poètes ne manquent pas d'en faire l'écho."
Ibn 'Abbâs demanda : "Et que disent-ils ?" Sa'îd Ibn Jubayr Répondit : "Ils disent ceci :
Je proposai au cheikh, après qu'il soit resté un long moment dans la continence : Ô compère ! Pourquoi ne prends-tu pas l'avis d'Ibn 'Abbâs ? Pourquoi ne prends-tu pas une compagne pour te détendre, chez qui tu fais halte jusqu'au terme d'usage chez les gens ?" À l'écoute de ces vers, Ibn Abbâs s'écria : "Nous sommes à Dieu, et c'est à Lui que nous retournons ! J'en jure par Dieu, ce n'est pas là l'avis que j'ai donné, ni ce que j'ai voulu ; je n'ai déclaré licite que ce que Dieu a déclaré tel lorsqu'Il a permis la consommation des bêtes mortes, du sang et de la viande de porc à celui qui y est acculé. Or, le mariage temporaire ne sort pas de ce cadre." » (...)
 

IbnSalah

الله اكبر
5/ ash-Shawkânî qui dit :
« Quoi qu'il en soit, nous autres ne pratiquons, parmi les actes d'adoration, que ceux qui nous sont parvenus du Législateur suprême ( Dieu ) ; or, il est établi que le mariage temporaire a été interdit à tout jamais. Quant au fait que certains Compagnons aient eu un avis contraire, cela ne remet pas en cause le bien-fondé de ce que nous disons et ne constitue pas une excuse valable. Comment pourrait-il en être autrement alors que la majorité des Compagnons a retenu du Prophète l'interdiction du mariage temporaire, qu'ils se sont conformés eux-mêmes à cette interdiction, et nous l'ont rapportée?
C'est si vrai que dans un propos rapporté par Ibn Mâja au moyen d'une chaîne de transmission sahih, Ibn 'Umar relate que : "Après avoir autorisé le mariage temporaire, l'Envoyé de Dieu nous l'a interdit. Par Dieu ! Il n'est pas d'individu marié qui ait épousé une femme de manière temporaire après cela, sans que je l'aie lapidé à coup de pierres."
6/ Abû Hurayra rapporte également du Prophète le propos suivant :

"Le mariage temporaire a été aboli par la répudiation, la retraite de viduité et la succession."
[Rapporté d'après ad-Dâraqutnî, al-Hâfidh la qualifie de hasan. Et bien que l'on trouve Mu'ammil Ibn Ismâ'îl dans la chaîne des garants de ce hadith, il n'empêche qu'il est hasan [bon], car le désaccord des traditionalistes concernant cette personne ne remet pas en cause le fait que sa transmission soit hasan quand elle est renforcée par des traditions témoins (shawâhid), comme pour les traditions hasan li-ghayrihi.]
 

IbnSalah

الله اكبر
L'Imam al-Chafi'i a dit : « Lorsque l’authenticité d’un hadith est établie, c’est mon madhhab. »
Avec la réponse d'an Nawawwi qui explique qu'elle ne s'adresse qu'aux mujtahid et pas aux gens du commun (ça parrait un peu logique même...) :

Ce qu’a dit l’imâm al-Shafi’î ne signifie pas que quiconque voit un hadith sahih doive dire « C’est le madhhab d’al-Shafi’î ! » , en appliquant simplement le sens littéral ou la signification apparente de cette parole. Ce qu’il a dit s’applique très certainement uniquement aux personnes qui ont le rang de l’ijtihâd dans le madhhab. Et ceci à condition que la personne soit fermement convaincue que l’imâm al-Shafi’î n’avait pas connaissance soit de l’existence du hadith, soit de son authenticité. Et cela n’est possible qu’après avoir recherché dans tous les livres d’al-Shafi’î et d’autres ouvrages similaires de ses compagnons, ceux qui ont pris de lui leur science et les autres personnes semblables. C’est bien sûr une condition difficile à remplir.Peu sont ceux en qui nous retrouvons ces compétences à notre époque.

