Le maroc risque de lourdes sanctions?

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Ok on a compris, mais que vient faire le sahara dans cette histoire? ah ces algériens, me feront toujours marrer :D

En froid avec l’ONU et les Etats-Unis, n’ayant pas voix au chapitre à l’Union africaine et désormais exclu de la CAN, le cauchemar continue pour le Maroc.

Est-ce la fin d’un règne pour le Maroc en Afrique ? La décision du comité exécutif de la Confédération africaine de football de lui retirer l’organisation de la CAN et d’en disqualifier son équipe nationale constitue, assurément, un camouflet. Sportif d’abord, mais aussi et surtout diplomatique. Le royaume, qui était jusque-là en territoire acquis et conquis sur le continent noir, s’en trouve subitement chassé…
Le mot est fort, mais la sentence de la CAF et ses implications le sont tout autant. Le royaume, qui a maintenu les dessertes de sa compagnie aérienne, la RAM, vers de nombreuses destinations africaines malgré Ebola, n’a pas réussi à convaincre l’instance continentale de reporter la compétition de foot de peur précisément de ce fameux virus. L’argument du «cas de force majeure sanitaire» s’est avéré insuffisant pour faire plier la CAF.

Le mauvais diagnostic de Rabat

De fait, le Maroc se prive d’une immense occasion de s’offrir une publicité gratuite et dans le monde entier pendant trois semaines, soit la durée de la compétition africaine. Mais, plus grave, c’est l’image du royaume qui se trouve sérieusement écornée par cette exclusion, sans gloire, d’une compétition aussi prestigieuse que la CAN. Vu d’Afrique, c’est un manque de solidarité de la part du Maroc à l’égard des pays touchés par le virus Ebola qui ont plus besoin d’être soutenus que d’être fuis comme des pestiférés.

En abattant sa main lourde, la CAF, présidée par le Camerounais Issa Hayatou, a sans doute voulu faire payer au royaume son attitude pour le moins inappropriée. Diplomatiquement, c’est une gifle pour un pays qui prétend être le porte-drapeau du continent, même s’il s’est auto-exclu des instances de l’Union africaine depuis 1984. Le Maroc a clairement perdu la main sur le continent, malgré les périples réguliers et autres safaris de son roi, qui ouvre une banque par-ci et une mosquée par-là.

Le fait est que de nombreux pays africains soutiennent le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et reconnaissent la RASD. En juin dernier, au terme de son 23e sommet à Malabo, en Guinée équatoriale, l’Union africaine a nommé l’ex-président du Mozambique, Joaquim Chissano, envoyé de l’UA pour le Sahara occidental. Une nomination qui a fait très mal au royaume, au point de protester auprès de Ban Ki-moon. Mais ce n’était qu’un début. Le cauchemar allait crescendo pour le royaume qui faisait face à une série de déconvenues sur le seul sujet inscrit à son agenda diplomatique, à savoir le dossier du Sahara occidental.

A commencer par les rapports décapants sur les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés et les simulacres de procès expéditifs contre les activistes sahraouis. Signe de la grosse panique qui s’est emparée du royaume, sa mission à New York ne sait plus sur quels amis s’appuyer maintenant que les Etats-Unis assument publiquement le statut du Sahara occidental en tant que «territoire non autonome», conformément aux résolutions pertinentes des Nations unies.

El Watan, qui a consulté des documents confidentiels envoyés par le représentant du makhzen à l’ONU à sa tutelle à Rabat, a pris toute la mesure du malaise du Maroc face à l’érosion de ses soutiens au Conseil de sécurité. Déjà qu’il a échappé de justesse à un projet de résolution américain élargissant le mandat de la Minurso à la protection des droits de l’homme en 2013, le Maroc s’inquiète plus que jamais d’un lâchage définitif des Américains. Et pour cause, Washington a très mal apprécié le refus du Maroc d’accueillir l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, au prétexte que ses rapports sur le Sahara occidental seraient subjectifs.

De même que les Etats-Unis ainsi que le secrétaire général de l’ONU ne comprennent pas que Rabat s’oppose à la nomination du nouveau chef de la Minurso, la diplomate canadienne Kim Bolduc. Alors qu’elle devait rejoindre son poste début septembre à El Ayoun, le Maroc ne lui a pas donné son feu vert, arguant qu’il n’a pas été «consulté». C’est dire que le royaume du Maroc se retrouve en porte-à-faux avec les Nations unies, l’Union africaine et, depuis hier, avec la Confédération de football. Il est clair qu’il lui sera difficile de se sortir d’un tel guêpier. En diplomatie, il n’est jamais de bon ton de hausser le ton et de bomber le torse, a fortiori contre des adversaires avec lesquels on ne boxe pas dans la même catégorie. Le Maroc et son roi risquent d’y laisser des plumes…

http://www.elwatan.com/une/le-maroc-risque-de-lourdes-sanctions-12-11-2014-277481_108.php
 
Réaction de Claude Leroy sélectionneur du Congo :


"Je pense que [les Marocains] avaient des problèmes structurels pour l’organisation de cette compétition. Et puis il y a une question sportive : est-ce qu’ils étaient prêts sportivement à affronter les 15 autres meilleures équipes du continent ? Ils ne voulaient pas connaître ce qu’ils avaient vécu en 1988 et l’immense déception de leur élimination en demi-finale. Peut-être ce paramètre est aussi intervenu dans leur décision [de demander le report de la CAN]".


