Tu es trop dans le fatalisme,il existe encore de bon theologiens-philosophe (sagesse).
Un jour inchallah nous aurrons ce qu'il faut ou il faut mais en attendant nous devons etre optimiste et patient c'est ca l'Islam.
Salam.
Pourquoi le père du prophète s'appèle abd-allah?
- Initiateur de la discussion Aderrbal
- Date de début
Un jour inchallah nous aurrons ce qu'il faut ou il faut mais en attendant nous devons etre optimiste et patient c'est ca l'Islam.
Salam.
Les Musulmans ont dépassés le savoir des anciens en seulement 3siècles.
On peut dire la meme chose pour la civilisation actuelle qui a pris cette base et qui a fait avancer la science,faut-il aussi s'etonner.
il faudra une reforme totale de l'islam ..et rien que ça, ça prendra enormement de temps et pendant ce temps les autres avancent
Nalinux
It's not a bug, it's a feature.
Bon, et alors ?
Tu viens de découvrir que parfois les savants se copient les uns les autres ?
Quelle nouvelle !
Tu sais que c est pas Marconi qui a inventé la radio, mais Tesla ?
Un complot anti musulmans sans doute ...
Grace a moi tu as appris que les choses ou les faussaires (pour remake) ne sont pas toujours ce que l'on croit.
Salut.
Nalinux
It's not a bug, it's a feature.
Si tu compte comme ça, chaque année la somme des découvertes essentiellement occidentales dépasse ce que les musulmans ont découvert en 3 siecles.
On est bien avancés maintenant ...
En fait ce qui t intéresse, c est pas une vision historique, impartiale et neutre des évènements, c est essentiellement idéologique : prouver que sans les arabes la connaissance ne serait pas ce qu elle est et que nous leur devons tout.
En négligeant que d une part, personne ne conteste leur héritage, contrairement a ce que tu insinue, et que d une manière ou d une autre ces découvertes auraient été faites dans le temps.
Peut être demain en Chine, peut être en Europe en l an 600 si il n y avait pas eu la période obscurantiste.
On en sait rien, on ne peut pas refaire l histoire.
Nalinux
It's not a bug, it's a feature.
Depuis le temps que je m intéresse a la pseudo archéologie et autre pseudo histoire, tu ne m apprend rien du tout en ce qui concerne les faussaires en histoire...
Tu n étais peut être même pas encore né que je m y intéressait déjà
Grace a moi tu a appris que les égyptiens n étaient pas aussi nuls que tu le dis en math ..
Mdr ils sont des milliers à ce jour les shoyyouks en Islam seulement vous ne les connaissez pas...savants en langue arabe, en récitation coranique, tafsir, hadith, fiqh, usul al fiqh, sira....et ce dans les 4 madhabs sunnites...A ton avis qui enseigne dans les universités islamiques : Zeytouna à Tunis, Al Qarawiyine à Fes, en Mauritanie des centaines sortent de Changuite, Al Azhar en Egypte, Déobandi pour l'Asie les meilleurs savants du hadiths sortent de là bas, Tomboutou, en Libye, en Syrie ou l'Imam du Sham Al Bûti qu'Allah lui accorde le martyr a été assassiné alors qu'il enseignait, en Jordanie, en Algérie, au Nigéria, au Sénégal, en Arabie Saoudite., en Inde, au Pakistan, en Afghanistan, en Europe de l'Est aussi...
Lol vous ne connaissez pas l'Islam sauf sur BFM tv, vous jacassez juste pour jacassez ici...
Lol vous ne connaissez pas l'Islam sauf sur BFM tv, vous jacassez juste pour jacassez ici...
D'accord mais ne t'en déplaise les Musulmans ont dépassés le savoir des Egyptiens en seulement 3siècles.
Ce qui m'interresse tu l'as trés bien compris : C'est dans ses débuts que l'Islam à énormément progressé puisque la base coranique enjoint le musulman à rechercher la science et qu'importe celle-ci tant qu'elle est profitable aux êtres humains.