Ce que nous avons expliqué comportait des conditions car l’Imâm al Shafi’î a cessé d’agir selon le sens apparent de nombreux hadiths, qu’il considérait [authentiques] et connaissait. Cependant, il a établi des règles pour critiquer les hadiths ou leur abrogation ou leur circonstance spécifique ou leur interprétation et ainsi de suite.
 

IbnSalah

الله اكبر
Imam Ahmad ibn Hanbal à dit : «Ne m'imitez pas aveuglément, ni Malik ou ash-Safi'i, mais prenez de la source de laquelle nous prenons. »
L'Imam Ahmed ne s'adresse pas au musulman en général mais au savant de son rang , "prenez" s'adresse aux savants de son rang , le musulman non savant ne peut prendre le hadith et en tirée le Fiqh comme le Fait l'Imam Ahmed ou Abou Hanifa ou Mailk et Sh-Shafi'ii donc toute les paroles qui vont dans ce sens doit etre compris comme l'a dit L'imam An nawawi :
s’applique très certainement uniquement aux personnes qui ont le rang de l’ijtihâd dans le madhhab.



Baqiyya ibn al-Walid rapporte qu’al-Awza’i a dit (Allah soit satisfait de lui): « Ô Baqiyya! Ne mentionne aucun des Compagnons de ton Prophète à part en bien. Ô Baqiyya! La science (al-’ilm) est ce qui nous est parvenu par les Compagnons de Muhammad sallallâhu 'alayhi wa salâm) . Ce qui ne nous est pas parvenu par eux ne forme en rien la science. »
 

Prizma

musulman
VIB
C'est une interprétation, les Sahabas n'attendaient pas l'avis d'un imam pour appliquer les instructions du Prophète. Si une personne a la capacité d'évaluer, il NE PEUT PAS suivre l'avis qu'il trouve erroné.
 

IbnSalah

الله اكبر
L’Imam Malik (Allah soit satisfait de lui) a fondé son école sur le principe de l’imitation des savants de Médine la Resplendissante parce qu’il considérait qu'ils représentaient mieux que quiconque la pratique du Prophète sallallâhu 'alayhi wa sallam) et de ses Compagnons. Le Muwatta’ abonde donc en cette remarque: « C’est ce que j’ai vu faire par ceux qui ont la science parmi les gens de Médine.»

Ibn al-Qayyim a dit: « Il y a une imitation obligatoire (taqlid wajib), une imitation interdite, et une imitation permise… Celle qui est obligatoire c’est l’imitation des gens qui en savent plus que nous, comme dans le cas d'une personne qui n’a pas obtenu la connaissance d'une preuve du Coran ou de la Sunna concernant un sujet précis. Une telle imitation a été rapportée par l’Imam al-Shafi’i (Allah soit satisfait de lui) en plusieurs endroits, où il dit: « J’ai dit ceci en taqlid (imitation) de ‘Umar » ou « J’ai dit cela en taqlid de Uthman » ou encore « J’ai dit cela en taqlid de ‘Ata ». Al-Shafi’i disait à propos des Compagnons : "Leur opinion est pour nous meilleure que notre propre opinion pour nous-même."»

Une manière d’imiter similaire, bien que plus stricte, a été rapportée par l’Imam Ahmad Ibn Hanbal (Allah soit satisfait de lui): « Sache que la religion n’est rien d’autre qui l’imitation elle-même (al-dîn innama huwa al-taqlîd). Cette imitation est celle des Compagnons du Messager d’Allah sallallâhu 'alayhi wa salâm). » Ahmad a également dit: « Allah, Allah! [Souvenez-vous de Lui] au sujet de votre âme. Accrochez-vous aux récits qui vous ont été transmis, à ceux qui les ont transmis et à l’imitation. Car la Religion n’est rien d’autre que l’imitation elle-même. Il s’agit de l’imitation du Prophète sallallâhu 'alayhi wa salâm), de ses Compagnons (qu’Allah soit satisfait d’eux), et de ceux qui sont venus avant nous et ne nous ont pas induit en erreur; imitez-les sans crainte. »

Al-Dhahabi a dit dans son Siyar A’lam al-Nubala’ (Ed. Dar al-Fikr 7:410) :

Ceux qui doivent être imités (al-muqalladûn) sont :

*Les Compagnons du Prophète (qu’Allah soit satisfait d’eux) pourvu que les chaînes de transmission remontant jusqu’à eux soient fermement établies.
 

