Pq les l’héritage il d'une fille est plus faible que celui d'un garçon?

Sourate al nissah dans lequel se trouve cette aya commence par cette injonction de Dieu
4/1 : ... Itaqou Dieu que vous allez questionnez par Lui et les matrices
Il est alors impérieux de prendre garde à notre traitement des femelles (que l'on soit homme ou femme) au cours de notre existence ici bas et bien entendu dans cette sourate!
Dans la aya 4:11 il est impossible de connaître la part du mâle dans connaître d'abord celle de la femelle. La femelle est le référent et le mal et le suivant. Sa part se trouve induite par celle de la femelle. D'ailleurs partout dans le coran Dieu donne la femelle comme exemple pour le mâle et non le contraire
Coran 3/32 : "... Et le mâle n'est pas comme la femelle..."
Nul part après cette formulation Dieu ne citera la part du mâle mais uniquement celle de la femelle. La part du mâle et l'entité mâle ne sera qu'induite carte le mâle et le suiveur de la femelle.
Cette expression "pour le mâle la même part que les deux femelle", elle, est incomplète c'est et nous allons l'illustrer par un exemple.
Supposons une mère ayant trois enfants dont deux filles. Tout les jours au goûter elle leur donne un verre de lait et une tartine. Un jour pour plaisanter elle ne donne que le lait et pas la tartine au garçon. Celui ci alors dira je veux la même part que les deux. Cela ne voudra évidemment pas dire qu'il veut le double mais strictement l'égalité dans les parts. Seulement cette formule si ce n'était la trivialité de notre exemple peut également signifier que le mâle en question peut avoir le double de la part. Ce n'est pas à nous de statuer mais il faut suivrez la lettre l'imam, le livre de Dieu, qui est notre instructeur. Dieu sachant bien ce que signifie ce qu'il a écrit nous pose alors les limites de cette règle (dans les enfants) qui comme d'habitudes sont l'une haute et l'autre basse
... A suivre
 

Nalinux

It's not a bug, it's a feature.
Sourate al nissah dans lequel se trouve cette aya commence par cette injonction de Dieu
4/1 : ... Itaqou Dieu que vous allez questionnez par Lui et les matrices
Il est alors impérieux de prendre garde à notre traitement des femelles (que l'on soit homme ou femme) au cours de notre existence ici bas et bien entendu dans cette sourate!
Dans la aya 4:11 il est impossible de connaître la part du mâle dans connaître d'abord celle de la femelle. La femelle est le référent et le mal et le suivant. Sa part se trouve induite par celle de la femelle. D'ailleurs partout dans le coran Dieu donne la femelle comme exemple pour le mâle et non le contraire
Coran 3/32 : "... Et le mâle n'est pas comme la femelle..."
Nul part après cette formulation Dieu ne citera la part du mâle mais uniquement celle de la femelle. La part du mâle et l'entité mâle ne sera qu'induite carte le mâle et le suiveur de la femelle.
Cette expression "pour le mâle la même part que les deux femelle", elle, est incomplète c'est et nous allons l'illustrer par un exemple.
Supposons une mère ayant trois enfants dont deux filles. Tout les jours au goûter elle leur donne un verre de lait et une tartine. Un jour pour plaisanter elle ne donne que le lait et pas la tartine au garçon. Celui ci alors dira je veux la même part que les deux. Cela ne voudra évidemment pas dire qu'il veut le double mais strictement l'égalité dans les parts. Seulement cette formule si ce n'était la trivialité de notre exemple peut également signifier que le mâle en question peut avoir le double de la part. Ce n'est pas à nous de statuer mais il faut suivrez la lettre l'imam, le livre de Dieu, qui est notre instructeur. Dieu sachant bien ce que signifie ce qu'il a écrit nous pose alors les limites de cette règle (dans les enfants) qui comme d'habitudes sont l'une haute et l'autre basse
... A suivre
Met de la ponctuation et on lira.
Et citer des versets était valable il y a 14oo ans, mais pas actuellement.
 