Et mettre en évidence certains faussaire.
Dans ce cas arrette de les citer.
et ils connaissent l'arameen ? non ...donc pseudo savant incapable de lire le coran sans réellement en connaitre le sens !
donne des argument qui tiennent la route s'il te plait avec le cursus de tes savants
TU ne connait pas l'islam ..tu connais ce qu'on te fait croire ..en gros tu suis le BFM du moyen age
Tiens lis ça pour essayer de comprendre de quoi on parle déjà...avec toi c'est pas gagné
Qui est savant ?
mercredi 6 avril 2005
Question
Chers savants, que la paix soit sur vous. Qui sont les savants aujourd’hui ? Est-il suffisant de posséder un diplôme islamique et d’être désigné comme étant un savant par les gens pour en être un ?
Que Dieu vous récompense.
Réponse du Sheikh Ahmad Kutty
La voie vers la savoir est la même qu’autrefois. Comme l’Imâm Al-Bukhârî l’a dit : "La connaissance s’acquiert par l’étude". On demanda à l’Imâm Ibn Al-Mubârak comment apprendre la jurisprudence, il répondit : "Elle ne peut être apprise qu’en étudiant auprès des savants". Malheureusement, aujourd’hui, la science islamique a tellement peu de valeur que quiconque a lu un livre ou deux s’autoproclame expert en sciences islamiques. Comme l’ont souligné à juste titre nos contemporains Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî et Sheikh Yûsuf Al-Qaradâwî, ce qui est tragique en Amérique du Nord de nos jours, c’est que des ingénieurs ou des gens de formation scientifique s’improvisent juristes et experts de l’islam, si bien qu’en définitive, nous manquons de bons ingénieurs et ne savons que faire de ces juristes incompétents. La solution est de s’investir chacun dans sa spécialité car telle était la voie vers la science dans le passé.
Lorsqu’on interrogea l’Imâm Ash-Shâfi`î sur la manière de devenir un savant, il répondit : "Mon frère, il n’est possible d’atteindre la connaissance qu’en remplissant six conditions : l’intelligence, la passion, la persévérance, la subsistance, la guidance d’un professeur et des années dédiées aux études."
Les savants du passé étaient très vigilants quant au danger que représentaient les faux prétendants au savoir. Pour pallier à ce risque, ils formalisèrent le processus de reconnaissance des savants en mettant l’accent sur la ijâzah, une licence ou un certificat décerné par un (ou plusieurs) savant(s) à des étudiants, attestant qu’ils ont complété leur cursus ou leur étude de certains textes. Il y avait différents niveaux de ijâzah. Certaines ijâzâh étaient de simples certificats d’étude d’une ou deux références en particulier, tandis que d’autres attestaient d’un enseignement plus intensif. Il était entendu que seuls les gens ayant suivi une formation dans toutes les disciplines auxiliaires, avant de se consacrer exclusivement à l’étude de la jurisprudence, étaient habilitées à émettre des verdicts juridiques ou de discourir au sujet de la Loi et de la jurisprudence.
Ces ijâzah ainsi que le système universitaire figurent parmi les contributions de l’islam à l’humanité. Il est donc erroné de faire la distinction entre diplôme universitaire et ijâzah.
De même que toutes les ijâzah ne se valent pas, tous les diplômes universitaires dans le domaine des études islamiques ne sont pas du même niveau ni de la même nature. Une personne formée en lettres arabes est un linguiste, mais pas une autorité en jurisprudence. De même, une savant qui a étudié le Hadith est un simple savant du Hadith et ne peut guère être sollicité pour donner des verdicts juridiques. Plus important encore, un diplôme de premier niveau est simplement une introduction au domaine, tandis que la spécialisation, qui implique plusieurs années consacrées à l’étude et à la recherche, est véritablement ce qui fait un savant. Il est malheureux de constater que certaines personnes ignorent la nécessité de se spécialiser.
