L'Algérie va investir 560M€ dans son tourisme

Le gouvernement souhaite que le tourisme puisse à terme faire contrepoids aux hydrocarbures, source quasi unique de revenus en devises à l'heure actuelle.

Ce journaliste raconte n'importe quoi, comme si le tourisme pouvait faire contrepoid aux hydrocarbures. Le tourisme, dominé par les tours operateurs etrangers rapporte que des miettes dans les pays voisins.
15 jours d'exportation d'hydrocarbures equivalent aux recettes touristiques d'une année d'un pays comme le Maroc.
Il y a déja un peu de tourisme en Algerie, il faut juste ameliorer la qualité pour les locaux et les quelques etrangers, pas besoin de faire de notre pays un depotoire pour des millions d'occidentaux pour quelques euros, surtout quand on voit tout ce que le tourisme de masse engendre comme destruction social et environnemental pour le pays d'accueil.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Je m'excuse mais il n'y a pas plus urgent en Algérie que le tourisme?

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Ils sont une centaine à être contaminés et une dizaine à être condamnés à rester à l’hôpital parce qu’aucune pouponnière ne veut d’eux, en dépit de ce que dit la loi. Une association dénonce.


Yanis a 5 ans. C’est un enfant gai et vif. Mais personne ne veut de lui. Né à Alger en 2007, il suit sa mère, séropositive, à l’hôpital spécialisé en maladies infectieuses, Laâdi Flici (ex-El Kettar), quand sa santé se dégrade. Quelques jours plus tard, la maman décède. Son père décède à son tour. Depuis, Yanis vit au service pédiatrique du même hôpital. Personne ne veut de lui, ni ses oncles et tantes ni les pouponnières. Il a une chambre, un lit, la télévision, des jouets, une Playstation, des vêtements neufs… mais pas une famille. Ils sont 159 enfants à être nés en Algérie, comme lui, séropositifs, depuis 2003.
Ces enfants, dont les parents sont décédés suite au VIH, se battent seuls aujourd’hui contre leur maladie et surtout contre l’indifférence de la société. Ils sont, en effet, une dizaine à l’échelle nationale, abandonnés dans des hôpitaux et que des pouponnières refusent d’admettre parce qu’ils sont séropositifs. Médicalement, Yanis a besoin d’un contrôle une fois par trimestre. C’est un enfant normal dans la mesure où il n’est pas alité. «Il est impossible de répondre d’abord aux exigences du dossier, comme le certificat de résidence ou la poursuite de sa scolarité et ses déplacements quotidiens», affirme-t-on auprès de l’association. Sa présence à l’hôpital n’a pas lieu d’être, mais aucune pouponnière ne l’a accepté. L’équipe médicale prend alors la décision de porter l’affaire devant le procureur de la République. Voilà trois ans que le dossier est en justice, sans aucune suite. L’association cherche également, sans succès, une famille d’accueil.

Pas contagieux

«Dans la mesure où ces enfants ne nécessitent pas une hospitalisation et sont sans famille, les pouponnières doivent ouvrir leurs portes sans condition, souligne maître Fatma Zohra Benbraham. Privés de famille, ils deviennent systématiquement pupilles de la nation. Ces enfants doivent être placés dans les structures de l’Etat sans aucune entrave. Les médecins doivent seulement expliquer qu’il ne s’agit pas d’une maladie contagieuse, mais transmissible. Compte tenu de la crainte de certaines pouponnières, l’Etat pourrait, en revanche, suggérer la spécialisation de quelques nurserys pour ces enfants malades.»

Pour Nawal Lahouel, présidente de l’association El Hayet, il est impératif de «changer de mentalité et savoir que le VIH est seulement transmissible mais pas contagieux. Sans cela, nous ne pourrons jamais atteindre le but tracé d’ici 2015. La campagne qu’on mène actuellement vise zéro contamination. L’Unicef pense que d’ici 2015, les enfants du monde entier naîtront sans VIH et que leurs mamans pourraient survivre. Ces enfants ont le droit de mener une vie normale, à l’instar des autres. Il faut savoir que 90% des femmes en Algérie ont été contaminées dans un cadre légitime.» Si son affaire n’est pas tranchée par la justice d’ici septembre prochain, Yanis risque de ne pas connaître les bancs de l’école.


Nassima Oulebsir
 
Il faut combattre le terrorisme si non ça sert a rien d'investir dans le tourisme


Je suis d'accord qu'il faille combattre le terrorisme, mais il ne faut pas oublier que le pays doit continuer à avancer, progresser, d'autant que la tâche est collossale, pour pouvoir s'aligner sur d'autres pays. Nous pouvons et devons mener plusieurs chantiers à la fois.
 

allissia

l'air de rien............
Je m'excuse mais il n'y a pas plus urgent en Algérie que le tourisme?

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Nassima Oulebsir
Salam,
C'est du n'importe quoi , on te parle du tourisme
et tu nous sort un dossier sur le ministére de la santé.
Bien sur qu'il y a des reformes a faire.
mais est ce que le fait de modifier le systeme de santé ,
doit impacter sur un autre ministére, et une autre orientation politique.
 
bah non vu que l'essence dans les stations algériennes sont à bas prix, si t'ajoute le marché marocain les réserves de l'Algérie s'épuiseront plus vite, déja que dans l'est algérien les tunisiens se servent à gogo + bizzness de la contrebande , alors j'imagine même pas ce que ça sera dans l'ouest algérien

tes bases du commerce sont à revoir ma chère.
 
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