nordia

🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
Sourate al nissah dans lequel se trouve cette aya commence par cette injonction de Dieu
4/1 : ... Itaqou Dieu que vous allez questionnez par Lui et les matrices
Il est alors impérieux de prendre garde à notre traitement des femelles (que l'on soit homme ou femme) au cours de notre existence ici bas et bien entendu dans cette sourate!
Dans la aya 4:11 il est impossible de connaître la part du mâle dans connaître d'abord celle de la femelle. La femelle est le référent et le mal et le suivant. Sa part se trouve induite par celle de la femelle. D'ailleurs partout dans le coran Dieu donne la femelle comme exemple pour le mâle et non le contraire
Coran 3/32 : "... Et le mâle n'est pas comme la femelle..."
Nul part après cette formulation Dieu ne citera la part du mâle mais uniquement celle de la femelle. La part du mâle et l'entité mâle ne sera qu'induite carte le mâle et le suiveur de la femelle.
Cette expression "pour le mâle la même part que les deux femelle", elle, est incomplète c'est et nous allons l'illustrer par un exemple.
Supposons une mère ayant trois enfants dont deux filles. Tout les jours au goûter elle leur donne un verre de lait et une tartine. Un jour pour plaisanter elle ne donne que le lait et pas la tartine au garçon. Celui ci alors dira je veux la même part que les deux. Cela ne voudra évidemment pas dire qu'il veut le double mais strictement l'égalité dans les parts. Seulement cette formule si ce n'était la trivialité de notre exemple peut également signifier que le mâle en question peut avoir le double de la part. Ce n'est pas à nous de statuer mais il faut suivrez la lettre l'imam, le livre de Dieu, qui est notre instructeur. Dieu sachant bien ce que signifie ce qu'il a écrit nous pose alors les limites de cette règle (dans les enfants) qui comme d'habitudes sont l'une haute et l'autre basse
... A suivre

c est claire que la femme est différente du mal physiquement et intelligemment on est d accord on fonctionne différemment se qui ne veut pas dire que nous somme supérieur ou inférieur mais complémentaire l homme apporte comme la femme apporte se sont avant tout des partenaire donc quand le coran dit que l homme est la femme sont égaux il se base sur autre chose et non sur la supériorité physique de l homme

le verset de l héritage à mon sens et mal interprété et la façon dont on le résume est injuste et infondé c est dieu qui donne la substance à l être humains pourquoi s arrêter à l héritage d un parents ? celui qui n as rien sa ne veut pas dire qu il n aura rien dans la vie et si il doivent attendre leur héritage pour vivre c est qu ils sont ridicule
 
C'était une vraie révolution le partage de l'héritage à la naissance de l'Islam et les droits des femmes en général.
mais pas que ça, su r plusieurs domaines os ancêtres ont apporté des solutions.

que reste t il de l'héritage de nos ancêtres sur leur manière de penser et de vivre avec son époque? on s’assoit sur des acquis de 14 siècles et se fait dépasser par d'autres peuples, d'autres cultures et on persiste à penser que la manière de penser de nos ancêtres est la meilleur sans apporter la moindre touche alors qu'on vit différemment de nos ancêtres.
 
C'était une vraie révolution le partage de l'héritage à la naissance de l'Islam et les droits des femmes en général.
mais pas que ça, su r plusieurs domaines os ancêtres ont apporté des solutions.

que reste t il de l'héritage de nos ancêtres sur leur manière de penser et de vivre avec son époque? on s’assoit sur des acquis de 14 siècles et se fait dépasser par d'autres peuples, d'autres cultures et on persiste à penser que la manière de penser de nos ancêtres est la meilleur sans apporter la moindre touche alors qu'on vit différemment de nos ancêtres.
C'était peut-être une révolution il y a 1400 ans mais là nous sommes en 2014 et le monde à l'extérieur de l'Islam continu d'évoluer.
 