Réaction de Yaya Touré élu meilleur joueur africain international ivoirien :

« Je trouve que la décision du Maroc est difficile à comprendre, étant donné qu’il organise dans un mois la Coupe du monde des clubs. Les raisons sanitaires ne sont pas valables. La CAN est la messe du football en Afrique. Le Maroc n’a pas tenu compte de la déception des Africains



Sinon concernant l'article d'El Watan, il est clair qu'actuellement le Maroc est isolé de toute part et commence à perdre le soutien des USA au point que le Maroc essaie de se rapprocher de la Russie...
 
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http://www.elwatan.com/une/le-maroc-risque-de-lourdes-sanctions-12-11-2014-277481_108.php
Tu fais plus de la pub à ces journaleux et leur torchons, Déjà qu'ils peinent à convaincre leur lecteurs naïfs. je suis contre de leur la chance d'être lus par des marocains.
La meilleure façon est de laisser leur messages pourris à l'échelle locale jusqu'à ce que leur audience limitée se réveille
 
Réaction de Claude Leroy sélectionneur du Congo :


"Je pense que [les Marocains] avaient des problèmes structurels pour l’organisation de cette compétition. Et puis il y a une question sportive : est-ce qu’ils étaient prêts sportivement à affronter les 15 autres meilleures équipes du continent ? Ils ne voulaient pas connaître ce qu’ils avaient vécu en 1988 et l’immense déception de leur élimination en demi-finale. Peut-être ce paramètre est aussi intervenu dans leur décision [de demander le report de la CAN]".


Réaction de Yaya Touré élu meilleur joueur africain international ivoirien :

« Je trouve que la décision du Maroc est difficile à comprendre, étant donné qu’il organise dans un mois la Coupe du monde des clubs. Les raisons sanitaires ne sont pas valables. La CAN est la messe du football en Afrique. Le Maroc n’a pas tenu compte de la déception des Africains



Sinon concernant l'article d'El Watan, il est clair qu'actuellement le Maroc est isolé de toute part et commence à perdre le soutien des USA au point que le Maroc essaie de se rapprocher de la Russie...

On s'en bats un peu les steaks de l'organisation mnt, des problèmes structurels ou financiers peu importe, la question est pourquoi ça parle de sahara dans un article de sport? comme quoi ça ne tourne pas rond chez certain à mélanger sport et politique.....;)
 
On s'en bats un peu les steaks de l'organisation mnt, des problèmes structurels ou financiers peu importe, la question est pourquoi ça parle de sahara dans un article de sport? comme quoi ça ne tourne pas rond chez certain à mélanger sport et politique.....;)

Sa parle du Sahara parce que les algériens ne sont pas dupe....Tous le monde le sait que la décision de ne pas organiser la CAN au Maroc vient d'en haut, le roi en personne à pris sa décision et inutile d'expliquer que le Sahara Occidental est en partie l'une des causes. Il y a trop d'enjeu pour le Maroc, une CAN remporté par l'Algérie sur le sol marocain sera difficile à supporter pour les autorités marocaines, surtout qu'en Avril 2015 il y aura un vote à l'ONU qui risque d'être décisif sur le sort du Sahara Occidental ( élargissement de la Minurso ou pas )

Même les marocains le savent au fond d'eux. Beaucoup ne comprennent pas pourquoi on demande un report pour cause de virus Ebola et on acceuille des matchs de la Guinée et des clubs guinéens se préparer au Maroc, tout en continuant de desservir des vols aériens dans des pays touchés par le virus Ebola ( Libéria, Sierra Leonne, Guinée ) :

 
Ok on a compris, mais que vient faire le sahara dans cette histoire? ah ces algériens, me feront toujours marrer :D

En froid avec l’ONU et les Etats-Unis, n’ayant pas voix au chapitre à l’Union africaine et désormais exclu de la CAN, le cauchemar continue pour le Maroc.

Est-ce la fin d’un règne pour le Maroc en Afrique ? La décision du comité exécutif de la Confédération africaine de football de lui retirer l’organisation de la CAN et d’en disqualifier son équipe nationale constitue, assurément, un camouflet. Sportif d’abord, mais aussi et surtout diplomatique. Le royaume, qui était jusque-là en territoire acquis et conquis sur le continent noir, s’en trouve subitement chassé…
Le mot est fort, mais la sentence de la CAF et ses implications le sont tout autant. Le royaume, qui a maintenu les dessertes de sa compagnie aérienne, la RAM, vers de nombreuses destinations africaines malgré Ebola, n’a pas réussi à convaincre l’instance continentale de reporter la compétition de foot de peur précisément de ce fameux virus. L’argument du «cas de force majeure sanitaire» s’est avéré insuffisant pour faire plier la CAF.

