Malheureusement les hommes ne sont plus machos

Non mais la "non bimbo" est plus difficile d'accès ! ;)

Il vont vers la bimbo pour confirmer qu'il n'y a que des bimbos et le fait qu'elle soit plus facile d'accès... et oui ca n'assume pas ses tords car ca critique le coté bimbo mais ca les arrange bien qu'il y en ai ... mais bon ce ne sont pas les seuls !


C le même principe d'aller vers les ******* qui sont eux aussi plus accecibles :D
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Peut etre bien, c'est vrai que les filles timides ont plus de mal a se caser malheureusement :(
Les autres femmes et les féministes, en sont peut‑être en partie responsables, en imposant leurs normes. En tous les cas, si les féministes se souciaient vraiment d’elles, elles les libéreraient de cette norme plutôt que de les y enterrer.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Je n'ai ni 8 ans ni suis aveugle ni de mauvaise foi ni manque de lucidité ..................


Je pense qu'il et toi visiblement en fait des tonnes pour rien car ça marche pour un tas d'hommes qui paraissent épanouis.
Peut‑être ceux qui se restreignent à vos œillères ou que leurs entourages à elles à choisi pour elles. Parce qu’en plus il n’a pas encore parlé de la dépendance à l’opinion d’autrui.

Ta remarque ressemble à celle des patrons qui disent qu’ils n’y a pas de racismes chez eux, alors que tous leurs employés sont blancs.

C’est une autre point avec lequel il faut être aveugle, pour ne pas voir les œillères féminines.
 
Car ce qui manque aux femmes c'est:

-DU COURAGE: le courage de faire les premiers pas, d'aborder un homme.
-ELLES CHOISISSENT LA FACILITE: d'attendre tranquillement que le prince charmant leur tombe tout cuit dans le bec.
- CAR ELLES NE CONNAISSENT QUE LE PARAITRE ET PAS L'ETRE: les coiffures interminables, le maquillage, l'esthéticienne, les magasins de vêtements, les régimes, etc...
-CAR ELLES SONT VANITEUSES ET ORGUEILLEUSES: elles ne vivent que par le regard des hommes, aiment la mauvaise flatterie ce qui traduit en langage masculin (ne vous leurrez pas mesdames!) veut juste dire j'ai envie de te baiser, elles aiment savoir qu'elle plaisent même face à des hommes qui ne leurs plaisent pas, elles aiment essayer de dominer les hommes car elles savent que si un homme vient la voir c'est qu'elle lui plait.
- ELLES AIMENT ETRE COURTISEES: car ça les valorise, leur donne de l'importance...

BREF LES FEMMES VEULENT L'EGALITE AVEC LES HOMMES MAIS POUR CE QUI LES ARRANGE POUR LE RESTE ELLES VEULENT SURTOUT QUE RIEN NE CHANGE...ELLES N'AIMENT PAS LES MACHOS QUI LES REMETTENT A LEUR JUSTE PLACE MAIS ELLE NE CHERCHENT SURTOUT PAS A SE VALORISER POUR MERITER L'ADMIRATION DES HOMMES...

RESULTAT DEVANT TANT DE MEDIOCRITE FEMININE, LES HOMMES ONT MILLE FOIS RAISON D'ETRE FAUX MENTEURS ET MANIPULATEURS...

qu'est ce qui ne va pas ? qui t'a fait bobo ?
inspire un bon coup, expire par où tu peux, calme toi et raconte nous tout
 
Peut‑être ceux qui se restreignent à vos œillères ou que leurs entourages à elles à choisi pour elles. Parce qu’en plus il n’a pas encore parlé de la dépendance à l’opinion d’autrui.

Ta remarque ressemble à celle des patrons qui disent qu’ils n’y a pas de racismes chez eux, alors que tous leurs employés sont blancs.

C’est une autre point avec lequel il faut être aveugle, pour ne pas voir les œillères féminines.


Je ne nie pas les faits dont il parle ( enfin si j'ai compris) au contraire je vois large je ne me focalise sur une type de personnes et par conséquent dilué ds la masse ne me parait pas être un problème majeur.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Je ne nie pas les faits dont il parle ( enfin si j'ai compris) au contraire je vois large je ne me focalise sur une type de personnes et par conséquent dilué ds la masse ne me parait pas être un problème majeur.
Alors il y a peut‑être un problème (ou un désaccord) sur la mesure, comme souvent.

Maintenant, même en mettant de côté ce problème de la mesure, il y a quoi comme autre comportement à part celui là ? La passivité… et hop, retour case départ, parce que le résultat est le même.
 
Alors il y a peut‑être un problème (ou un désaccord) sur la mesure, comme souvent.

Maintenant, même en mettant de côté ce problème de la mesure, il y a quoi comme autre comportement à part celui là ? La passivité… et hop, retour case départ, parce que le résultat est le même.


En passivité je ne m'y connais pas trop désolée .


Es-tu attractif au moins ? :D
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
En passivité je ne m'y connais pas trop désolée .