C'était peut-être une révolution il y a 1400 ans mais là nous sommes en 2014 et le monde à l'extérieur de l'Islam continu d'évoluer.

le monde évolue sans les femmes musulmanes, elles acceptent leur sort pour le bien du mâle dominant.
s'elles attendent que l'homme cèdent sur des acquis, elles peuvent attendre encore longtemps.

le formatage du cerveau de la femmes a toujours du succès et quand ça ne marche pas, on la traite de tous les noms, fornicatrice, mécréante, sans honneur ... le mâle n'a aucun problème, il peut toujours forniquer autant qu'il veut avant de décider prendre une vierge avec la bénédiction même de sa mère. il peut se marier avec toutes les femmes des gens de livre et même prendre 4 avec la bénédiction devine, il hérite le double de sa sœur et c'est tout à fait normal ....

quand je parle de révolution chez nos ancêtres, il y avait une explication de chaque chose qu'on considère aujourd'hui comme rétrograde, même le fait de se marier avec 4 femmes, avec toutes les pertes des hommes lors des guerres, il fallait bien peupler le désert et satisfaire toutes les femmes même les esclaves :D
 

IntricationQ

وَقُولُوا لِلنَّاسِ حُسْنًا
VIB
Salam,Allah soubhanahou wa ta'ala dis au verset 11,sourate 4:"Voici ce qu'Allah vous enjoint au sujet de vos enfants:au fils une part equivalente a celle de deux filles."


Pq cette "inegalité"?

Tout d'abord, que Dieu nous guide tous. Aussi je ne suis pas un professionnel de l'Islam ; considérez-moi comme un converti qui essaye de comprendre.

Je vais commencer par poser une question : est-il possible que dans une famille, l'homme reste toute la journée chez lui à jouer aux jeux vidéo, et la femme passe toute la journée dehors à suer sans relâche pour subvenir aux besoins du ménage ?

Je pense que dans n'importe quelle société, musulmane, chrétienne, même athée, c'est inconcevable à long terme ; et quand je dis long terme, c'est vraiment très long terme, c'est-à-dire très très longtemps. Evidemment, un homme peut perdre son emploi et rester au chômage quelque temps, et on aurait cette situation à court terme ! C'est pourquoi j'insiste sur le long terme ! Je dirais même plus : que ceci soit une norme. J'imagine mal une situation pareille être une norme. Normalement quand on comprend ceci, on peut comprendre l'ordre de Dieu, l'intuition, ...

Bien sûr les femmes peuvent travailler, et cela s'est même beaucoup démocratisé avec le temps. Aujourd'hui, on peut remarquer qu'avec le secteur tertiaire, l'emploi pour les femmes a explosé ces dernières années, et elles représentent aujourd'hui un acteur essentiel de l'économie dans certains pays du monde.

Alors oui les femmes travaillent, elles ont le choix de travailler. Mais les hommes ont-ils le choix ? L'homme peut-il dire à sa femme : "hé chéri, va travailler, on doit payer la nourriture, payer les taxes, l'électricité, l'eau et le téléphone, ah oui y a internet et la télé aussi ... moi je reste à la maison, je passe une fois l'aspirateur, je fais à manger et puis c'est tout !!". Je ne pense pas qu'un homme dans le monde oserait dire ça, car c'est dans notre ADN. Et le Créateur connaît sa créature, il sait que l'homme est responsable de sa famille ; Il l'a programmé comme un programmeur, et a écrit le code et l'a transcrit dans les gènes. Donc les hommes doivent travailler, toutes choses étant égales par ailleurs, et les femmes ont le choix.

L'alcool et la drogue sont à éviter, c'est facile de savoir pourquoi. Mais il est moins instinctif de savoir pourquoi des règles aussi précises pour l'héritage. C'est ce que j'essaye de comprendre, c'est qu'on essaye de comprendre tous. Car ces règles peuvent sembler injustes à notre époque. Comment Dieu qui prône la meilleure justice, qui demandent aux hommes de bien traiter les femmes, peut instaurer une règle immuable aussi "injuste" à notre époque. Car pour certains, cette règle est bien immuable, il est bien écrit dans la sourate 4, verset 11 : "...Ceci est un ordre obligatoire de la part d'Allah, car Allah est, certes, Omniscient et Sage." Pensez vous vraiment que le Créateur pour qui toute âme est importante instaurerait une règle immuable qui serait injuste ? Revenons 2 minutes 1400 ans en arrière :

Les femmes sont littéralement des choses, qu'on peut enterrer vivantes, et niveau droit d'héritages, on va même pas en parler. Et ensuite Dieu nous dit qu'on devra rendre des comptes pour avoir enterré les femmes vivantes, et Dieu leur accorde aussi une part de l'héritage. Il faut bien se rendre compte du bouleversement à ce moment-là de la société.

