Pourquoi aimez vous tant la poésie ?

Suffit d'écrire un truc banal ou qui veut rien dire, suffit juste que sa rime et toute la classe apprécier.


des banalités?

Cinq fois par jour je fais pieusement mes prières.
Docile, je confesse l’Unité de Dieu.
Je fais mes ablutions lorsqu’il me faut les faire.
Je ne repousse pas l’humble nécessiteux.
Une fois l’an, j’observe tout un mois de jeûne.
Je me tiens à distance de tous les faux dieux.
Il est vrai, cependant, que point ne suis bégueule
et que j’accepte un verre quand il est en jeu.
J’arrose de vin pur la bonne viande
de chevreaux et cabris gras et pleins de saveur,
avec œufs et vinaigre et des légumes tendres,
souverains contre la migraine du buveur.
Et quand un gibier passe à ma portée,
Je me jette dessus comme un loup affamé.
Mais je laisse à l’Enfer l’hérétique portée
des Shiites, pour qu’ils y brûlent à jamais.


Ibrahim an-Nazzam, nous tient
de vrais propos blasphématoires.
Il me surpasse en athéisme
et son hérésie est notoire.
Lui dit-on : « Que bois-tu ? »,
il répond : « Dans mon verre ! »
Lui dit-on : « Qu’aimes-tu ? »
il répond : « Par-derrière ! »
« Et que délaisses-tu ?»
réponse : « La prière ! »
On lui dit : « Que crains-tu ? »
il dit : « Rien que la mer ! »
On lui dit : « Que dis-tu ? »
il dit : « Ce qui est mal ! »
Puisse Dieu le brûler dans le feu infernal !

ABU NAWASS
 
  • Alfred de VIGNY (1797-1863)
    La mort du loup
    I

    Les nuages couraient sur la lune enflammée
    Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
    Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
    Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
    Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
    Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
    Nous avons aperçu les grands ongles marqués
    Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
    Nous avons écouté, retenant notre haleine
    Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
    Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
    La girouette en deuil criait au firmament ;
    Car le vent élevé bien au dessus des terres,
    N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
    Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
    Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
    Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
    Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
    A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
    Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
    A déclaré tout bas que ces marques récentes
    Annonçait la démarche et les griffes puissantes
    De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
    Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
    Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
    Nous allions pas à pas en écartant les branches.
    Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
    J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
    Et je vois au delà quatre formes légères
    Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
    Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
    Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
    Leur forme était semblable et semblable la danse ;
    Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
    Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
    Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
    Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
    Sa louve reposait comme celle de marbre
    Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
    Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
    Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
    Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
    Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
    Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
    Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
    Du chien le plus hardi la gorge pantelante
    Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
    Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
    Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
    Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
    Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
    Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
    Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
    Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
    Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
    Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
    Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
    Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
    Et, sans daigner savoir comment il a péri,
    Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

    II

    J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
    Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
    A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
    Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
    Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve
    Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
    Mais son devoir était de les sauver, afin
    De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
    A ne jamais entrer dans le pacte des villes
    Que l'homme a fait avec les animaux serviles
    Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
    Les premiers possesseurs du bois et du rocher.

    Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
    Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
    Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
    C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
    A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
    Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
    - Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
    Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
    Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
    A force de rester studieuse et pensive,
    Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
    Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
    Gémir, pleurer, prier est également lâche.
    Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
    Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler,
    Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. "
 
des banalités?

Cinq fois par jour je fais pieusement mes prières.
Docile, je confesse l’Unité de Dieu.
Je fais mes ablutions lorsqu’il me faut les faire.
Je ne repousse pas l’humble nécessiteux.
Une fois l’an, j’observe tout un mois de jeûne.
Je me tiens à distance de tous les faux dieux.
Il est vrai, cependant, que point ne suis bégueule
et que j’accepte un verre quand il est en jeu.
J’arrose de vin pur la bonne viande
de chevreaux et cabris gras et pleins de saveur,
avec œufs et vinaigre et des légumes tendres,
souverains contre la migraine du buveur.
Et quand un gibier passe à ma portée,
Je me jette dessus comme un loup affamé.
Mais je laisse à l’Enfer l’hérétique portée
des Shiites, pour qu’ils y brûlent à jamais.


