absent
لا إله إلا هو
Assalamu aleykum.
En me balladant dans les méandres et les deltas de bladi, je me rend compte que nos frères coranistes se moquent d'un hadith. Je voulais donc m'arrêter à son sujet et leur poser une question. Voyons comment ils vont répondre...
Le hadith :
D'après 'Anas ibn Malik (qu'Allah soit satisfait de lui), des gens de Urayna vinrent à Médine trouver le Messager et comme ils eurent très mal au ventre, le Prophète leur dit : "Si cela vous convient, allez boire du lait et de l'urine des chamelles de l'aumône dans le desert". En suivant sont conseil, ils se rétablirent, mais ils tuèrent les bergers, revinrent sur leur foi, et s'emparèrent des chameaux de l'aumône. Le Prophète les poursuivis et appliquat sur eux le talion et la peine des brigands. (al Bukhari)
* Ici, il est semble-t-il bien question d'une expression dévolue disant d'aller boire du lait trait de chamelles dans le desert, à la façon sauvage et nomade (d'où allusion à l'urine qui se même lors de la traite de survie). Quoi qu'il en soit, il demeure plausible que ce fut une thérapie pratiquée pour une maladie connue dans la région à cette époque. Toujours est-il qu'à défaut de connaître le mal exact dont souffraient les bédouins, de maîtriser les proportions d'urine dans le lait dans l'éventualité de la thèse d'une urinothérapie oubliée, pratiquer cela serait pour le moins insensé ! Toutefois, si le hadith est accepté comme authentique, il faut constater que la thérapie a fonctionné...
La question aux coranistes :
Puisque vous soutenez que tout ce qui n'est pas interdit dans le Coran est permis, et qu'il est impensable d'interdire une chose qui n'y est pas interdite, au point que la graisse de porc est soutenue par les vôtres comme non interdite : l'excrément de porc est-il interdit ou pas selon vous ?
(La consommation de substances nocives, voire de venin suivant un dosage et une préparation particulière n'est-elle pas une des pratiques fondamentales en médecine ?)
Merci de vos réponses.
En me balladant dans les méandres et les deltas de bladi, je me rend compte que nos frères coranistes se moquent d'un hadith. Je voulais donc m'arrêter à son sujet et leur poser une question. Voyons comment ils vont répondre...
Le hadith :
D'après 'Anas ibn Malik (qu'Allah soit satisfait de lui), des gens de Urayna vinrent à Médine trouver le Messager et comme ils eurent très mal au ventre, le Prophète leur dit : "Si cela vous convient, allez boire du lait et de l'urine des chamelles de l'aumône dans le desert". En suivant sont conseil, ils se rétablirent, mais ils tuèrent les bergers, revinrent sur leur foi, et s'emparèrent des chameaux de l'aumône. Le Prophète les poursuivis et appliquat sur eux le talion et la peine des brigands. (al Bukhari)
* Ici, il est semble-t-il bien question d'une expression dévolue disant d'aller boire du lait trait de chamelles dans le desert, à la façon sauvage et nomade (d'où allusion à l'urine qui se même lors de la traite de survie). Quoi qu'il en soit, il demeure plausible que ce fut une thérapie pratiquée pour une maladie connue dans la région à cette époque. Toujours est-il qu'à défaut de connaître le mal exact dont souffraient les bédouins, de maîtriser les proportions d'urine dans le lait dans l'éventualité de la thèse d'une urinothérapie oubliée, pratiquer cela serait pour le moins insensé ! Toutefois, si le hadith est accepté comme authentique, il faut constater que la thérapie a fonctionné...
La question aux coranistes :
Puisque vous soutenez que tout ce qui n'est pas interdit dans le Coran est permis, et qu'il est impensable d'interdire une chose qui n'y est pas interdite, au point que la graisse de porc est soutenue par les vôtres comme non interdite : l'excrément de porc est-il interdit ou pas selon vous ?
(La consommation de substances nocives, voire de venin suivant un dosage et une préparation particulière n'est-elle pas une des pratiques fondamentales en médecine ?)
Merci de vos réponses.
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