Est-ce vraiment injuste ? Prenons le cas le plus extrême, car si on comprend le cas le plus extrême, les autres ne seront que des formalités. Le cas le plus extrême c'est-à-dire celui où l'injustice "paraît" la plus flagrante de nos jours :

imaginez un frère et une soeur, tout deux mariés respectivement à sa conjointe et son conjoint ; les deux travaillent et rapportent la moitié du revenu familial ; ensuite un décès dans leur famille survient, et le frère va théoriquement dans ce cas de décès avoir une plus grande part que sa soeur.

Donc on a :

Conjointe1 <-> Frère - - - - - Soeur <-> Conjoint2

Voilà les deux familles : la famille du frère, et la famille de la soeur. Les deux travaillent donc, et chacun apporte le même revenu que son conjoint, donc on a :

Revenu du Frère = Revenu de Conjointe1

Revenu de la Soeur = Revenu de Conjoint2

Alors pourquoi est-ce que le frère doit toucher plus lors de l'héritage que sa soeur ? Pourquoi, sachant que les deux travaillent et ont exactement la responsabilité de la moitié du revenu familial ? Pourquoi la soeur devrait subir une "injustice" ? et toucher moins que son frère ?

C'est ce que Dieu nous a demandé de faire, et pensez-vous vraiment que Dieu ne connaissait pas cette situation du futur ? Il la connaissait bien sûr. Et pour Lui c'est parfaitement juste. Maintenant, tentons d'expliquer, je dis bien "tentons" car seul Dieu connaît l'explication exacte !

--> Tentative d'explication donc :

Comme on a dit plus haut, c'est dans les gènes de l'homme de travailler pour prendre soin de sa famille (sa femme et ses enfants). Ce n'est pas dans les gênes de la femme de subvenir aux besoins de son homme et ses enfants. Si Dieu a programmé cette immuabilité dans les gênes, il s'est permis de rendre la règle de l'héritage immuable.

Car voilà, l'homme a cette responsabilité, ce devoir. Et aujourd'hui, la femme travaille par choix, et non pas par obligation de subvenir aux besoins de sa famille (toutes choses étant égales par ailleurs***). Donc c'est pour cela que l'homme obtient plus de l'héritage, à cause de la responsabilité qu'il porte. Aujourd'hui c'est formidable : la femme a ce choix, de pouvoir travailler, mais dans les sociétés musulmanes, il n'y a aucune honte à ce qu'elles disent "je ne veux plus". Et qui oserait aujourd'hui dire : la femme a l'OBLIGATION de travailler pour aider son homme ? Donc pour résumer, dans notre exemple : le frère porte cette responsabilité, il reçoit un peu plus que sa soeur car il est responsable de Conjointe1 et de ses enfants, donc il a droit, selon Dieu, à plus que sa soeur, qui est sous la responsabilité de Conjoint2.

***J'insiste sur le "toutes choses étant égales" : pourquoi ? parce que certains vont dire : oui, la femme peut vivre toute seule, et donc DOIT travailler. Mais là encore, l'homme est un animal social : connaissez vous un homme ou une femme, sains d'esprit, qui peuvent dire : je VEUX vivre seul. Non ... Car l'homme est un animal social, pourquoi ?? Parce que Dieu l'a programmé dans nos gènes ; Il a programmé dans nos gènes cette volonté de vivre en société, et de ne pas rester seul toute sa vie. Et en Islam, il est clairement incité aux hommes de se marier, et aux femmes de même ?? Une femme ne reste donc pas seul dans les sociétés musulmanes.

Un autre exemple : nous sommes en train de vivre dans une société paisible, en Europe et au Maroc je veux dire : la paix règne. Tout va bien. Imaginez que le chaos prend un peu plus de place, l'économie tient à peine debout, licenciements sur licenciements, il devient même difficile de trouver un job "décent". Pensez-vous que dans ce cas-ci, l'homme osera dire à sa femme, va travailler, sachant que ce travail est tout sauf décent. Protection de la famille oblige, sa chère épouse qu'il aime, et ses enfants, il fera tout ce qu'il y a en son pouvoir pour nourir sa famille, et la protéger, s'il n'est pas un lâche.