Le mauvais diagnostic de Rabat

De fait, le Maroc se prive d’une immense occasion de s’offrir une publicité gratuite et dans le monde entier pendant trois semaines, soit la durée de la compétition africaine. Mais, plus grave, c’est l’image du royaume qui se trouve sérieusement écornée par cette exclusion, sans gloire, d’une compétition aussi prestigieuse que la CAN. Vu d’Afrique, c’est un manque de solidarité de la part du Maroc à l’égard des pays touchés par le virus Ebola qui ont plus besoin d’être soutenus que d’être fuis comme des pestiférés.

En abattant sa main lourde, la CAF, présidée par le Camerounais Issa Hayatou, a sans doute voulu faire payer au royaume son attitude pour le moins inappropriée. Diplomatiquement, c’est une gifle pour un pays qui prétend être le porte-drapeau du continent, même s’il s’est auto-exclu des instances de l’Union africaine depuis 1984. Le Maroc a clairement perdu la main sur le continent, malgré les périples réguliers et autres safaris de son roi, qui ouvre une banque par-ci et une mosquée par-là.

Le fait est que de nombreux pays africains soutiennent le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et reconnaissent la RASD. En juin dernier, au terme de son 23e sommet à Malabo, en Guinée équatoriale, l’Union africaine a nommé l’ex-président du Mozambique, Joaquim Chissano, envoyé de l’UA pour le Sahara occidental. Une nomination qui a fait très mal au royaume, au point de protester auprès de Ban Ki-moon. Mais ce n’était qu’un début. Le cauchemar allait crescendo pour le royaume qui faisait face à une série de déconvenues sur le seul sujet inscrit à son agenda diplomatique, à savoir le dossier du Sahara occidental.

A commencer par les rapports décapants sur les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés et les simulacres de procès expéditifs contre les activistes sahraouis. Signe de la grosse panique qui s’est emparée du royaume, sa mission à New York ne sait plus sur quels amis s’appuyer maintenant que les Etats-Unis assument publiquement le statut du Sahara occidental en tant que «territoire non autonome», conformément aux résolutions pertinentes des Nations unies.

El Watan, qui a consulté des documents confidentiels envoyés par le représentant du makhzen à l’ONU à sa tutelle à Rabat, a pris toute la mesure du malaise du Maroc face à l’érosion de ses soutiens au Conseil de sécurité. Déjà qu’il a échappé de justesse à un projet de résolution américain élargissant le mandat de la Minurso à la protection des droits de l’homme en 2013, le Maroc s’inquiète plus que jamais d’un lâchage définitif des Américains. Et pour cause, Washington a très mal apprécié le refus du Maroc d’accueillir l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, au prétexte que ses rapports sur le Sahara occidental seraient subjectifs.

De même que les Etats-Unis ainsi que le secrétaire général de l’ONU ne comprennent pas que Rabat s’oppose à la nomination du nouveau chef de la Minurso, la diplomate canadienne Kim Bolduc. Alors qu’elle devait rejoindre son poste début septembre à El Ayoun, le Maroc ne lui a pas donné son feu vert, arguant qu’il n’a pas été «consulté». C’est dire que le royaume du Maroc se retrouve en porte-à-faux avec les Nations unies, l’Union africaine et, depuis hier, avec la Confédération de football. Il est clair qu’il lui sera difficile de se sortir d’un tel guêpier. En diplomatie, il n’est jamais de bon ton de hausser le ton et de bomber le torse, a fortiori contre des adversaires avec lesquels on ne boxe pas dans la même catégorie. Le Maroc et son roi risquent d’y laisser des plumes…

http://www.elwatan.com/une/le-maroc-risque-de-lourdes-sanctions-12-11-2014-277481_108.php
C est toi qui fait un mauvais diagnostique !!!Rien au monde ne peut remplacer la centée de tout un peuple!!! Puisque tu sais faire de bons choix ,tu peux organiser cette compétition chez toi et tu gagneras les plumes que le Maroc et son Roi y laisseront !!!
 
Sa parle du Sahara parce que les algériens ne sont pas dupe....Tous le monde le sait que la décision de ne pas organiser la CAN au Maroc vient d'en haut, le roi en personne à pris sa décision et inutile d'expliquer que le Sahara Occidental est en partie l'une des causes. Il y a trop d'enjeu pour le Maroc, une CAN remporté par l'Algérie sur le sol marocain sera difficile à supporter pour les autorités marocaines, surtout qu'en Avril 2015 il y aura un vote à l'ONU qui risque d'être décisif sur le sort du Sahara Occidental ( élargissement de la Minurso ou pas )