Il est clair, après ces propos, qu’un savant ne l’est pas parce que les gens du commun le pensent ou parce qu’il s’est autoproclamé comme tel, mais par sa formation intensive auprès de savants reconnus dans le domaine en question. Les diplômes ou les habilitations constituent des attestations, étant donné qu’ils ont été décernés par des universités accréditées ou des instituts d’enseignement supérieur.
En conclusion, disons que la voie du savoir est toujours ouverte devant ceux qui ont de l’ambition, tout comme elle l’était pour les savants du passé. Une fois qu’une personne a acquis la formation nécessaire, l’immense trésor de l’héritage islamique en matière de jurisprudence ou d’autres disciplines s’ouvre devant elle. Elle acquiert alors la capacité de parler librement avec les plus hautes autorités et d’atteindre ses propres conclusions. Ainsi, ne limitez jamais la Miséricorde d’Allâh à une génération en particulier. La voie de la science est toujours ouverte pour les gens prêts à plonger dans l’océan. Mais souvenez-vous que celui qui plonge dans l’océan sans savoir nager se noie et périt !
http://www.islamophile.org/spip/Qui-est-savant.html
Et dans ce lien tu as une liste de savants contemporains, sont pas tous là...j'ai pas vu les subsahariens dedans, ni les saoudiens par exemple...ni les indiens et pakistanais enfin l'Asie avec l'Indonésie qui est le plus grand pays musulman....
http://www.islamophile.org/spip/-Savants-contemporains-.html?debut_articles=30#pagination_articles
Qui est savant ?
mercredi 6 avril 2005
Question
Chers savants, que la paix soit sur vous. Qui sont les savants aujourd’hui ? Est-il suffisant de posséder un diplôme islamique et d’être désigné comme étant un savant par les gens pour en être un ?
Que Dieu vous récompense.
Réponse du Sheikh Ahmad Kutty
La voie vers la savoir est la même qu’autrefois. Comme l’Imâm Al-Bukhârî l’a dit : "La connaissance s’acquiert par l’étude". On demanda à l’Imâm Ibn Al-Mubârak comment apprendre la jurisprudence, il répondit : "Elle ne peut être apprise qu’en étudiant auprès des savants". Malheureusement, aujourd’hui, la science islamique a tellement peu de valeur que quiconque a lu un livre ou deux s’autoproclame expert en sciences islamiques. Comme l’ont souligné à juste titre nos contemporains Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî et Sheikh Yûsuf Al-Qaradâwî, ce qui est tragique en Amérique du Nord de nos jours, c’est que des ingénieurs ou des gens de formation scientifique s’improvisent juristes et experts de l’islam, si bien qu’en définitive, nous manquons de bons ingénieurs et ne savons que faire de ces juristes incompétents. La solution est de s’investir chacun dans sa spécialité car telle était la voie vers la science dans le passé.
Lorsqu’on interrogea l’Imâm Ash-Shâfi`î sur la manière de devenir un savant, il répondit : "Mon frère, il n’est possible d’atteindre la connaissance qu’en remplissant six conditions : l’intelligence, la passion, la persévérance, la subsistance, la guidance d’un professeur et des années dédiées aux études."
Les savants du passé étaient très vigilants quant au danger que représentaient les faux prétendants au savoir. Pour pallier à ce risque, ils formalisèrent le processus de reconnaissance des savants en mettant l’accent sur la ijâzah, une licence ou un certificat décerné par un (ou plusieurs) savant(s) à des étudiants, attestant qu’ils ont complété leur cursus ou leur étude de certains textes. Il y avait différents niveaux de ijâzah. Certaines ijâzâh étaient de simples certificats d’étude d’une ou deux références en particulier, tandis que d’autres attestaient d’un enseignement plus intensif. Il était entendu que seuls les gens ayant suivi une formation dans toutes les disciplines auxiliaires, avant de se consacrer exclusivement à l’étude de la jurisprudence, étaient habilitées à émettre des verdicts juridiques ou de discourir au sujet de la Loi et de la jurisprudence.
