salem a tous je vient vers vous aujourdui car mais parent mon mariee cette ete en algerie avec mon cousin,j'etez contre ce mariage mais on ma quelque peu forcee et maintenant je pete un plomb je suis revenu en france et lui attend que je lui fasse ces papiers mais c'est tres dure je ne l'aime pas et avannt de partir j'etez avec un algerien de marseille depuis 1 ans (je suis du nord )depuis il ne veut plus entendre parler de moi il dit que je les trahis alors que moi je n'est rien demander jaimerez savoir si le mariage et valide en sachant qu'on ne ma jamais poser aucune question (ni a la mairie ni l'imam) on ma juste dit cest tout maintenant tu est marier en plus mon mari me dit qu'il m'aime mais je suis sur que c'est juste pour les papiers ca
Le gouvernement français a lancé une nouvelle campagne pour "briser le silence" des violences faites aux femmes, en particulier les mariages forcés et les mutilations sexuelles. Lire la suite l'article
La France, a rappelé la secrétaire d'Etat à la Solidarité, Valérie Létard, lors d'une conférence de presse, compte sur son territoire environ 55.000 femmes excisées.
Le nombre de jeunes filles menacées de mariage forcé en Ile-de-France et dans six départements est d'environ 70.000.
Deux brochures - "Combattre les mariages forcés", où l'on voit une main à laquelle on tente de glisser une alliance en fil barbelé, et "Combattre l'excision", représentant une lame de rasoir barrée d'un trait noir - ont été éditées par le gouvernement.
"Dans les deux cas, ni la tradition ni la coutume ne peuvent justifier une telle remise en cause des droits fondamentaux", a déclaré Valérie Létard.
La distribution de 100.000 brochures s'accompagnera d'une campagne d'affichage. Les femmes qui se sentent en danger peuvent aussi consulter un site internet stop-violences-femmes.gouv.fr.
"Il faut dire aux jeunes filles qu'elles ne sont pas seules, leur donner des outils, des contacts utiles, leur dire que leur entourage - un professeur, une assistante sociale, une association spécialisée - peut les accompagner, les orienter et même les protéger", a expliqué Valérie Létard.
PRISE DE CONSCIENCE
Pour Ernestine Ronai, responsable de l'observatoire des violences faites aux femmes en Seine-Saint-Denis, ces campagnes ont leur utilité pour faire évoluer les mentalités.
"Quand il y a des campagnes de prévention, les filles parlent plus, il y a une prise de conscience plus forte de la part des jeunes filles et de la société tout entière", a-t-elle déclaré sur France Info.
Pour mieux lutter contre les mariages forcés, elle réclame "une politique nationale concertée qui permette à l'ensemble des professionnels de connaître les moyens de lutte notamment en ce qui concerne l'hébergement, pour qu'une fille à un moment donné, pour une durée peut-être limitée, puisse partir de chez elle".
Khady Koita, présidente du réseau européen pour la prévention et l'éradication des mutilations génitales féminines, voit elle aussi les mentalités évoluer peu à peu.
"Ces dernières années, les réactions ont été plus positives. Beaucoup de parents disent désormais 'je ne le fais plus mais le problème c'est quand je retourne en Afrique, il y a beaucoup de pression'", a-t-elle raconté à Reuters en marge de la conférence de presse de Valérie Létard.
En France, la lutte contre les mariages forcés a été renforcée par la loi d'avril 2006 qui a porté à 18 ans l'âge minimum pour se marier. Le viol conjugal est inscrit dans le Code pénal et le vol des papiers par l'époux est considéré comme un délit.