Le Point.fr
La France souhaite que le président syrien Bachar el-Assad puisse faire l'objet de sanctions de la part de l'Union européenne, a déclaré mardi Alain Juppé. "Nous essayons d'agir parmi les partenaires européens", a déclaré le ministre français des Affaires étrangères. "Nous préparons un texte pour mettre en place au minimum des sanctions pour les personnes qui méritent d'être sanctionnées." À la question de savoir si Bachar el-Assad, qui mène une violente répression contre des manifestations hostiles à son régime, devait figurer parmi ces personnes, Alain Juppé a répondu lors d'un point de presse : "Oui, la France le souhaite."
"Un gouvernement qui tue ses citoyens parce que ses citoyens veulent s'exprimer et instaurer une vraie démocratie perd sa légitimité", a poursuivi Alain Juppé. La veille, le chef de la diplomatie française avait jugé que la chute du régime de Bachar el-Assad était inévitable s'il persévérait dans la répression contre les manifestants. "Si le régime syrien persévère dans cette voie, il tombera un jour ou l'autre, mais il tombera", avait-il affirmé.
La France souhaite que le président syrien Bachar el-Assad puisse faire l'objet de sanctions de la part de l'Union européenne, a déclaré mardi Alain Juppé. "Nous essayons d'agir parmi les partenaires européens", a déclaré le ministre français des Affaires étrangères. "Nous préparons un texte pour mettre en place au minimum des sanctions pour les personnes qui méritent d'être sanctionnées." À la question de savoir si Bachar el-Assad, qui mène une violente répression contre des manifestations hostiles à son régime, devait figurer parmi ces personnes, Alain Juppé a répondu lors d'un point de presse : "Oui, la France le souhaite."
"Un gouvernement qui tue ses citoyens parce que ses citoyens veulent s'exprimer et instaurer une vraie démocratie perd sa légitimité", a poursuivi Alain Juppé. La veille, le chef de la diplomatie française avait jugé que la chute du régime de Bachar el-Assad était inévitable s'il persévérait dans la répression contre les manifestants. "Si le régime syrien persévère dans cette voie, il tombera un jour ou l'autre, mais il tombera", avait-il affirmé.