Ces ijâzah ainsi que le système universitaire figurent parmi les contributions de l’islam à l’humanité. Il est donc erroné de faire la distinction entre diplôme universitaire et ijâzah.
De même que toutes les ijâzah ne se valent pas, tous les diplômes universitaires dans le domaine des études islamiques ne sont pas du même niveau ni de la même nature. Une personne formée en lettres arabes est un linguiste, mais pas une autorité en jurisprudence. De même, une savant qui a étudié le Hadith est un simple savant du Hadith et ne peut guère être sollicité pour donner des verdicts juridiques. Plus important encore, un diplôme de premier niveau est simplement une introduction au domaine, tandis que la spécialisation, qui implique plusieurs années consacrées à l’étude et à la recherche, est véritablement ce qui fait un savant. Il est malheureux de constater que certaines personnes ignorent la nécessité de se spécialiser.
Il est clair, après ces propos, qu’un savant ne l’est pas parce que les gens du commun le pensent ou parce qu’il s’est autoproclamé comme tel, mais par sa formation intensive auprès de savants reconnus dans le domaine en question. Les diplômes ou les habilitations constituent des attestations, étant donné qu’ils ont été décernés par des universités accréditées ou des instituts d’enseignement supérieur.
En conclusion, disons que la voie du savoir est toujours ouverte devant ceux qui ont de l’ambition, tout comme elle l’était pour les savants du passé. Une fois qu’une personne a acquis la formation nécessaire, l’immense trésor de l’héritage islamique en matière de jurisprudence ou d’autres disciplines s’ouvre devant elle. Elle acquiert alors la capacité de parler librement avec les plus hautes autorités et d’atteindre ses propres conclusions. Ainsi, ne limitez jamais la Miséricorde d’Allâh à une génération en particulier. La voie de la science est toujours ouverte pour les gens prêts à plonger dans l’océan. Mais souvenez-vous que celui qui plonge dans l’océan sans savoir nager se noie et périt !
http://www.islamophile.org/spip/Qui-est-savant.html
Et dans ce lien tu as une liste de savants contemporains, sont pas tous là...j'ai pas vu les subsahariens dedans, ni les saoudiens par exemple...ni les indiens et pakistanais enfin l'Asie avec l'Indonésie qui est le plus grand pays musulman....
http://www.islamophile.org/spip/-Savants-contemporains-.html?debut_articles=30#pagination_articles
je ne te demandes pas ce que n'importe qui pourrais dire ...je te demande quel est leurs niveau d'etude !Tiens lis ça pour essayer de comprendre de quoi on parle déjà...avec toi c'est pas gagné
Qui est savant ?
mercredi 6 avril 2005
Question
Chers savants, que la paix soit sur vous. Qui sont les savants aujourd’hui ? Est-il suffisant de posséder un diplôme islamique et d’être désigné comme étant un savant par les gens pour en être un ?
Que Dieu vous récompense.
Réponse du Sheikh Ahmad Kutty
La voie vers la savoir est la même qu’autrefois. Comme l’Imâm Al-Bukhârî l’a dit : "La connaissance s’acquiert par l’étude". On demanda à l’Imâm Ibn Al-Mubârak comment apprendre la jurisprudence, il répondit : "Elle ne peut être apprise qu’en étudiant auprès des savants". Malheureusement, aujourd’hui, la science islamique a tellement peu de valeur que quiconque a lu un livre ou deux s’autoproclame expert en sciences islamiques. Comme l’ont souligné à juste titre nos contemporains Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî et Sheikh Yûsuf Al-Qaradâwî, ce qui est tragique en Amérique du Nord de nos jours, c’est que des ingénieurs ou des gens de formation scientifique s’improvisent juristes et experts de l’islam, si bien qu’en définitive, nous manquons de bons ingénieurs et ne savons que faire de ces juristes incompétents. La solution est de s’investir chacun dans sa spécialité car telle était la voie vers la science dans le passé.
