Elle s'expose moins, qu'une fille sur la plage, elle exprime de la sensualité voit du désir,
c'est bien pour cela qu'elle a choqué pas pour ses tenues,
ben oui une femme a le droit d'être allumeuse et ou provoquante, sans qu'on la juge moralement pour cela
Le droit de juger en fonction de ses propres principes moraux est au coeur du principe de démocratie et de responsabilité individuelle. C'est bien pourquoi il y a parfois un décalage entre les jugements légaux prononcés par l'Etat, et les jugements moraux émis par la société.
Du moment qu'il ne débouche pas sur un acte de justice privée, bien évidemment intolérable (c'est le cas ici), le jugement moral est une chose parfaitement normale, dont seules les dictatures totalitaires veulent taire l'expression.
Elle fait comme elle veut, si tu trouves ça attirant tu lui demandes sous tel gentillement et poliment, si tu trouves ça choquant tu la regardes pas et passes ton chemin
Ce n'est pas aux hommes ou à la société de jugé de la façon dont quelqu’un dispose de son pouvoir de séduction
Pour les chrétiens je rappelle que Jésus a lavé les pieds se marie Madeleine, pour les musulmans il me semble qu'un hadith précise qu'un prostitué alla au paradis pour la raison d'avoir nourri un chien affamé,
Pour les chrétiens, je rappelle ce que Notre Seigneur dit à la femme adultère : "Je ne te condamne pas non plus : va, et ne pèche plus." (
Jean, 8 : 11) Ce n'est donc pas parce que le péché flagrant ne débouche pas sur une condamnation effective qu'il ne doit pas être constaté et réprouvé.
Ce que le frère et assassin de cette femme aurait du faire, c'est de lui dire "ne pèche plus" au lieu de la tuer.
que les moralisateurs retournent à de saines lectures et passent moins de temps sur les réseaux sociaux me semble une bonne idée
Au contraire, vivement que l'Eglise reprenne sans dissimulation le rôle d'autorité morale et la magistrature d'influence sociale qui lui reviennent de droit, parallèlement au pouvoir de l'Etat, et ce conformément à l'enseignement de la Bible et du Magistère.