Même les marocains le savent au fond d'eux. Beaucoup ne comprennent pas pourquoi on demande un report pour cause de virus Ebola et on acceuille des matchs de la Guinée et des clubs guinéens se préparer au Maroc, tout en continuant de desservir des vols aériens dans des pays touchés par le virus Ebola ( Libéria, Sierra Leonne, Guinée ) :


Mais ces quoi ces ânneries encore? vous êtes tous les mêmes ma parole, tu penses que le fait de gagner la CAN par l'Algérie fera pencher la balance du Sahara chez l'ONU d'un côté ou d'un autre? si mes souvenirs sont bons le conflit oppose la RASD avec le Maroc, et la RASD n'a pas d'équipe à ce que je sache, que vient faire l'Algérie dans cette histoire? Vous vous prenez vraiment pour le nombril du monde et inconsciemment vous vous mettez en devant de la scène quand il s'agit du sahara alors que ça ne vous regarde pas directement....En résumé, tu fais bien partie de cette catégorie chez qui le torchon "Al watan" trouve son bonheur.

Les vols aériens viennent exclusivement des aéroports qui sont bien contrôlés, et ce n'est pas plus d'une centaine de passagers... quand tu accueilles une CAN les supporters peuvent venir par tous les moyens et ça devient incontrôlable, quand tu vois que la France, l'Espagne..etc ramènent leurs confrères atteint d'ébola venant d'Afrique en capsule...etc
Tu penses que le Maroc a les moyens de faire ça en cas d'épidémie?

Le Maroc a pris la bonne décision, tu peux penser ce que tu veux, ça ne change en rien nos convictions ;)
 
Ok on a compris, mais que vient faire le sahara dans cette histoire? ah ces algériens, me feront toujours marrer :D

En froid avec l’ONU et les Etats-Unis, n’ayant pas voix au chapitre à l’Union africaine et désormais exclu de la CAN, le cauchemar continue pour le Maroc.

Est-ce la fin d’un règne pour le Maroc en Afrique ? La décision du comité exécutif de la Confédération africaine de football de lui retirer l’organisation de la CAN et d’en disqualifier son équipe nationale constitue, assurément, un camouflet. Sportif d’abord, mais aussi et surtout diplomatique. Le royaume, qui était jusque-là en territoire acquis et conquis sur le continent noir, s’en trouve subitement chassé…
Le mot est fort, mais la sentence de la CAF et ses implications le sont tout autant. Le royaume, qui a maintenu les dessertes de sa compagnie aérienne, la RAM, vers de nombreuses destinations africaines malgré Ebola, n’a pas réussi à convaincre l’instance continentale de reporter la compétition de foot de peur précisément de ce fameux virus. L’argument du «cas de force majeure sanitaire» s’est avéré insuffisant pour faire plier la CAF.

Le mauvais diagnostic de Rabat

De fait, le Maroc se prive d’une immense occasion de s’offrir une publicité gratuite et dans le monde entier pendant trois semaines, soit la durée de la compétition africaine. Mais, plus grave, c’est l’image du royaume qui se trouve sérieusement écornée par cette exclusion, sans gloire, d’une compétition aussi prestigieuse que la CAN. Vu d’Afrique, c’est un manque de solidarité de la part du Maroc à l’égard des pays touchés par le virus Ebola qui ont plus besoin d’être soutenus que d’être fuis comme des pestiférés.

En abattant sa main lourde, la CAF, présidée par le Camerounais Issa Hayatou, a sans doute voulu faire payer au royaume son attitude pour le moins inappropriée. Diplomatiquement, c’est une gifle pour un pays qui prétend être le porte-drapeau du continent, même s’il s’est auto-exclu des instances de l’Union africaine depuis 1984. Le Maroc a clairement perdu la main sur le continent, malgré les périples réguliers et autres safaris de son roi, qui ouvre une banque par-ci et une mosquée par-là.

Le fait est que de nombreux pays africains soutiennent le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et reconnaissent la RASD. En juin dernier, au terme de son 23e sommet à Malabo, en Guinée équatoriale, l’Union africaine a nommé l’ex-président du Mozambique, Joaquim Chissano, envoyé de l’UA pour le Sahara occidental. Une nomination qui a fait très mal au royaume, au point de protester auprès de Ban Ki-moon. Mais ce n’était qu’un début. Le cauchemar allait crescendo pour le royaume qui faisait face à une série de déconvenues sur le seul sujet inscrit à son agenda diplomatique, à savoir le dossier du Sahara occidental.

A commencer par les rapports décapants sur les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés et les simulacres de procès expéditifs contre les activistes sahraouis. Signe de la grosse panique qui s’est emparée du royaume, sa mission à New York ne sait plus sur quels amis s’appuyer maintenant que les Etats-Unis assument publiquement le statut du Sahara occidental en tant que «territoire non autonome», conformément aux résolutions pertinentes des Nations unies.