Je vais terminer évidemment par dire :

Dieu sait mieux !!! Car si ça se trouve, je me plante complètement, et si ça se trouve Dieu ne veut pas qu'on fasse comme ça. Dieu sait mieux !!! Et qu'Il nous guide tous mes chers soeurs et frères !!
 
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nordia

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Tout d'abord, que Dieu nous guide tous. Aussi je ne suis pas un professionnel de l'Islam ; considérez-moi comme un converti qui essaye de comprendre.

Je vais commencer par poser une question : est-il possible que dans une famille, l'homme reste toute la journée chez lui à jouer aux jeux vidéo, et la femme passe toute la journée dehors à suer sans relâche pour subvenir aux besoins du ménage ?

Je pense que dans n'importe quelle société, musulmane, chrétienne, même athée, c'est inconcevable à long terme ; et quand je dis long terme, c'est vraiment très long terme, c'est-à-dire très très longtemps. Evidemment, un homme peut perdre son emploi et rester au chômage quelque temps, et on aurait cette situation à court terme ! C'est pourquoi j'insiste sur le long terme ! Je dirais même plus : que ceci soit une norme. J'imagine mal une situation pareille être une norme. Normalement quand on comprend ceci, on peut comprendre l'ordre de Dieu, l'intuition, ...

Bien sûr les femmes peuvent travailler, et cela s'est même beaucoup démocratisé avec le temps. Aujourd'hui, on peut remarquer qu'avec le secteur tertiaire, l'emploi pour les femmes a explosé ces dernières années, et elles représentent aujourd'hui un acteur essentiel de l'économie dans certains pays du monde.

Alors oui les femmes travaillent, elles ont le choix de travailler. Mais les hommes ont-ils le choix ? L'homme peut-il dire à sa femme : "hé chéri, va travailler, on doit payer la nourriture, payer les taxes, l'électricité, l'eau et le téléphone, ah oui y a internet et la télé aussi ... moi je reste à la maison, je passe une fois l'aspirateur, je fais à manger et puis c'est tout !!". Je ne pense pas qu'un homme dans le monde oserait dire ça, car c'est dans notre ADN. Et le Créateur connaît sa créature, il sait que l'homme est responsable de sa famille ; Il l'a programmé comme un programmeur, et a écrit le code et l'a transcrit dans les gènes. Donc les hommes doivent travailler, toutes choses étant égales par ailleurs, et les femmes ont le choix.

L'alcool et la drogue sont à éviter, c'est facile de savoir pourquoi. Mais il est moins instinctif de savoir pourquoi des règles aussi précises pour l'héritage. C'est ce que j'essaye de comprendre, c'est qu'on essaye de comprendre tous. Car ces règles peuvent sembler injustes à notre époque. Comment Dieu qui prône la meilleure justice, qui demandent aux hommes de bien traiter les femmes, peut instaurer une règle immuable aussi "injuste" à notre époque. Car pour certains, cette règle est bien immuable, il est bien écrit dans la sourate 4, verset 11 : "...Ceci est un ordre obligatoire de la part d'Allah, car Allah est, certes, Omniscient et Sage." Pensez vous vraiment que le Créateur pour qui toute âme est importante instaurerait une règle immuable qui serait injuste ? Revenons 2 minutes 1400 ans en arrière :

Les femmes sont littéralement des choses, qu'on peut enterrer vivantes, et niveau droit d'héritages, on va même pas en parler. Et ensuite Dieu nous dit qu'on devra rendre des comptes pour avoir enterré les femmes vivantes, et Dieu leur accorde aussi une part de l'héritage. Il faut bien se rendre compte du bouleversement à ce moment-là de la société.

Est-ce vraiment injuste ? Prenons le cas le plus extrême, car si on comprend le cas le plus extrême, les autres ne seront que des formalités. Le cas le plus extrême c'est-à-dire celui où l'injustice "paraît" la plus flagrante de nos jours :

imaginez un frère et une soeur, tout deux mariés respectivement à sa conjointe et son conjoint ; les deux travaillent et rapportent la moitié du revenu familial ; ensuite un décès dans leur famille survient, et le frère va théoriquement dans ce cas de décès avoir une plus grande part que sa soeur.