Es-tu attractif au moins ? :D
Ça dépend, tu es aimant ou limaille ? Si tu es aimant, c’est raté, j’ai une petite carence en fer je crois (peut‑être à cause du thés vert que j’aime trop).

Plus sérieusement, je répond de manière impersonnelle (mais en partie d’expérience personnelle) et général à cette question plus tard, parce qu’elle est sérieuse, si on lui retire son caractère personnelle.
 
Les autres femmes et les féministes, en sont peut‑être en partie responsables, en imposant leurs normes. En tous les cas, si les féministes se souciaient vraiment d’elles, elles les libéreraient de cette norme plutôt que de les y enterrer.

Tu veux dire que les féministes ont valorisé les femmes qui osent en dénigrant les timides, ce qui fait que les femmes qui osent ont plus la cote, c'est ca ?
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Tu veux dire que les féministes ont valorisé les femmes qui osent en dénigrant les timides, ce qui fait que les femmes qui osent ont plus la cote, c'est ca ?
Pas exactement ça. Elles ont défendu « l’éternel féminin », alors qu’elles aurait dut le remettre en cause (si elles l’avaient remis en cause, elles n’auraient pas été populaires, c’est peut‑être une des raisons).

Moins abstrait et plus concret, pour donner une image : elles ont effectivement parfois mise en avant celles qui osent, mais sous une forme plus dominatrice (ou revancharde ?) qu’égalitaire ou aussi sous une forme inaccessible à toutes les autres, parce que souvent liés à des prétentions de statut social (dans la hiérarchie sociale, il y a toujours plus de monde en bas qu’en haut), tandis qu’elles rassuraient les autres dans leur statut de victimes passives, un statut qu’elles ont glorifié (un bricolage digne de la politique) alors qu’elles auraient dut faire le contraire.

En règle générale, je dirais que plutôt que plaindre ou flatter, elles auraient dut éduquer et responsabiliser (je ne parle pas d’individualisme, d’argent ou de ces choses). Mais comme ça ne les impliquerait pas que elles, ça ne pouvait de toutes manières pas être fait par un mouvement qui s’appel « féminisme » (je fais plus confiance aux gender studies pour ça).

À croire que c’est soit la vamp égocentrique soit la victime mystifiée.

Mais je serai peut‑être plus clair quand j’aurai répondu à d’autres questions, surtout une question de Shams et une autre de quelqu’un dont j’ai oublié le nom.
 

dawn06

jour après jour
VIB
Car ce qui manque aux femmes c'est:

-DU COURAGE: le courage de faire les premiers pas, d'aborder un homme.
-ELLES CHOISISSENT LA FACILITE: d'attendre tranquillement que le prince charmant leur tombe tout cuit dans le bec.
- CAR ELLES NE CONNAISSENT QUE LE PARAITRE ET PAS L'ETRE: les coiffures interminables, le maquillage, l'esthéticienne, les magasins de vêtements, les régimes, etc...
-CAR ELLES SONT VANITEUSES ET ORGUEILLEUSES: elles ne vivent que par le regard des hommes, aiment la mauvaise flatterie ce qui traduit en langage masculin (ne vous leurrez pas mesdames!) veut juste dire j'ai envie de te baiser, elles aiment savoir qu'elle plaisent même face à des hommes qui ne leurs plaisent pas, elles aiment essayer de dominer les hommes car elles savent que si un homme vient la voir c'est qu'elle lui plait.
- ELLES AIMENT ETRE COURTISEES: car ça les valorise, leur donne de l'importance...

BREF LES FEMMES VEULENT L'EGALITE AVEC LES HOMMES MAIS POUR CE QUI LES ARRANGE POUR LE RESTE ELLES VEULENT SURTOUT QUE RIEN NE CHANGE...ELLES N'AIMENT PAS LES MACHOS QUI LES REMETTENT A LEUR JUSTE PLACE MAIS ELLE NE CHERCHENT SURTOUT PAS A SE VALORISER POUR MERITER L'ADMIRATION DES HOMMES...

RESULTAT DEVANT TANT DE MEDIOCRITE FEMININE, LES HOMMES ONT MILLE FOIS RAISON D'ETRE FAUX MENTEURS ET MANIPULATEURS...

Ouahhhhh quelle étude sociologique!!!!

Tu devrais te rapprocher de plusieurs éditeurs pour te publier!!!

:D
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Ouahhhhh quelle étude sociologique!!!!

Tu devrais te rapprocher de plusieurs éditeurs pour te publier!!!

:D
Ça a déjà été fait, c’est un livre de Yve Roucaute, qui s’appel « Discours sur les femmes qui en font un peu trop ». C’est un peu dans cette esprit là, mais je n’ai personnellement pas aimé, ni le livre, ni l’auteur, parce qu’en fait c’est un vrai machiste. Il a surtout réussi à ridiculiser la critique du féminisme plutôt qu’à la faire avancer, et les féministes ne se sont pas privé de le mettre en avant pour cette usage.