Ibrahim an-Nazzam, nous tient
de vrais propos blasphématoires.
Il me surpasse en athéisme
et son hérésie est notoire.
Lui dit-on : « Que bois-tu ? »,
il répond : « Dans mon verre ! »
Lui dit-on : « Qu’aimes-tu ? »
il répond : « Par-derrière ! »
« Et que délaisses-tu ?»
réponse : « La prière ! »
On lui dit : « Que crains-tu ? »
il dit : « Rien que la mer ! »
On lui dit : « Que dis-tu ? »
il dit : « Ce qui est mal ! »
Puisse Dieu le brûler dans le feu infernal !

ABU NAWASS

Complètement bidon ce poème.
 
  • Alfred de VIGNY (1797-1863)
    La mort du loup
    I

    Les nuages couraient sur la lune enflammée
    Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
    Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
    Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
    Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
    Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
    Nous avons aperçu les grands ongles marqués
    Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
    Nous avons écouté, retenant notre haleine
    Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
    Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
    La girouette en deuil criait au firmament ;
    Car le vent élevé bien au dessus des terres,
    N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
    Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
    Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
    Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
    Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
    A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
    Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
    A déclaré tout bas que ces marques récentes
    Annonçait la démarche et les griffes puissantes
    De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
    Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
    Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
    Nous allions pas à pas en écartant les branches.
    Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
    J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
    Et je vois au delà quatre formes légères
    Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
    Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
    Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
    Leur forme était semblable et semblable la danse ;
    Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
    Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
    Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
    Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
    Sa louve reposait comme celle de marbre
    Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
    Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
    Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
    Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
    Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
    Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
    Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
    Du chien le plus hardi la gorge pantelante
    Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
    Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
    Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
    Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
    Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
    Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
    Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
    Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
    Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
    Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
    Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
    Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
    Et, sans daigner savoir comment il a péri,
    Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

    II

    J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
    Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
    A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
    Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
    Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve
    Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
    Mais son devoir était de les sauver, afin
    De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
    A ne jamais entrer dans le pacte des villes
    Que l'homme a fait avec les animaux serviles
    Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
    Les premiers possesseurs du bois et du rocher.

    Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
    Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
    Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
    C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
    A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
    Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
    - Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
    Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
    Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
    A force de rester studieuse et pensive,
    Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
    Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
    Gémir, pleurer, prier est également lâche.
    Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
    Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler,
    Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. "

Un poème sur les loups, tu nous as prit pour des chèvres ? :D
 
R

Rorschach

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car c'est une des choses les plus belles dans ce monde infame : c'est de la philosophie exprimé de maniere artisitque une des plus belles activités qu'ai pu produire l'homme

Baudelaire

« Ah ! Que le monde est grand à la clarté des lampes ! Aux yeux du souvenir que le monde est petit ! »

"L'amour est une rose Chaque pétale une illusion Chaque épine une réalité."




a votre avis pourquoi le Coran est descendu sous forme de poesie???

Les non croyants te diront que c'est parce que la langue arabe a été forgée par des poètes...

Moi je pense que c'est parce qu'Allah s.w.t ne pouvait pas s'adresser à l'Humanité sous une plus belle forme.
 
En parlant de loups, je trouve le titre du livre que je lis actuellement particulièrement poétique...

Et tu danses, Lou



C'est un bouquin écrit à 4 mains par les parents de Lou, qui est née handicapée.

Il s'agit là d'un jeu de mot, bien tourné en plus, les jeux de mot sont une forme de poésie.
 
R

Rorschach

Non connecté
En ce qui me concerne c'est pas vraiment la forme du verbe qui m’intéresse mais plutôt la morale qui en découle ou la conclusion.

On ne devrait jamais faire la distinction entre le fond et la forme.

Dans le cas du Qur-an, lorsqu'il est récité, il prend l'aspect d'un chant magnifique et sa forme vient centupler la puissance du message. Quand on l'écoute, la forme de ses versets nous émeut autant que leur sens.

Pour les poèmes, le même procédé est à l’œuvre mais en moins grandiose, car un poème n'est que la parole d'un seul homme.
 
On ne devrait jamais faire la distinction entre le fond et la forme.

Dans le cas du Qur-an, lorsqu'il est récité, il prend la forme d'un chant magnifique et sa forme vient centupler la puissance du message. Quand on l'écoute, la forme de ses versets nous émeut autant que leur sens.

Pour les poèmes, le même procédé est à l’œuvre mais en moins grandiose, car un poème n'est que la parole d'un seul homme.

Pas d'accords, on peut aussi utilisé la forme pour berner les gens sur le fond un cas classique par exemple "frappe chirurgical" dans la forme c'est très beau mais dans le fond on sait ce que sa vaut.