El Watan, qui a consulté des documents confidentiels envoyés par le représentant du makhzen à l’ONU à sa tutelle à Rabat, a pris toute la mesure du malaise du Maroc face à l’érosion de ses soutiens au Conseil de sécurité. Déjà qu’il a échappé de justesse à un projet de résolution américain élargissant le mandat de la Minurso à la protection des droits de l’homme en 2013, le Maroc s’inquiète plus que jamais d’un lâchage définitif des Américains. Et pour cause, Washington a très mal apprécié le refus du Maroc d’accueillir l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, au prétexte que ses rapports sur le Sahara occidental seraient subjectifs.

De même que les Etats-Unis ainsi que le secrétaire général de l’ONU ne comprennent pas que Rabat s’oppose à la nomination du nouveau chef de la Minurso, la diplomate canadienne Kim Bolduc. Alors qu’elle devait rejoindre son poste début septembre à El Ayoun, le Maroc ne lui a pas donné son feu vert, arguant qu’il n’a pas été «consulté». C’est dire que le royaume du Maroc se retrouve en porte-à-faux avec les Nations unies, l’Union africaine et, depuis hier, avec la Confédération de football. Il est clair qu’il lui sera difficile de se sortir d’un tel guêpier. En diplomatie, il n’est jamais de bon ton de hausser le ton et de bomber le torse, a fortiori contre des adversaires avec lesquels on ne boxe pas dans la même catégorie. Le Maroc et son roi risquent d’y laisser des plumes…

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El Watan est la plus grosse poubelle du monde.
Il n'y a que quelques algériens qui le lisent
 
Sa parle du Sahara parce que les algériens ne sont pas dupe....Tous le monde le sait que la décision de ne pas organiser la CAN au Maroc vient d'en haut, le roi en personne à pris sa décision et inutile d'expliquer que le Sahara Occidental est en partie l'une des causes. Il y a trop d'enjeu pour le Maroc, une CAN remporté par l'Algérie sur le sol marocain sera difficile à supporter pour les autorités marocaines, surtout qu'en Avril 2015 il y aura un vote à l'ONU qui risque d'être décisif sur le sort du Sahara Occidental ( élargissement de la Minurso ou pas )

Même les marocains le savent au fond d'eux. Beaucoup ne comprennent pas pourquoi on demande un report pour cause de virus Ebola et on acceuille des matchs de la Guinée et des clubs guinéens se préparer au Maroc, tout en continuant de desservir des vols aériens dans des pays touchés par le virus Ebola ( Libéria, Sierra Leonne, Guinée ) :

Le foot n est plus un sport ;c est de la politique,c est du commerce ...A mon avis ,puisque l algérie y participe ,il vaut mieux que le Maroc n organise pas cette compétition,pour la seule raison que l algérie ne cherche que l occasion de faire entrer au Maroc (des mortaziqas)pour foutre des troubles...et l histoire a bien inscrit des exemples:les envoyés à Gdim izique,les subsahariens ,les syriens ,que l algérie embarque à la frontière et les rejette vers le Maroc après avoir leur confisquer leurs biens et violer leurs femmes...
 
Tu fais plus de la pub à ces journaleux et leur torchons, Déjà qu'ils peinent à convaincre leur lecteurs naïfs. je suis contre de leur la chance d'être lus par des marocains.
La meilleure façon est de laisser leur messages pourris à l'échelle locale jusqu'à ce que leur audience limitée se réveille

le mot qu'il faut.

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CAN 2015, ON S'EN FOOT !

Alea jacta est ! Le Maroc a franchi le Rubicon et Aïssa Hayatou s’y est noyé…

Comme attendu et pressenti, la Confédération Africaine de Football, engagée d’un « bras de fer » avec le Royaume, a rejeté la demande de report de la CAN 2015, disqualifié le Onze national et décidé de maintenir cette compétition footballistique aux dates annoncées.

Un hic cependant, nonobstant le fait que des sanctions seront prochainement prises contre notre pays, c’est que Hayatou et ses pairs n’ont pas pour autant annoncé quel serait leur Plan B !

Et si le président de la CAF n’a pas voulu suivre la demande de report présentée par le Maroc en raison du risque majeur que l’épidémie du virus Ebola ferait courir au pays, à sa population, à ses invités, il n’en demeure pas moins que l’actualité a sévèrement taclé les « seigneurs du football africain » moins de 24 heures après la décision du Caire.

En effet, c’est la Maison Blanche elle-même qui faisait savoir que la guérison du médecin américain hospitalisé à New York après un séjour avec MSF en Guinée, n’empêcherait nullement que d’autres cas d’infection par Ebola pourraient se produire sur le territoire américain. Et ce sont les services de Santé du Mali qui faisaient savoir que l’infirmier malien qui avait soigné la petite Guinéenne hospitalisée et décédée à Bamako il y a une quinzaine de jours, venait à son tour de mourir des suites de son infection par le virus Ebola.

5000 morts M. Hayatou !

Chacun sait que le Royaume, par le biais d’un communiqué du ministère de la Jeunesse et des Sports, avait rejeté samedi dernier, à l’expiration du délai qui lui était accordé par la CAF, la « mise en demeure » du président Aïssa Hayatou qui avait instamment prié le Maroc de s’en tenir aux dates fixées pour cette compétition africaine, soit en janvier-février 2015.