Sinon, dans un autre style, il y a eu celui d’une femme, Catherine Serrurier, dans un livre qui s’appel « Que sont nos maris devenus ». Catherine Serrurier, au contraire de Yve Roucaute, a eu une analyse plus juste de la situation. Elle ne critique pas que les femmes dans son livre, mais les hommes aussi. En gros, elle accuse assez les deux de se laisser aller à la facilité immédiate (si je me souviens bien).

Ces deux livres datent quand‑même, je crois que c’est la fin des années 1990 environ. C’était l’époque où il n’y avait pas internet et ou je lisais des livres au lieu de lire des forums et des sites web.
 

dawn06

jour après jour
VIB
Ça a déjà été fait, c’est un livre de Yve Roucaute, qui s’appel « Discours sur les femmes qui en font un peu trop ». C’est un peu dans cette esprit là, mais je n’ai personnellement pas aimé, ni le livre, ni l’auteur, parce qu’en fait c’est un vrai machiste. Il a surtout réussi à ridiculiser la critique du féminisme plutôt qu’à la faire avancer, et les féministes ne se sont pas privé de le mettre en avant pour cette usage.

Sinon, dans un autre style, il y a eu celui d’une femme, Catherine Serrurier, dans un livre qui s’appel « Que sont nos maris devenus ». Catherine Serrurier, au contraire de Yve Roucaute, a eu une analyse plus juste de la situation. Elle ne critique pas que les femmes dans son livre, mais les hommes aussi. En gros, elle accuse assez les deux de se laisser aller à la facilité immédiate (si je me souviens bien).

Ces deux livres datent quand‑même, je crois que c’est la fin des années 1990 environ. C’était l’époque où il n’y avait pas internet et ou je lisais des livres au lieu de lire des forums et des sites web.


Comment comparait ces 2 livres avec ce genre d'ecrit qui n'ani queue ni tête???

Les relations entre les hommes et les femmes sont compliquées et diverses et évolue en fonctions des moeurs de la société

Mais venir parler de mediocrité féminine bof
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Comment comparait ces 2 livres avec ce genre d'ecrit qui n'ani queue ni tête???

Les relations entre les hommes et les femmes sont compliquées et diverses et évolue en fonctions des moeurs de la société

Mais venir parler de mediocrité féminine bof
Une critique contient des propos critiques, et même le livre de Catherine Serrurier a des mots critiques.

Ou alors c’est l’idée même qu’il puisse exister une médiocrité féminine qui te semble impensable ? Ou c’est sa manière de le raconter ?
 

dawn06

jour après jour
VIB
Une critique contient des propos critiques, et même le livre de Catherine Serrurier a des mots critiques.

Ou alors c’est l’idée même qu’il puisse exister une médiocrité féminine qui te semble impensable ? Ou c’est sa manière de le raconter ?

La médiocrité n'est pas l'apanage de la gente féminine, ni mm masculine, elle frappe sans prendre en considération le sexe de sa victime

La maniere de viser la femme comme l'auteur de tout les vices et la rendre responsable de la médiocrité des messieurs, c'est ici que le bas blesse
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
La médiocrité n'est pas l'apanage de la gente féminine, ni mm masculine, elle frappe sans prendre en considération le sexe de sa victime
Des situations différentes, offrent des opportunités de corruptions différentes. Alors ce n’est pas étonnant que dans une catégorie de gens bien identifié, il y ait des choses à dire sur ce qui y est particulier et qui est dut aux circonstances particulières.

La maniere de viser la femme comme l'auteur de tout les vices et la rendre responsable de la médiocrité des messieurs, c'est ici que le bas blesse
Il n’a pas dit l’auteur de tous les vices, mais des vices de certaines choses. Il ne les a pas accusé d’être responsables des menaces sur le climats ou du chômage, et il ne parle que d’un certain type de relations avec elles (de loin ou de prêt).

Il y a interdépendance dans les situations de chacun(e), on est pas dans un cas comme celui de l’esclavage des noirs par les blancs ou une partie dictait bien plus sa loi que l’autre. Et de cette interdépendance, il parle d’un élément en particulier, et rien ne l’interdit, et qu’il y ait d’autres éléments n’interdit pas de parler de celui‑là. Surtout que comme celui‑là est sous‑exposé médiatiquement et publiquement, même s’il en parle pas avec un style formidable, c’est bien qu’il en parle quand‑même et qu’il sorte du non‑dit habituel. Je trouve plus malsain de faire bonne figure par devant et cracher dans le dos, et c’est justement ce qu’il ne fait pas ici.

Si c’est la crainte que le jugement ne renvoi pas les deux parties à égalité de responsabilités que tu vois comme un problème, alors c’est une attente illégitime, parce que rien n’implique logiquement une égalité des responsabilités. Elles peuvent l’être, comme elles peuvent ne pas l’être, et ça ne se décrète pas par principe, ça se conclu à partir des faits (à condition que le constat des faits ne soit pas volontairement biaisé pour faire aboutir à une conclusion pré‑établie).
 
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