Faut toujours dissocier la forme du fond, la forme ne devient belle que quand celle ci ne ment pas sur le fond.
 
R

Rorschach

Non connecté
Pas d'accords, on peut aussi utilisé la forme pour berner les gens sur le fond un cas classique par exemple "frappe chirurgical" dans la forme c'est très beau mais dans le fond on sait ce que sa vaut.

Faut toujours dissocier la forme du fond, la forme ne devient belle que quand celle ci ne ment pas sur le fond.

"Frappe chirurgicale" est une parole politique Breaky!

La politique est un art pour chiens errants...moi je parlais de parole avec un P majuscule. ^^
 
"Frappe chirurgicale" est une parole politique Breaky!

La politique est un art pour chiens errants...moi je parlais de parole avec un P majuscule. ^^

C'est pour illustrer, j'aurais pu prendre certains poème de religieux ou de philosophique qui sont certes beau dans la forme mais apporte rien de révolutionnaire.
 
R

Rorschach

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C'est pour illustrer, j'aurais pu prendre certains poème de religieux ou de philosophique qui sont certes beau dans la forme mais apporte rien de révolutionnaire.

Après c'est aussi une question de sensibilité, mais pour moi le fond et la forme sont importants en poésie.

Si j'ai affaire à une fille dont l'apparence me plaît, mais que je trouve ennuyeuse, ou si j'ai affaire à une fille intéressante mais qui ne me plaît pas, je ne vais pas y trouver mon compte.

Pour être pleinement satisfait, la fille doit me plaire et m'intéresser. Ce sont deux conditions nécessaires. (pas suffisantes, mais nécessaires)

Je conçois la poésie un peu de la même façon.
 
Après c'est aussi une question de sensibilité, mais pour moi le fond et la forme sont importants en poésie.

Si j'ai affaire à une fille dont l'apparence me plaît, mais que je trouve ennuyeuse, ou si j'ai affaire à une fille intéressante mais qui ne me plaît pas, je ne vais pas y trouver mon compte.

Pour être pleinement satisfait, la fille doit me plaire et m'intéresser. Ce sont deux conditions nécessaires. (pas suffisantes, mais nécessaires)

Je conçois la poésie un peu de la même façon.

Donc même si un article est pertinent, tu le refuse si la forme te plait pas ?
 
R

Rorschach

Non connecté
Donc même si un article est pertinent, tu le refuse si la forme te plait pas ?

Dans le cas d'un article on n'est plus dans l'art.

Personne ne regardera la forme d'un article, même si certains écrivent mieux que d'autres.

L'écriture journalistique ou la littérature scientifique, échappent aux jugements d'ordre esthétique, car leur fonction est de transmettre des faits, des idées.
 
Dans le cas d'un article on n'est plus dans l'art.

Personne ne regardera la forme d'un article, même si certains écrivent mieux que d'autres.

L'écriture journalistique ou la littérature scientifique, échappent aux jugements d'ordre esthétique, car leur fonction est de transmettre des faits, des idées.

Si tu arrives a definir ce qu'est l'art tu est tres fort!!!


moi je dis que TOUT est art dans le fond et qu'il n'y a d'artiste que Dieu lui meme
 
Dans le cas d'un article on n'est plus dans l'art.

Personne ne regardera la forme d'un article, même si certains écrivent mieux que d'autres.

L'écriture journalistique ou la littérature scientifique, échappent aux jugements d'ordre esthétique, car leur fonction est de transmettre des faits, des idées.

J'avoues je me suis un peu égaré, en faite ce qui te plait dans la poésie (enfin certaines poésie) c'est la morale qui en découle mais dans une forme artistique plaisante ?
 
R

Rorschach

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Si tu arrives a definir ce qu'est l'art tu est tres fort!!!


moi je dis que TOUT est art

Là encore, comme pour tout le reste, le désaccord porte sur le sens des mots.

Tu as une définition de l'art très étendue.

Où est "le beau" dans un article?
 
Dernière modification par un modérateur:
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Rorschach

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J'avoues je me suis un peu égaré, en faite ce qui te plait dans la poésie (enfin certaines poésie) c'est la morale qui en découle mais dans une forme artistique plaisante ?

Ce n'est pas une question de morale, mais en gros voilà, c'est quand j'adhère au fond et à la forme.
 
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