IbnSalah

الله اكبر
* Puis les Imams [les plus âgés] parmi les successeurs tels que:
'Alqama [ibn Qays] (m. 62);
Masruq [ibn al-Ajda'] (m. 63);
'Abîda al-Salmani (m. 74);
Sa'id ibn al-Musayyib ou al-Musayyab (m. 93);
Abu al-Sha'tha' [Jabir ibn Zayd al-Azdi] (m. 93);
Sa'id ibn Jubayr (m. 94);
'Ubayd Allah ibn 'Abd Allah (m. 98 ou 99);
'Urwa [ibn al-Zubayr] (m. 93-101?);
al-Qasim [ibn Muhammad] (m. 106);
al-Sha'bi (m. 104 ou 105 ou 106);
al-Hasan [al-Basri] (m. 110);
Ibn Sirin (m. 110);
et Ibrahim al-Nakha'i (m. 96) (qu’Allah soit satisfait d’eux.)


* Puis [les plus jeunes Imams parmi les successeurs] tels que:
al-Zuhri (m. 124),
Abu al-Zinad (m. 130),
Ayyub al-Sikhtyani (m. 131),
Rabi'a (m. 136),(qu’Allah soit satisfait d’eux.)

* Puis tels que:
Abu Hanifa (m. 150),
Malik (m. 179),
al-Awza'i (m. 157),
Ibn Jurayj (m. 150),
Ma'mar [ibn Ríshid] (m. 154),
[Sa'id] Ibn Abi 'Aruba (m. 156),
Sufyan al-Thawri (m. 161),
les deux Hammads [ibn Salama (m.167) et ibn Zayd (m. 179)],
Shu'ba [ibn al-Hajjaj] (m. 160),
al-Layth [ibn Sa'd] (m. 175),
Ibn al-Majishun,
et Ibn Abi Dhi'b (m. 158) (qu’Allah soit satisfait d’eux.)

* Puis tels que:
Ibn al-Mubarak (m. 215),
Muslim al-Zanji (m. 180),
al-Qadi Abu Yusuf (m. 208),
al-Hiql ibn Zyad (m. 179),
Waki' (m. 196),
al-Walid ibn Muslim (m. 195) (qu’Allah soit satisfait d’eux.)

* Puis tels que:
al-Shafi'i (m. 204),
Abu 'Ubayd [al-Qasim ibn Sallam] (m. 224),
Ahmad [ibn Hanbal] (m. 241),
Ishaq [ibn Rahuyah] (m. 238),
Abu Thawr (m. 240),
al-Buwayti (m. 231),
et Abu Bakr ibn Abi Shayba (m. 235) (qu’Allah soit satisfait d’eux.)

* Puis tels que:
al-Muzani (m. 264),
Abu Bakr al-Athram (m. 260),
al-Bukhari (m. 256),
Dawud ibn 'Ali [al-Zahiri] (m. 275),
Muhammad ibn Nasr al-Marwazi (m. 294),
Ibrahim al-Harbi (m. 285),
er Isma'il [ibn Ishaq ibn Isma'il] al-Qadi (m. 282) (qu’Allah soit satisfait d’eux.)

* Puis tels que:
Muhammad ibn Jarir al-Tabari (m. 310),
Abu Bakr ibn Khu-zayma (m. 311),
Abu al-'Abbas [Ahmad ibn 'Umar] ibn Surayj (m. 303),
Abu Bakr [Muhammad ibn Ibrahim] ibn al-Mundhir (m. 318),
Abu Ja'far al-Tahawi (m. 321),
et Abu Bakr al-Khallal (m. 311) (qu’Allah soit satisfait d’eux.)

Bénédiction et paix sur le Prophète, sa Famille, et ses Compagnons.
 

