Les élus de l'Istiqlal relancent l'arabisation

je ne défends aucune langue, mais en linguistique , une langue qui ne peut nommer conformément les objets( concrets et abstraits) selon son étymologie n'a rien d'une langue vivante L'arabe en ces temps de la mondialisation est dépassée par les découvertes et de ce fait n'a pas les moyens de nommer les objets découverts, elle se contente de les transcrire selon une étymologie anglaise et française et alors elle est en quelque sorte sclérosée.
Revenons au Maroc, notre langue maternelle n'est pas l'arabe du coran mais le marocain et notre langue de l'école devrait être le marocain.
 

Mazgha

Ayawayaw
je ne défends aucune langue, mais en linguistique , une langue qui ne peut nommer conformément les objets( concrets et abstraits) selon son étymologie n'a rien d'une langue vivante L'arabe en ces temps de la mondialisation est dépassée par les découvertes et de ce fait n'a pas les moyens de nommer les objets découverts, elle se contente de les transcrire selon une étymologie anglaise et française et alors elle est en quelque sorte sclérosée.
Revenons au Maroc, notre langue maternelle n'est pas l'arabe du coran mais le marocain et notre langue de l'école devrait être le marocain.

Dans d'autres temps d'autres langues ont connu des phases similaires mais se sont toujours régénérées.
Parlons du français qui n'est qu'un patois totalement imprégné d'origine latine mais ça est devenue une langue à part entière bien dans son époque.
Pourquoi pas pour l'arabe?
Pourquoi pas pour le berbere?

Le cas de l'arabe marocain est tout à fait intéressant car du fait de l'existence toujours de la langue d'origine à savoir l'arabe d'Arabie, le darija marocain ne peut pas se considérer comme une langue à part entière ce qui ferait de lui une langue bâtarde (et pourtant ça devrait etre l'évolution logique du darija marocain de devenir une langue entant que telle au vu de l'histoire des langues dans le monde, cf l'exmple précédent avec le français), et en même temps le darija marocain est devenutellement différent et spécifique qu'on ne peut pas résolument accepter l'idée de le faire évoluer vers l'arabe littéraire.
 
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