Ça a déjà été fait, c’est un livre de Yve Roucaute, qui s’appel « Discours sur les femmes qui en font un peu trop ». C’est un peu dans cette esprit là, mais je n’ai personnellement pas aimé, ni le livre, ni l’auteur, parce qu’en fait c’est un vrai machiste. Il a surtout réussi à ridiculiser la critique du féminisme plutôt qu’à la faire avancer, et les féministes ne se sont pas privé de le mettre en avant pour cette usage.
Sinon, dans un autre style, il y a eu celui d’une femme, Catherine Serrurier, dans un livre qui s’appel « Que sont nos maris devenus ». Catherine Serrurier, au contraire de Yve Roucaute, a eu une analyse plus juste de la situation. Elle ne critique pas que les femmes dans son livre, mais les hommes aussi. En gros, elle accuse assez les deux de se laisser aller à la facilité immédiate (si je me souviens bien).
Ces deux livres datent quand‑même, je crois que c’est la fin des années 1990 environ. C’était l’époque où il n’y avait pas internet et ou je lisais des livres au lieu de lire des forums et des sites web.