Prizma

musulman
VIB
Et toi, ne suis pas les créatures dans la désobéissance du Créateur. Comment ? Je dis Allah a dit, le Messager a dit, et tu me dis : "Tel savant a dit." Toi, plutot repentis-toi. Sauf si ce que je dis et écris est faux à tes yeux, corrige-moi. Je t'en serais redevable. Commence par corriger les personnes qualifiant une pratique des Sahabas bien connu et commandé par le Messager en personne de prostitution.
 

IbnSalah

الله اكبر
C'est une interprétation, les Sahabas n'attendaient pas l'avis d'un imam pour appliquer les instructions du Prophète. Si une personne a la capacité d'évaluer, il NE PEUT PAS suivre l'avis qu'il trouve erroné.
Maintenant faites-vous petit si vous craignez votre Seigneur et arrêtez de brouiller les gens
 

Prizma

musulman
VIB
Je suis petit devant Allah, mais je ne suis pas petit quand on m'accuse de kufr. Je ne suis pas chiite, talmudiste ou autre. Je suis Musulman inchaallah. Et je ne demande à personne de me suivre, mais juste de suivre le Messager et les Sahabas qui ont été avec lui dès le commencement. Salam.
 

IbnSalah

الله اكبر
Et toi, ne suis pas les créatures dans la désobéissance du Créateur. Comment ? Je dis Allah a dit, le Messager a dit, et tu me dis : "Tel savant a dit." Toi, pllutot repentis-toi. Sauf si ce que je dis et écris est faux à tes yeux, corrige-moi. Je t'en serais redevable.
WAllahi je ne sais pas quel chatiment vous méritez, je vous ai cité des hadith, mais en fait connaissant bien son statut vous continuez car cela vous plait.
Pour ma part je m'arrêterai ici. Les Musulmans sincères auront compris.
Et qu'Allah bénisse Ses Saints serviteurs
 

IbnSalah

الله اكبر
Je suis petit devant Allah, mais je ne suis pas petit quand on m'accuse de kufr. Je ne suis pas chiite, talmudiste ou autre. Je suis Musulman inchaallah. Et je ne demande à personne de me suivre, mais juste de suivre le Messager et les Sahabas qui ont été avec lui dès le commencement. Salam.
Attendez seulement qu'Allah assiste ses Saints serviteurs.
Bientôt le retour de l'Islam in sha Allah
 

IbnSalah

الله اكبر
Quel hadith mon frère ? Quel hadith as-tu cité. Ne me fais pas pleurer. Laissez-moi tranquille. Salam.
Je vous assure que vos propos vous feront pleurer un jour, mais bon, Allahou Mousta'an.
Maintenant svp arrêtez de troubler les pauvres Musulmans du forum qui cherchent à apprendre.
 

Prizma

musulman
VIB
@IbnSalah. Pleurer ? Tu pense que les Sahabas qui ont continué à pratiquer le mut'a jusqu'à la prohibition de Umar dans l'affaire d'Amr ibn Hurays vont plus pleurer que toi ? Tu crois qu'Allah va nous juger pour avoir suivi tel savant ou tel mollah ? Tu crois que ce qui sort de la bouche ne sera pas pesé chez Allah Azza wa Jall ?

Ne t'inquiète pas pour mon sort, mais inquiète-toi du sort de ceux qui qualifient le mariage mut'a de prostitution, alors que le Messager a autorisé cela dans tout les cas près de vingt ans après l'interdiction du zina.

Inquiète-toi pour ceux qui ne regardent plus la source mais l'ombre. Pourquoi si tu es si certain de de que je suis dans l'égarement, au lieu de te demander quel type de chatiment je mériterais tu ne me dis pas : ici, sur ce point tu fais erreur ?

Si tu es dans la vérité en considérant l'ijma sur la prohibition du mut'a pour des raisons administrative comme la seule valable aux yeux des fuqahas, pour une interdiction propre par le Messager, pourquoi tu te contente de me décrier comme un misérable chiite perdu ? Montre-moi en quoi je me trompe, et ainsi tu me préserverais de l'erreur de comprendre que l'ijma se fonde non pas sur la sunnah de Umar ibn al-Khattab mais sur une véritable abrogation du Messager (P.). A quel point tu vois que je suis dans l'erreur ?