Dans un contexte où chaque partie se devait de faire preuve de positions fermement arrêtées, on imaginait très mal que la CAF revienne sur sa décision et acceptât finalement les arguments du Maroc, même si ceux-ci étaient et sont toujours, incontestablement, légitimes et justifiés.

Pourtant, sans conteste et malgré quelques appréciations dissonantes ça et là, on remarque que l’opinion publique nationale, comme l’exprime d’ailleurs une grande partie de la presse nationale, « papier » et électronique, suit la position officielle et en comprend parfaitement les motivations.

Ebola, quoi qu’en dise M. Hayatou, qui est tout sauf un expert en épidémiologie, représente un risque majeur de santé publique pour le Maroc et sa population. Les 5000 victimes que ce virus a causées à ce jour sont malheureusement là pour en attester.

La décision de demande de report de la CAN n’a pas été prise à la légère et ceux qui pensent qu’il s’agit-là d’une démarche « en solo » de M. Ouzzine, ministre des Sports, se trompent lourdement.

Le ministère de la Santé, par la voix de son premier responsable, le Dr Houcine El Ouardi, avait fortement conseillé une telle position et nul n’est mieux placé que lui pour juger des capacités réelles de lutte contre Ebola que le Maroc pourrait mettre en place si, par malheur, une telle épidémie devait se propager dans notre pays.

Mais, surtout, on imagine mal un « ministre novice » au poste exclusivement technique, prendre seul une décision impliquant le Royaume en son entier et lourde de conséquences aussi fortes que multiples.

La décision de demande de report est éminemment souveraine et suppose, ipso facto, que des cercles très hauts placés dans la hiérarchie de l’Etat aient été impliqués dès le départ dans cette affaire.

Par ailleurs, alors que les « contre-arguments » de Hayatou en faveur du maintien des dates préétablies ont fleuri dans notre presse, on peut très facilement les considérer comme particulièrement fallacieux.

En effet, s’il est possible, voire même facile d’accueillir l’équipe nationale de football de Guinée, pays touché par Ebola, pour des matches sur le territoire national, comme cela s’est passé durant l’été, cela n’a aucune commune mesure avec la réception de dizaines de milliers de supporters venus de plusieurs pays africains.

Une délégation officielle de footballeurs, ce sont, au plus, une trentaine de personnes. La CAN 2015, si elle venait à être organisée à l’époque prévue, drainerait vers notre pays un nombre autrement important d’afficionados, sans réelle possibilité de contrôle sanitaire.


Monrovia-Casablanca-New York-Houston et la tombe…

À ce niveau se situe le second argument du président de la CAF qui excipe des rotations aériennes effectuées par les avions de Royal Air Maroc sur la Guinée, la Sierra Leone et le Liberia, pour énoncer que le Maroc est en contradiction avec lui-même.

M. Hayatou ne sait sans doute pas que le ressortissant libérien décédé des suites d’Ebola dans un hôpital texan, à Houston, avait transité par le Maroc en provenance de Monrovia.

Cet homme était déjà porteur du virus lorsqu’il fit escale au hub de Casablanca à destination de New York, mais il n’était pas encore contagieux. Imaginons qu’il se soit arrêté plusieurs jours dans notre capitale économique, qu’il ait fait un « petit tour » au Morocco Mall, pris un verre sur la Corniche, et suivit la file d’attente des grands taxis pour se rendre à l’aéroport Med V. Combien de personnes aurait-il approché, touché, avec des risques de contamination si le virus était devenu infectieux lors de ce séjour ?

A la date d’aujourd’hui, selon les informations officielles, un seul hôpital est équipé à Casablanca pour accueillir des individus suspectés de porter le virus Ebola. Ce « dispositif » comporte essentiellement un médecin généraliste et deux infirmiers de permanence, une salle dédiée à la quarantaine…

Hayatou ne veut pas comprendre, mais nous savons que la seule éventualité d’une contamination lors d’une compétition interafricaine avec des dizaines de milliers de spectateurs, nationaux et étrangers, fait pâlir tous les responsables officiels.

Quel serait l’impact d’un tel drame sur notre industrie touristique et les centaines de milliers d’emplois qu’elle génère dans notre pays ?

Quelle en serait l’incidence sur notre PIB, déjà faiblard, alors que l’on sait que celui des pays touchés par Ebola s’est divisé par deux en quelques mois ?

Le Maroc est-il moins africain que notre ami le Sénégal qui a fermé drastiquement toutes ses frontières avec les pays touchés par Ebola et ce depuis le mois de mars 2014 ?

La CAF veut forcer la décision et camper sur sa position maximaliste, non parce qu’elle a la volonté de tenir la CAN aux dates prévues, mais parce qu’il s’agit de trouver des arguments de « force majeure » pour éviter de payer des indemnités et des pénalités aux multinationales sponsors de cette compétition et aux chaînes de TV qui ont acheté les droits de retransmission.

