Jiimmy
Vergissmeinnicht
Salam Aleykoum
Les différences de comportements sont-elles l'unique résultante du conditionnement social sans que le biologique n'intervienne d'aucune façon que ce soit ?
On pourrait, à écouter la propagande diffusée de nos jours, être tenté de répondre par l'affirmative à cette question (y répondre par la négative serait, par-ailleurs, considéré comme du machisme).
Semblent cependant se poser deux problèmes.
D'une part, s'il s'avérait réellement que tous les comportements, valeurs, rôles, que les hommes et les femmes associent habituellement au « féminin et au « masculin » n'étaient pas naturels, mais, au contraire, socialement construits, alors se poserait la question de "qui en porte la responsabilité".
L'homme n'est pas naturellement violent. La femme n'est pas naturellement coquette. Le ménage et la garde d'enfants ne sont pas des activités spécifiquement féminines etc.... Tant de sentences qui tentent de déconstruire des stéréotypes ancestraux.
De ce fait, la société sera à pointer du doigt lorsque qu'il faudra déterminer les responsabilité dans l'asymétrie qui caractérise les rapports entre les hommes et les femmes. Logiquement les humains, composant la société, se trouvent donc tout désignés pour être les fautifs ayant créé cette domination "inacceptable", mais encore les hommes et les femmes.
Ainsi, les hommes ET les femmes seraient les réels responsables de cet état de fait qui conduit à une domination "insupportable" du masculin sur le féminin. Que vient-on de dire ? Les femmes responsables de leur propre domination ?
Conclusion logique et masochiste d'une affirmation (les différences de comportements, valeurs et rôles sont construites socialement) qui semble, de ce fait, prendre du plomb dans l'aile.
En effet, la société n'étant rien d'autres qu'un agrégat d'actions d'hommes (entendre par là "humains"). Il est donc tout à fait logique d'en conclure que la domination exercée par l'homme sur la femme provient des actions des hommes et des femmes (ces dernières ayant donc validé et agi pour ce processus).
Ou alors peut-être la réponse pourrait se situer à un autre niveau.
A savoir, si l'intégralité des rapports qui se sont développés entre les hommes et les femmes n'était en réalité que l'expression pur de la nature. Ainsi le Lion prit naturellement le dessus sur l'antilope de par ses qualités physiques, de même que l'homme prit naturellement le dessus sur le lion de par son intelligence supérieure, de même que l'homme prit naturellement "le dessus" sur la femme de par d'autres qualités (ou défauts).
Aucune force extra-terrestre n'intervint pour biaiser les rapports qui se construisirent entre les hommes et les femmes et c'est déterminés par leur nature que ces rapport s'équilibrèrent dans quasiment toutes les sociétés du monde, de sorte à placer les hommes et les femmes dans des rôles différents mais complémentaires et égaux.
Dans cette conception le social ne serait que l'expression de la nature humaine et il serait totalement inepte d'opposer ce qui est inné à ce qui est acquis puisque ce qui est acquis serait l'expression nécessaire de ce qui est inné (au final les deux se confondraient).
Je ne suis peut-être pas très clair mais c'est un exercice parfois difficile que de rendre exhaustivement compte de sa pensée.
Les différences de comportements sont-elles l'unique résultante du conditionnement social sans que le biologique n'intervienne d'aucune façon que ce soit ?
On pourrait, à écouter la propagande diffusée de nos jours, être tenté de répondre par l'affirmative à cette question (y répondre par la négative serait, par-ailleurs, considéré comme du machisme).
Semblent cependant se poser deux problèmes.
D'une part, s'il s'avérait réellement que tous les comportements, valeurs, rôles, que les hommes et les femmes associent habituellement au « féminin et au « masculin » n'étaient pas naturels, mais, au contraire, socialement construits, alors se poserait la question de "qui en porte la responsabilité".
L'homme n'est pas naturellement violent. La femme n'est pas naturellement coquette. Le ménage et la garde d'enfants ne sont pas des activités spécifiquement féminines etc.... Tant de sentences qui tentent de déconstruire des stéréotypes ancestraux.
De ce fait, la société sera à pointer du doigt lorsque qu'il faudra déterminer les responsabilité dans l'asymétrie qui caractérise les rapports entre les hommes et les femmes. Logiquement les humains, composant la société, se trouvent donc tout désignés pour être les fautifs ayant créé cette domination "inacceptable", mais encore les hommes et les femmes.
Ainsi, les hommes ET les femmes seraient les réels responsables de cet état de fait qui conduit à une domination "insupportable" du masculin sur le féminin. Que vient-on de dire ? Les femmes responsables de leur propre domination ?
Conclusion logique et masochiste d'une affirmation (les différences de comportements, valeurs et rôles sont construites socialement) qui semble, de ce fait, prendre du plomb dans l'aile.
En effet, la société n'étant rien d'autres qu'un agrégat d'actions d'hommes (entendre par là "humains"). Il est donc tout à fait logique d'en conclure que la domination exercée par l'homme sur la femme provient des actions des hommes et des femmes (ces dernières ayant donc validé et agi pour ce processus).
Ou alors peut-être la réponse pourrait se situer à un autre niveau.
A savoir, si l'intégralité des rapports qui se sont développés entre les hommes et les femmes n'était en réalité que l'expression pur de la nature. Ainsi le Lion prit naturellement le dessus sur l'antilope de par ses qualités physiques, de même que l'homme prit naturellement le dessus sur le lion de par son intelligence supérieure, de même que l'homme prit naturellement "le dessus" sur la femme de par d'autres qualités (ou défauts).
Aucune force extra-terrestre n'intervint pour biaiser les rapports qui se construisirent entre les hommes et les femmes et c'est déterminés par leur nature que ces rapport s'équilibrèrent dans quasiment toutes les sociétés du monde, de sorte à placer les hommes et les femmes dans des rôles différents mais complémentaires et égaux.
Dans cette conception le social ne serait que l'expression de la nature humaine et il serait totalement inepte d'opposer ce qui est inné à ce qui est acquis puisque ce qui est acquis serait l'expression nécessaire de ce qui est inné (au final les deux se confondraient).
Je ne suis peut-être pas très clair mais c'est un exercice parfois difficile que de rendre exhaustivement compte de sa pensée.