N.B. : Je ne dis pas que nos ulémas sont dans l'erreur dans leur ijma' sur la prohibition du mut'a. Je précise que cet ijma' ne se trouvait pas chez les salaf, et que qualifier cela de prostitution est d'une haute gravité. Et que l'affirmation d'une abrogation par le Messager est FAUX. Wallahi, Tallahi je ne suis pas chiite. Je ne prétends pas être infaillible non plus. Je suis musulman, mais l'islam se perd à cause du kharéjisme. On est en train d'effacer nos origines. Notre religion est dans les mains de personnes qui n'en comprennent plus l'esprit le ru7.
 
Dernière édition:
Comme il faut le faire, cite moi les preuves et s'il te plait sans parler des oussoul, simplement cites les différents avis avec les sources et les hadiths de même simplement le naql avec la source. Et faites que le débat reste scientifique dans les règles Islamiques
tu peux retirer le mot preuve stp , tu salis la langue française ... vu que ta définition ne correspond a aucun dictionnaire connu ...n'challah
 
Pleurer ? Tu pense que les Sahabas qui ont continué à pratiquer le mut'a jusqu'à la prohibition de Umar dans l'affaire d'Amr ibn Hurays vont plus pleurer que toi ? Tu crois qu'Allah va nous juger pour avoir suivi tel savant ou tel mollah ? Tu crois que ce qui sort de la bouche ne sera pas pesé chez Allah Azza wa Jall ? Ne t'inquiète pas pour mon sort, mais inquiète-toi du sort de ceux qui qualifient le mariage mut'a de prostitution, alors que le Messager a autorisé cela dans tout les cas près de vingt ans après l'interdiction du zina. Inquiète-toi pour ceux qui ne regardent plus la source mais l'ombre. Pourquoi si tu es si certain de de que je suis dans l'égarement, au lieu de te demander quel type de chatiment je mériterais tu ne me dis pas : ici, sur ce point tu fais erreur ? Si tu es dans la vérité en considérant l'ijma sur la prohibition du mut'a pour des raisons administrative comme la seule valable comme une interdiction propre par le Messager, pourquoi tu te contente de me décrier comme un misérable chiite perdu ? Montre-moi en quoi je me trompe, et ainsi tu me préserverais de l'erreur de comprendre que l'ijma se fonde non pas sur la sunnah de Umar ibn al-Khattab mais sur une véritable abrogation du Messager (P.). A quel point tu vois que je suis dans l'erreur ?

N.B. : Je ne dis pas que nos ulémas sont dans l'erreur dans leur ijma' sur la prohibition du mut'a. Je précise que cet ijma' ne se trouvait pas chez les salaf, et que qualifier cela de prostitution est d'une haute gravité. Et que l'affirmation d'une abrogation par le Messager est FAUX. Wallahi, Tallahi je ne suis pas chiite. Je ne prétends pas être infaillible non plus. Je suis musulman, mais l'islam se perd à cause du kharéjisme. On est en train d'effacer nos origines.

@Prizma
heu écouter les gars, dans le coran le mariage c'est uniquement pour faire des enfants, le reste c'est de la saloperie , on parle de champs fertille a labourer , pas de besoin de se décharger et assouvir ses vices ...

vous êtes deux kouffar et de tout manière que vous espériez ou non, vous avez déjà été maudit ... et ce ne sera surement pas la dernière fois ...
 

Prizma

musulman
VIB
Ya Rabbi ! Je te laisse juger de ceux qui qualifient le mut'a de prostitution à cause de leur radicalisation. Je suis loin d'eux comme je suis loin des chiites. Fais d'eux comme tu voudras pour insulter ouvertement ton Messager et les Sahabas, nos pieux prédecesseurs, par orgueil, ta'assub-i a'maa'i et ignorance. Mais préserve ceux qui suivent l'ijma' sur cette prohibition de 'Umar sans insulter nos devanciers. Amin !
 
Haut