Ni plus, ni moins.

Le Maroc, quelle que soit la hauteur des amendes, le prix sportif à payer, la suspension de matches africains qui lui seront infligés, a pris la bonne décision décision.

Car, in fine, cela sera toujours moins cher et moins lourd à assumer que le déclenchement d’une épidémie d’Ebola dans le Royaume.

Personne, non personne, ayant conscience des conséquences de la découverte d’UN SEUL CAS d’Ebola dans notre pays, ne saurait en assumer le risque, la responsabilité, la paternité.

Hayatou éructe et la caravane passe…

http://lnt.ma/blog/fahd-yata/can-2015-on-sen-foot/
 
CAN 2015, ON S'EN FOOT !

Alea jacta est ! Le Maroc a franchi le Rubicon et Aïssa Hayatou s’y est noyé…

Comme attendu et pressenti, la Confédération Africaine de Football, engagée d’un « bras de fer » avec le Royaume, a rejeté la demande de report de la CAN 2015, disqualifié le Onze national et décidé de maintenir cette compétition footballistique aux dates annoncées.

Un hic cependant, nonobstant le fait que des sanctions seront prochainement prises contre notre pays, c’est que Hayatou et ses pairs n’ont pas pour autant annoncé quel serait leur Plan B !

Et si le président de la CAF n’a pas voulu suivre la demande de report présentée par le Maroc en raison du risque majeur que l’épidémie du virus Ebola ferait courir au pays, à sa population, à ses invités, il n’en demeure pas moins que l’actualité a sévèrement taclé les « seigneurs du football africain » moins de 24 heures après la décision du Caire.

En effet, c’est la Maison Blanche elle-même qui faisait savoir que la guérison du médecin américain hospitalisé à New York après un séjour avec MSF en Guinée, n’empêcherait nullement que d’autres cas d’infection par Ebola pourraient se produire sur le territoire américain. Et ce sont les services de Santé du Mali qui faisaient savoir que l’infirmier malien qui avait soigné la petite Guinéenne hospitalisée et décédée à Bamako il y a une quinzaine de jours, venait à son tour de mourir des suites de son infection par le virus Ebola.

5000 morts M. Hayatou !

Chacun sait que le Royaume, par le biais d’un communiqué du ministère de la Jeunesse et des Sports, avait rejeté samedi dernier, à l’expiration du délai qui lui était accordé par la CAF, la « mise en demeure » du président Aïssa Hayatou qui avait instamment prié le Maroc de s’en tenir aux dates fixées pour cette compétition africaine, soit en janvier-février 2015.

Dans un contexte où chaque partie se devait de faire preuve de positions fermement arrêtées, on imaginait très mal que la CAF revienne sur sa décision et acceptât finalement les arguments du Maroc, même si ceux-ci étaient et sont toujours, incontestablement, légitimes et justifiés.

Pourtant, sans conteste et malgré quelques appréciations dissonantes ça et là, on remarque que l’opinion publique nationale, comme l’exprime d’ailleurs une grande partie de la presse nationale, « papier » et électronique, suit la position officielle et en comprend parfaitement les motivations.

Ebola, quoi qu’en dise M. Hayatou, qui est tout sauf un expert en épidémiologie, représente un risque majeur de santé publique pour le Maroc et sa population. Les 5000 victimes que ce virus a causées à ce jour sont malheureusement là pour en attester.

La décision de demande de report de la CAN n’a pas été prise à la légère et ceux qui pensent qu’il s’agit-là d’une démarche « en solo » de M. Ouzzine, ministre des Sports, se trompent lourdement.

Le ministère de la Santé, par la voix de son premier responsable, le Dr Houcine El Ouardi, avait fortement conseillé une telle position et nul n’est mieux placé que lui pour juger des capacités réelles de lutte contre Ebola que le Maroc pourrait mettre en place si, par malheur, une telle épidémie devait se propager dans notre pays.

Mais, surtout, on imagine mal un « ministre novice » au poste exclusivement technique, prendre seul une décision impliquant le Royaume en son entier et lourde de conséquences aussi fortes que multiples.

La décision de demande de report est éminemment souveraine et suppose, ipso facto, que des cercles très hauts placés dans la hiérarchie de l’Etat aient été impliqués dès le départ dans cette affaire.

Par ailleurs, alors que les « contre-arguments » de Hayatou en faveur du maintien des dates préétablies ont fleuri dans notre presse, on peut très facilement les considérer comme particulièrement fallacieux.

En effet, s’il est possible, voire même facile d’accueillir l’équipe nationale de football de Guinée, pays touché par Ebola, pour des matches sur le territoire national, comme cela s’est passé durant l’été, cela n’a aucune commune mesure avec la réception de dizaines de milliers de supporters venus de plusieurs pays africains.

Une délégation officielle de footballeurs, ce sont, au plus, une trentaine de personnes. La CAN 2015, si elle venait à être organisée à l’époque prévue, drainerait vers notre pays un nombre autrement important d’afficionados, sans réelle possibilité de contrôle sanitaire.