Donc on a :

Conjointe1 <-> Frère - - - - - Soeur <-> Conjoint2

Voilà les deux familles : la famille du frère, et la famille de la soeur. Les deux travaillent donc, et chacun apporte le même revenu que son conjoint, donc on a :

Revenu du Frère = Revenu de Conjointe1

Revenu de la Soeur = Revenu de Conjoint2

Alors pourquoi est-ce que le frère doit toucher plus lors de l'héritage que sa soeur ? Pourquoi, sachant que les deux travaillent et ont exactement la responsabilité de la moitié du revenu familial ? Pourquoi la soeur devrait subir une "injustice" ? et toucher moins que son frère ?

C'est ce que Dieu nous a demandé de faire, et pensez-vous vraiment que Dieu ne connaissait pas cette situation du futur ? Il la connaissait bien sûr. Et pour Lui c'est parfaitement juste. Maintenant, tentons d'expliquer, je dis bien "tentons" car seul Dieu connaît l'explication exacte !

--> Tentative d'explication donc :

Comme on a dit plus haut, c'est dans les gènes de l'homme de travailler pour prendre soin de sa famille (sa femme et ses enfants). Ce n'est pas dans les gênes de la femme de subvenir aux besoins de son homme et ses enfants. Si Dieu a programmé cette immuabilité dans les gênes, il s'est permis de rendre la règle de l'héritage immuable.

Car voilà, l'homme a cette responsabilité, ce devoir. Et aujourd'hui, la femme travaille par choix, et non pas par obligation de subvenir aux besoins de sa famille (toutes choses étant égales par ailleurs***). Donc c'est pour cela que l'homme obtient plus de l'héritage, à cause de la responsabilité qu'il porte. Aujourd'hui c'est formidable : la femme a ce choix, de pouvoir travailler, mais dans les sociétés musulmanes, il n'y a aucune honte à ce qu'elles disent "je ne veux plus". Et qui oserait aujourd'hui dire : la femme a l'OBLIGATION de travailler pour aider son homme ? Donc pour résumer, dans notre exemple : le frère porte cette responsabilité, il reçoit un peu plus que sa soeur car il est responsable de Conjointe1 et de ses enfants, donc il a droit, selon Dieu, à plus que sa soeur, qui est sous la responsabilité de Conjoint2.

***J'insiste sur le "toutes choses étant égales" : pourquoi ? parce que certains vont dire : oui, la femme peut vivre toute seule, et donc DOIT travailler. Mais là encore, l'homme est un animal social : connaissez vous un homme ou une femme, sains d'esprit, qui peuvent dire : je VEUX vivre seul. Non ... Car l'homme est un animal social, pourquoi ?? Parce que Dieu l'a programmé dans nos gènes ; Il a programmé dans nos gènes cette volonté de vivre en société, et de ne pas rester seul toute sa vie. Et en Islam, il est clairement incité aux hommes de se marier, et aux femmes de même ?? Une femme ne reste donc pas seul dans les sociétés musulmanes.

Un autre exemple : nous sommes en train de vivre dans une société paisible, en Europe et au Maroc je veux dire : la paix règne. Tout va bien. Imaginez que le chaos prend un peu plus de place, l'économie tient à peine debout, licenciements sur licenciements, il devient même difficile de trouver un job "décent". Pensez-vous que dans ce cas-ci, l'homme osera dire à sa femme, va travailler, sachant que ce travail est tout sauf décent. Protection de la famille oblige, sa chère épouse qu'il aime, et ses enfants, il fera tout ce qu'il y a en son pouvoir pour nourir sa famille, et la protéger, s'il n'est pas un lâche.

Je vais terminer évidemment par dire :

Dieu sait mieux !!! Car si ça se trouve, je me plante complètement, et si ça se trouve Dieu ne veut pas qu'on fasse comme ça. Dieu sait mieux !!! Et qu'Il nous guide tous mes chers soeurs et frères !!