Lorsqu’on interrogea l’Imâm Ash-Shâfi`î sur la manière de devenir un savant, il répondit : "Mon frère, il n’est possible d’atteindre la connaissance qu’en remplissant six conditions : l’intelligence, la passion, la persévérance, la subsistance, la guidance d’un professeur et des années dédiées aux études."
Les savants du passé étaient très vigilants quant au danger que représentaient les faux prétendants au savoir. Pour pallier à ce risque, ils formalisèrent le processus de reconnaissance des savants en mettant l’accent sur la ijâzah, une licence ou un certificat décerné par un (ou plusieurs) savant(s) à des étudiants, attestant qu’ils ont complété leur cursus ou leur étude de certains textes. Il y avait différents niveaux de ijâzah. Certaines ijâzâh étaient de simples certificats d’étude d’une ou deux références en particulier, tandis que d’autres attestaient d’un enseignement plus intensif. Il était entendu que seuls les gens ayant suivi une formation dans toutes les disciplines auxiliaires, avant de se consacrer exclusivement à l’étude de la jurisprudence, étaient habilitées à émettre des verdicts juridiques ou de discourir au sujet de la Loi et de la jurisprudence.
Ces ijâzah ainsi que le système universitaire figurent parmi les contributions de l’islam à l’humanité. Il est donc erroné de faire la distinction entre diplôme universitaire et ijâzah.
De même que toutes les ijâzah ne se valent pas, tous les diplômes universitaires dans le domaine des études islamiques ne sont pas du même niveau ni de la même nature. Une personne formée en lettres arabes est un linguiste, mais pas une autorité en jurisprudence. De même, une savant qui a étudié le Hadith est un simple savant du Hadith et ne peut guère être sollicité pour donner des verdicts juridiques. Plus important encore, un diplôme de premier niveau est simplement une introduction au domaine, tandis que la spécialisation, qui implique plusieurs années consacrées à l’étude et à la recherche, est véritablement ce qui fait un savant. Il est malheureux de constater que certaines personnes ignorent la nécessité de se spécialiser.
Il est clair, après ces propos, qu’un savant ne l’est pas parce que les gens du commun le pensent ou parce qu’il s’est autoproclamé comme tel, mais par sa formation intensive auprès de savants reconnus dans le domaine en question. Les diplômes ou les habilitations constituent des attestations, étant donné qu’ils ont été décernés par des universités accréditées ou des instituts d’enseignement supérieur.
En conclusion, disons que la voie du savoir est toujours ouverte devant ceux qui ont de l’ambition, tout comme elle l’était pour les savants du passé. Une fois qu’une personne a acquis la formation nécessaire, l’immense trésor de l’héritage islamique en matière de jurisprudence ou d’autres disciplines s’ouvre devant elle. Elle acquiert alors la capacité de parler librement avec les plus hautes autorités et d’atteindre ses propres conclusions. Ainsi, ne limitez jamais la Miséricorde d’Allâh à une génération en particulier. La voie de la science est toujours ouverte pour les gens prêts à plonger dans l’océan. Mais souvenez-vous que celui qui plonge dans l’océan sans savoir nager se noie et périt !
http://www.islamophile.org/spip/Qui-est-savant.html
Et dans ce lien tu as une liste de savants contemporains, sont pas tous là...j'ai pas vu les subsahariens dedans, ni les saoudiens par exemple...ni les indiens et pakistanais enfin l'Asie avec l'Indonésie qui est le plus grand pays musulman....
http://www.islamophile.org/spip/-Savants-contemporains-.html?debut_articles=30#pagination_articles
il existe un standard international qui le donne ..donc ils sont ou d'apres ce standard ??
Nalinux
It's not a bug, it's a feature.