Monrovia-Casablanca-New York-Houston et la tombe…

À ce niveau se situe le second argument du président de la CAF qui excipe des rotations aériennes effectuées par les avions de Royal Air Maroc sur la Guinée, la Sierra Leone et le Liberia, pour énoncer que le Maroc est en contradiction avec lui-même.

M. Hayatou ne sait sans doute pas que le ressortissant libérien décédé des suites d’Ebola dans un hôpital texan, à Houston, avait transité par le Maroc en provenance de Monrovia.

Cet homme était déjà porteur du virus lorsqu’il fit escale au hub de Casablanca à destination de New York, mais il n’était pas encore contagieux. Imaginons qu’il se soit arrêté plusieurs jours dans notre capitale économique, qu’il ait fait un « petit tour » au Morocco Mall, pris un verre sur la Corniche, et suivit la file d’attente des grands taxis pour se rendre à l’aéroport Med V. Combien de personnes aurait-il approché, touché, avec des risques de contamination si le virus était devenu infectieux lors de ce séjour ?

A la date d’aujourd’hui, selon les informations officielles, un seul hôpital est équipé à Casablanca pour accueillir des individus suspectés de porter le virus Ebola. Ce « dispositif » comporte essentiellement un médecin généraliste et deux infirmiers de permanence, une salle dédiée à la quarantaine…

Hayatou ne veut pas comprendre, mais nous savons que la seule éventualité d’une contamination lors d’une compétition interafricaine avec des dizaines de milliers de spectateurs, nationaux et étrangers, fait pâlir tous les responsables officiels.

Quel serait l’impact d’un tel drame sur notre industrie touristique et les centaines de milliers d’emplois qu’elle génère dans notre pays ?

Quelle en serait l’incidence sur notre PIB, déjà faiblard, alors que l’on sait que celui des pays touchés par Ebola s’est divisé par deux en quelques mois ?

Le Maroc est-il moins africain que notre ami le Sénégal qui a fermé drastiquement toutes ses frontières avec les pays touchés par Ebola et ce depuis le mois de mars 2014 ?

La CAF veut forcer la décision et camper sur sa position maximaliste, non parce qu’elle a la volonté de tenir la CAN aux dates prévues, mais parce qu’il s’agit de trouver des arguments de « force majeure » pour éviter de payer des indemnités et des pénalités aux multinationales sponsors de cette compétition et aux chaînes de TV qui ont acheté les droits de retransmission.

Ni plus, ni moins.

Le Maroc, quelle que soit la hauteur des amendes, le prix sportif à payer, la suspension de matches africains qui lui seront infligés, a pris la bonne décision décision.

Car, in fine, cela sera toujours moins cher et moins lourd à assumer que le déclenchement d’une épidémie d’Ebola dans le Royaume.

Personne, non personne, ayant conscience des conséquences de la découverte d’UN SEUL CAS d’Ebola dans notre pays, ne saurait en assumer le risque, la responsabilité, la paternité.

Hayatou éructe et la caravane passe…

http://lnt.ma/blog/fahd-yata/can-2015-on-sen-foot/
Hayatou ne veut pas savoir ou plutôt ne cherche pas à savoir ,ou bien il est payé pour obliger le Maroc à accepter malgré le risque pour faire effrayé les touristes ...
 
Les voisins n'ont pas peur du SIDA mais ils veulent nous faire croire qu'ils ont peur d'Ebola... Ils sont vraiment gonflés.....

Le sida tu l'attrape si tu ne te protèges pas, si t'attrape le sida, c'est de ta faute.

L'ebola non. Va apprendre les bases de l'hygiène et de la protection sanitaire, m'étonne que vous ne pouvez même pas faire pousser des patates.
 
Et dire que ce peuple marocain aurait du être le meilleur d'Afrique du Nord par sa gentillesse et son hospitalité si le prédateur et les grémistes de son Makhzen n'avaient pas tout fait pour l'humilier et en faire une risée universelle et planétaire avec leurs décisions farfelues que se soit politiques ou sportives.
 
Et dire que ce peuple marocain aurait du être le meilleur d'Afrique du Nord par sa gentillesse et son hospitalité si le prédateur et les grémistes de son Makhzen n'avaient pas tout fait pour l'humilier et en faire une risée universelle et planétaire avec leurs décisions farfelues que se soit politiques ou sportives.

Le peuple marocain EST dans le top 3 du peuple le plus accueillant au monde.

La haine de l'autre vient de la haine de soi. Un psy est vite.
 
çà y est les gars : la CAN 2015 est derriére nous, on ne l'organisera pas, point final !

"Ahabba men ahabb wa kariha men karih "

On passe à autre chose de beaucoup plus sérieux qu'une Compétition d'un stupide jeu de ballon .

Laissons ces abrutis de la CAF ruminer leurs sanctions ...et concentrons nous sur nos vrais problémes : éducation, développement humain...etc..!
 
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