Mariés ou non, vous devriez lire ceci ... ça vous prendra quelques minutes

Lol du calme du calme...

Je pense quand même que j'ai raison :p
Regarde chez les arabes,les anciens combien de mari ont quitté leur femme car malades ou pire même ont pris une deuxième femme? J'en connais des tas.
Les femmes sont plus loyales et beaucoup ont inconsciemment un côté "infirmière" quelles sont ravies d'utiliser pour s'occuper d'un homme malade et se sentir utiles.

On les a conditionné pour être endurantes, et la société a valorisé l'abnégation pour la femme alors qu'elle conditionnait l'homme à être lâche et égoïste.

C'est vrai que je connais un homme qui a pris une seconde épouse car sa femme etait soit disant " malade", en fait sa femme avait une santé faible certes, mais pas de maladie grave, et à mon avis c'st juste qu'il ne pouvait pas avoir des relations sexuelles aussi souvent qu'il le souhaitait car il y avait des moments où à cause de sa maladie elle était fatiguée. Le pire c'est que c'est une très belle femme, et franchement trop gentille. Ca m'a fait de la peine pour elle. Et pour la convaincre d'accepter la polygamie il lui a promis que la seconde ne sera là que pour aider aux tâches ménagères, la soulager dans sa maladie.. Mon oeil! Maintenant qu'elle est là, il est pratiquement que avec la seconde épouse qui vit dans un autre pays, et ne voit pratiquement jamais sa première femme, il lui envoie de l'argent et basta. Bref pour moi c'est comme un divorce déguisé. Les hommes injustes, ont il oublié qu'ils viendront avec une seule partie de leur corps au jugement dernier, comme punition d'avoir été injuste entre deux femmes. Rien que ça me ferait flipper si j'étais un homme polygame.
 
C'est vrai que je connais un homme qui a pris une seconde épouse car sa femme etait soit disant " malade", en fait sa femme avait une santé faible certes, mais pas de maladie grave, et à mon avis c'st juste qu'il ne pouvait pas avoir des relations sexuelles aussi souvent qu'il le souhaitait car il y avait des moments où à cause de sa maladie elle était fatiguée. Le pire c'est que c'est une très belle femme, et franchement trop gentille. Ca m'a fait de la peine pour elle. Et pour la convaincre d'accepter la polygamie il lui a promis que la seconde ne sera là que pour aider aux tâches ménagères, la soulager dans sa maladie.. Mon oeil! Maintenant qu'elle est là, il est pratiquement que avec la seconde épouse qui vit dans un autre pays, et ne voit pratiquement jamais sa première femme, il lui envoie de l'argent et basta. Bref pour moi c'est comme un divorce déguisé. Les hommes injustes, ont il oublié qu'ils viendront avec une seule partie de leur corps au jugement dernier, comme punition d'avoir été injuste entre deux femmes. Rien que ça me ferait flipper si j'étais un homme polygame.

Ca fait longtemps que la religion ne fait plus le poids face aux désirs d'un homme.

Menace le avec tout ce que tu veux un homme fera toujours passer ses plaisirs avant tout. Que ce soit caché ou pas.
Il n'y a que deux choses qui retiennent un homme. soit le réel amour pour une femme (mais c'est rare et souvent ça dure pas) soit le fric (peur de perdre beaucoup d'argent en cas de divorce).
Donc finalement la seule chose certaine c'est le fric. Un homme tu le tiens qu'avec ça.
 

memoLi

Bladinaute averti
Ca fait longtemps que la religion ne fait plus le poids face aux désirs d'un homme.

Menace le avec tout ce que tu veux un homme fera toujours passer ses plaisirs avant tout. Que ce soit caché ou pas.
Il n'y a que deux choses qui retiennent un homme. soit le réel amour pour une femme (mais c'est rare et souvent ça dure pas) soit le fric (peur de perdre beaucoup d'argent en cas de divorce).
Donc finalement la seule chose certaine c'est le fric. Un homme tu le tiens qu'avec ça.
faux...

quand un homme n'aime plus sa femme,plus rien ne le retiendra...et surtout pas l'argent...
 
Un texte partagé via facebook, d'habitude quand je vois un aussi long texte, je zappe direct (flemme de tout lire lol) mais j'ai tout de même pris le temps de tout lire sur ce coup et à la fin du texte, j'ai pensé à une chose : faire partager car il pourrait changer la vie à beaucoup de couples mariés. :cool:

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Mariés ou Non, vous devriez lire ceci ... ça vous prendra quelques minutes


"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à te dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s’est pas parlé l’un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon cœur, car il s’était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j’avais juste pitié d’elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l’ai trouvée entrain d’écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d’ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.

J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu’elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l’ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l’avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d’elle.

Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j’ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son cœur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l’ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C’était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J’ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu’il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J’ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu’elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j’ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n’ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonné.

Je ne vais pas tergiverser sur la véracité de cette histoire ou autre

Mais juste rebondir sur le fait qu'en effet, une relation de couple ça se cultive au quotidien et qu'il faut toujours faire en sorte de maintenir la complicité, l'intimité avec son conjoint. ;)
 

memoLi

Bladinaute averti
Les hommes qui ne veulent pas divorcé parce que ça leur couterait trop cher sont légions. Y a que ça autour de nous.
ça c'est pour camoufler,pour pas perdre la face...

plutot que de dire " je l'aime toujours'' bah ils disent " ca coute trop cher''...tu connais pas bien les hommes toi...
 