Il faut mettre ça dans le contexte d origine je suppose.
Il est difficile de définir une équivalence avec un cursus scientifique ...
Bien que ça existe aux USA pour les chrétiens ( PhD en théologie).
Les disciples des chercheurs profanes des premiers siècles, élèves de chercheurs reconnus, n avaient pas de "diplôme", mais une validation de leur savoir par leur maitre lui même.
La position d autorité suffisait a apporter des garanties.
Pour comprendre le principe, je pense qu il faut le remettre dans un contexte médiéval...
Tu analyses très le mal le temps les évènements et les époques . Tes exemples sont nuls . J'y attache de l'importance .
Simple exemple pour couper court :
Qu'est ce qui a changé en 120 ans sur une voiture ? N'ont ils pas plus les moyens ?
Et comment ils construisaient leurs temples et leurs accessoires ? avec de l'air ?
On peut résoudre des équations soit sous forme algébrique soit sous forme graphique . Or la géométrie
était développé en Égypte comme en Grèce ( On peut y ajouter la trigonométrie ) . Ils l'écrivaient pas forcément sous forme de variables comme maintenant
Genre : x3 + x² – x + 2 = 0
Tu sais pas interpréter les époques c'est long à expliquer et ne me traite pas de mytho quand je vois ce que tu écris .
Tu mens . Je vois les époques . Si un ennemi dit une vérité ou en a dit une vais je la repousser ?
Je ne suis pas comme eux . Galilée n'a pas été emprisonné et n'avait pas les moyens . Ptolémée a repris les travaux de
ses pères qui travaillaient à la Bibliothèque d'Alexandrie comme Hipparque et c'était du concret et par rapport à l'époque fallait le faire pas comme le mytho que tu as cité . Ératosthène avait déjà établi la circonférence la Terre ils avaient construit des armilles
des astrolabes .
C'est pourquoi tu ne sais pas analyser mais je ne vais pas entrer dans ce débat .
tuyau : causes -------> conséquences
Pas du tout et je t'ai dit pourquoi .
Cause01
VIB
et ils connaissent l'arameen ? non ...donc pseudo savant incapable de lire le coran sans réellement en connaitre le sens !
donne des argument qui tiennent la route s'il te plait avec le cursus de tes savants
TU ne connait pas l'islam ..tu connais ce qu'on te fait croire ..en gros tu suis le BFM du moyen age
L'Araméen ?
Dans quel but ?
Tu penses vraiment que Contantin l'Africain et L'abbé de Cluny Pierre le Vénérable sont des gens serieux?
Tu veux savoir aussi qui Jean de la fontaine a plagié?
Tu peux nous dire pourquoi les personnage Grecs meurts presques tous a un meme age 75-80ans?
Oui mais tu as étais réfutés il me semble.Deplus meme Nalinux a reconnu que les Musulmans étaient en avance sur Les Romains en allant jusqu'au Sumériens ce qui est normal .
Pour les Egyptiens je pense que les Pyramides sont plus ancienne que ce que l'on pense.Et quelle ont eté construite sur des dizaines voir des centaines d'années en tout cas pas 20ans.Les Egyptiens devaient sans doute tout au long des siecles faire des travaux de rénovation ce qui a du faussé les dates.
Bref,Seul Dieu le sait,salut.
Une Bibliothèque qui a été brulé par les Romains comme par hasard.Amon avis il ne devait pas y avoir beaucoup de Papyrus a l'interieur .
Salam,
Je suis a 70% d'accord avec lui,"par rapport a la falscification de l'histoire,il y'a beaucoup de source.
Mais pour l'histoire de Salomon et des Pyramides qui pour moi ne sont pas liés,"j'ai ma propre idée" que j'ai déja fait partagé ici.
Merci c'est gentil de ta part,je pense passer demain inch'allah.Si tu veux partager ton idée, viens sur le topic "géographie coranique"
Salam et Bonne soirée.