Pourquoi le verset sur l héritage est contradictoire de nos jour? par se que les pseudo savants qui font parti de la belle et grande science islamique vivent encore au 14 siècle

Se verset tellement contre-verset il y en à d autre est destiné au gens de cette époque ceux du 14 siècle notre époque est totalement différente il est normale que l homme hérite un peu plus que la femme évidement vue la charge considérable qu’il devra porter mais pour cette époque de nos jours se verset est injuste puisque la femme bénéficie des mêmes responsabilités et d une protection d une indépendance financière donc caduc idem pour la dote

C est pas dieu qui est périmé par ces ordres c est l esprit de ceux qui s efforce de perpétuer ces ordres alors qu’il autorise ces créature à évoluer spirituellement

C est comme si dieu était née et mort au 14 siècle depuis plus rien :npq:
 
Avant d'aller plus loin je pense qu'il est nécessaire de rapeller que less défunts mâles et femelles, n’ayant pas fait de testament sont soumis à un testament d’office.

Concernant les 3 ayat (4/11 -4/12 -4/176) qui on fait couler tant d’encres, Il y a deux attitudes, strictement opposées l’une à l’autre, et qui empêche une réflexion saine, et ainsi, d’accéder au fameux ta-dbir(1) demander par Dieu.

La première est liée essentiellement à l’histoire de la propagation des croyants en la Prophétie de Muhammad (sawas). Sans rentrer dans une étude historique du statut de la femme dans les sociétés musulmanes, nous constaterons, juste, que l’esprit hérité de cette histoire épouse la thèse suivante : l’homme se devant de pourvoir financièrement au foyer, Dieu lui a octroyé, à cette fin, une part double de celle de la femme lors de la distribution de l’héritage. Toutefois, même dans cette thèse, on peut noter que celle-ci obéit à une volonté de justifier cette fameuse double part de l’homme, un peu comme si c’était pour exorciser, un sentiment d’injustice dans l’âme du lecteur lorsqu’il lit ces ayat, et qui pourtant, se doivent d’être totalement compatible avec les attributs de Justice et de Miséricorde de Dieu liés à Ses Noms.

La deuxième attitude consiste à prendre l’abstraction du partage des richesse en parts égales entre les deux sexes comme unique critère de jugement et d’avoir en fonction de ces ayat une attitude interprétative plus ou moins historico - psychologisante.

Il en résulte que les gens n’ayant aucune sympathie particulière pour le Prophète Muhammad (sawas) et alimentés par la même abstraction humano – rationaliste que les détracteurs musulmans de la deuxième thèse, rejètent, et la thèse historique, là considérant misogyne et abjecte, et, considèrent toutes types de thèse de rattrapage n’être qu’un pansement sur une jambe de bois.

Le ta-dbir est, pour des raisons différentes, le grand absent, chez ces trois types de protagonistes. Tous, indifféremment, se basent sur la même lecture, soit disant littérale, qui n’est autre que la thèse des premiers, ou plus précisément, la thèse que l’histoire a retenu pour nous.
 
Nous allons montrer les manquements de ta-dbir de cette thèse historique par la lecture détaillée et en n’omettant surtout aucun mot de la aya de références de ces ayat (4/11- 4/12 - 4/176) à savoir la aya 4/11.Effectivement, c’est cette mauvaise compréhension historique qui a fournit le socle à toute les interprétations pro et anti- islamique.


La première est la plus importante des remarques à faire, en préambule, et que, ici, la mort est déjà survenue : C’est la le nœud principale de l’incompréhension. Qu’est-ce qu’un testament ? C’est la donation d’un moulk(2) de morts vers ceux qui sont encore vivants et non le partage de bien entre une population ou tous les membres sont vivants et donc présents (3). C’est ce paramètre qui fait défaut dans la recherche d’un principe de justice égalitaire dans ces 3 ayat
 
J’ai « découpé » la aya 4/11 de manière à alléger la lecture du texte ...