ça c'est pour camoufler,pour pas perdre la face...

plutot que de dire " je l'aime toujours'' bah ils disent " ca coute trop cher''...tu connais pas bien les hommes toi...

Lol j'ai en tête un gars qui peut pas divorcer a cause du fric, bein en attendant il se fait plaisir aux ***** et dès qu'il peut partir en vacances sans elle il n'hésite pas. Sans oublier quil ne rate pas une occasion de la citiquer. Si lui aime sa femme alors effectivement je ne connais pas bien les hommes.
 

memoLi

Bladinaute averti
Lol j'ai en tête un gars qui peut pas divorcer a cause du fric, bein en attendant il se fait plaisir aux ***** et dès qu'il peut partir en vacances sans elle il n'hésite pas. Sans oublier quil ne rate pas une occasion de la citiquer. Si lui aime sa femme alors effectivement je ne connais pas bien les hommes.
T'as un ami......
Qui va aux *****....
Qui va en vacances sans sa femme...
Et qui critique sa femme sans arrêt...

J'essaie de m'imaginer le bazar...

T'es une femme toi?
 
T'as un ami......
Qui va aux *****....
Qui va en vacances sans sa femme...
Et qui critique sa femme sans arrêt...

J'essaie de m'imaginer le bazar...

T'es une femme toi?

Un ami c'est vite dit. Mais j'ai beaucoup d'amis bizarres aussi je le concède.
C'est courant ce genre de choses tu sais. Tu vas pas me dire que tu connais personne qui va aux *****.

Bon je précise il est pas musulman hein.
 

memoLi

Bladinaute averti
Un ami c'est vite dit. Mais j'ai beaucoup d'amis bizarres aussi je le concède.
C'est courant ce genre de choses tu sais. Tu vas pas me dire que tu connais personne qui va aux *****.

Bon je précise il est pas musulman hein.
Je ne connais personne qui va aux *****....Hahahaaaa

Tu dis ça comme si le type il allait chercher sa baguette chez le boulanger...
 
A

AncienMembre

Non connecté
je reste indifférent, je ne crois pas lhad'zbel, bidon, et comme le penalty brésilien


moi je ne suis pas indifférente! je suis touché non pas par la force de la femme à faire face bla bla bla et à vouloir rendre un peu de dignité à son mari!


je suis touché par la triste réalité de la vie! à savoir on est tous préoccupés par les faux semblant de ce monde! éternel insatisfait! tjs vouloir mieux! à la recherche d'un bonheur (qui en réalité est déjà présent) et malheureusement, il faut tjs que l'on prenne conscience des bienfaits que l'on a! une fois que ceux ci nous sont retiré ou sur le point d'être perdu!


c'est ce qui me touche! car on est tous comme ça! insatisfait! espérer à mieux! vouloir mieux! courir après ce monde oubliant l'essentiel!
 

kouskous

اللهم أنزل الرحمة في قلوب الناس
Modérateur
moi je ne suis pas indifférente! je suis touché non pas par la force de la femme à faire face bla bla bla et à vouloir rendre un peu de dignité à son mari!


je suis touché par la triste réalité de la vie! à savoir on est tous préoccupés par les faux semblant de ce monde! éternel insatisfait! tjs vouloir mieux! à la recherche d'un bonheur (qui en réalité est déjà présent) et malheureusement, il faut tjs que l'on prenne conscience des bienfaits que l'on a! une fois que ceux ci nous sont retiré ou sur le point d'être perdu!


c'est ce qui me touche! car on est tous comme ça! insatisfait! espérer à mieux! vouloir mieux! courir après ce monde oubliant l'essentiel!
......., c'est pour cela qu'il faut faire un break dans sa vie afin de faire un bilan pour ne pas passer à côté de l'essentiel comme tu dis.

ainsi va la vie
 

Tharbat

💙💚💛
Contributeur
Un texte partagé via facebook, d'habitude quand je vois un aussi long texte, je zappe direct (flemme de tout lire lol) mais j'ai tout de même pris le temps de tout lire sur ce coup et à la fin du texte, j'ai pensé à une chose : faire partager car il pourrait changer la vie à beaucoup de couples mariés. :cool:

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Mariés ou Non, vous devriez lire ceci ... ça vous prendra quelques minutes


"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à te dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.

Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?

J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s’est pas parlé l’un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon cœur, car il s’était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j’avais juste pitié d’elle!

Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.

Le lendemain, je suis rentré très tard et l’ai trouvée entrain d’écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.

Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.

Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d’ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.

J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu’elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l’ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.

Le deuxième jour, nous l’avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d’elle.

Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j’ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.

Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.

Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son cœur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.

Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l’ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C’était comme le jour de notre mariage.

Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J’ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu’il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.

Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J’ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu’elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j’ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n’ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .

Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.

Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité. Faire un vrai mariage heureux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous le faites, vous venez peut-être de sauver un mariage. Beaucoup d'échecs de la vie sont dus au fait que les gens ne se rendent pas compte à quel point ils étaient près du succès au moment où ils ont abandonné.
merveilleux...tu n'as pas d'autres?
 
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