M. Hilale déconstruit le statut fallacieux d’observateur de l’Algérie dans le différend du Sahara marocain
Omar Hilale, ambassadeur du Maroc auprès des Nations Unies à New York, a profité de l'auditoire de la quatrième Commission pour déconstruire le statut d’observateur de l’Algérie dans le dossier du Sahara.
Devant la quatrième Commission des Nations Unies, Omar Hilale, ambassadeur du Maroc à l'ONU à New York n'a pas mâché ses mots. "Malgré ses dénégations, la responsabilité de l’Algérie dans le différend régional sur le Sahara marocain est indéniable", lance-t-il d'emblée.
Son argumentaire, fondé sur une série de questions-réponses, a démontré la responsabilité de l'Algérie dans le dossier du Sahara.
"Qui a créé le "polisario et le soutient politiquement et militairement depuis quarante ans?", interroge-t-il. Et de répliquer : "Ce n’est pas un pays observateur. C’est l’Algérie". Et il poursuit sur sa lancée.
"Qui mobilise l’ensemble de son appareil diplomatique contre son voisin, le Maroc? Ce n’est pas un pays observateur. C’est l’Algérie", a-t-il fait observer.
Omar Hilale s'est ensuite adressé directement aux membres de la Commission onusienne.
"Qui vous démarche, chers collègues, dans vos capitales, à New York, à Alger et ailleurs pour prendre position contre le Maroc sur le Sahara ou pour vous intimider quand vous exprimez une position contraire aux thèses algériennes?"
"Qui terrorise les pétitionnaires dans cette salle avant, durant et après leurs interventions? Ce n’est pas un pays observateur, c’est l’Algérie", a-t-il précisé.
"Qui dépense des milliards de dollars du contribuable algérien pour financer un groupe séparatiste qui a des liens avérés avec le terrorisme international et régional? Qui refuse de dévoiler à ses propres parlementaires le budget réservé au "polisario? Ce n’est pas un pays observateur. C’est l’Algérie", a déclaré le diplomate marocain.
Omar Hilale, ambassadeur du Maroc auprès des Nations Unies à New York, a profité de l'auditoire de la quatrième Commission pour déconstruire le statut d’observateur de l’Algérie dans le dossier du Sahara.
Devant la quatrième Commission des Nations Unies, Omar Hilale, ambassadeur du Maroc à l'ONU à New York n'a pas mâché ses mots. "Malgré ses dénégations, la responsabilité de l’Algérie dans le différend régional sur le Sahara marocain est indéniable", lance-t-il d'emblée.
Son argumentaire, fondé sur une série de questions-réponses, a démontré la responsabilité de l'Algérie dans le dossier du Sahara.
"Qui a créé le "polisario et le soutient politiquement et militairement depuis quarante ans?", interroge-t-il. Et de répliquer : "Ce n’est pas un pays observateur. C’est l’Algérie". Et il poursuit sur sa lancée.
"Qui mobilise l’ensemble de son appareil diplomatique contre son voisin, le Maroc? Ce n’est pas un pays observateur. C’est l’Algérie", a-t-il fait observer.
Omar Hilale s'est ensuite adressé directement aux membres de la Commission onusienne.
"Qui vous démarche, chers collègues, dans vos capitales, à New York, à Alger et ailleurs pour prendre position contre le Maroc sur le Sahara ou pour vous intimider quand vous exprimez une position contraire aux thèses algériennes?"
"Qui terrorise les pétitionnaires dans cette salle avant, durant et après leurs interventions? Ce n’est pas un pays observateur, c’est l’Algérie", a-t-il précisé.
"Qui dépense des milliards de dollars du contribuable algérien pour financer un groupe séparatiste qui a des liens avérés avec le terrorisme international et régional? Qui refuse de dévoiler à ses propres parlementaires le budget réservé au "polisario? Ce n’est pas un pays observateur. C’est l’Algérie", a déclaré le diplomate marocain.
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