Youssi- koum Allah fi awladi-koum
«Vous enjoint Allah dans vos enfants»


Li dhakari mithlou hadhi al ounthayain
«Pour le mâle même part des 2 femelles»

Alors que la compréhension historique des lecteurs est « La femme prend la moitié de la part de l’homme », le texte ne parle pas de « moitié » mais de « pareille ». Que signifie alors ce passage ? Nous allons le re-illustrer avec une tranche de vie plus triviale. Une mère lorsque ces enfants rentrent pour le goûter serre toujours à ces deux filles et son garçon un verre de chocolat et un croissant. Un jour, pour taquiner son garçon, elle lui supprime le croissant. Celui-ci proteste envers sa maman et dit « je veux la même part que mes deux soeurs». Dans ce petit scénario il est évident que l’enfant demande un croissant supplémentaire. Cependant sa phrase, comme la formule « Pour le mâle même part des 2 femelles »,techniquement, supporte deux l’hypothèse. « Rajoute moi un croissant » ou « Rajoute moi deux croissants plus un verre de chocolat ». Il en résulte de cette illustration que la formulation « Pour le mâle même part des 2 femelles » est incomplète et les circonstances doivent être précisé. Et c’est ce que la aya va faire immédiatement :


Fa in kounnanissa-an fawqa ithnatayin

Alors si elles sont des femmes au dessus de deux


Nous allons marquer ici un long temps d’arrêt, besoin de ta-dbir oblige.
 
En reprenant ce que nous avons validé comme remarque précédemment et en remarquant le mot « au dessus de », comparatif qualitatif, au lieu de « plus que » comparatif quantitatif, la formule « Alors si elles sont des femmes au dessus de deux » apparaît sur un nouveau jour.



Illustrons la différence avec deux exemples.


3 kilos d’or c’est « plus que » 2 kilos d’or. Ce qui est comparé est identique en nature, et donc en qualité, et ce qui change, c’est la quantité comparé.

L’or est « au dessus de » l’argent », nous ne comparons plus des quantités mais des natures, et donc des qualités, et aucune notion quantitative, et donc de nombres, n’intervient ici.
Avec « plus que », nous voyons des nombres apparaîtrent et aucun autre genre apparaître, et, avec « au dessus de » nous voyons 2 genres distincts apparaîtrent mais aucun nombres apparaître.



Dans cette aya, nous avons la formule « Alors si elles sont des femmes au dessus de deux » avec, et un qualitatif, (femme) et un quantitatif (le nombre 2). Cela implique que ce qui est comparé ici n’est ni un quantitatif seul et ni un qualitatif seul


Il ne s’agit pas d’un comparatif quantitatif seul, exclu par la formule au dessus de car la aya ne dit pas « … si elles sont des femmes plus que 2 ») et exclu, alors, larecherche d’un éventuel nombre de femmes supérieures à 2 (ce qui est l’erreur historique fait par les musulmans depuis fort longtemps)
 

Le comparatif qualitatif seul, lui aussi, est exclu par l’existence du nombre 2 qui est un marquage quantitatif par excellence. (il ne s’agit pas ici de faire une comparaison quelconque entre le genre « femme » et le genre « homme »
La clé de compréhension de cette aya réside dans le fait que c’est une comparaison quantitative de deux genres différents.


L’équation à chercher, alors, n’est pas un nombre issu d’une quantité « d’un seul genre »

L’équation à rechercher estle nombre qui serait lerapport « du nombre d’un genre sur le nombre d’un autre genre »
 
Intéressons nous également au mot « femme » utilisé ici. Il est important de se poser la question suivante : Pourquoi la aya ne dit pas « Alors si elles sont au dessus de deux » au lieu de «…Alors si elles sont des femmes au dessus de deux… ». Pourquoi donc l’ajout du qualificatif « femme ». Il n’est pas superflu de s’y arrêter.


Le mot femme nous indique, et le genre (femelle), et l’age (adulte). Prenons d’abord en considération le genre uniquement. Le genre : femelle ne peut-être comparé qu’avec le genre mâle.

Dans cette partie de la aya, celui-ci n’est pas nommé, mais comme il a déjà été annoncé auparavant, le mâle « suit » la femelle, il se trouves induit dès qu’il s’agit de comparaison avec la femelle,il n’est donc pas nécessaire de le renommer

Le mâle, suivant toujours la femelle, lorsque celle-ci se devient « femme », pour pouvoir entrer en rapport avec elle, il devient alors « homme ».

Il résulte de ces considérations que la répartition des parts entres les enfants avec le fameux décret « … pour le mâle même part que les deux femelles… » ne s’applique que s’il y à au moins, et un mâle adulte, et une femelle adulte parmi (...dans…) les enfants du défunt.

Le nombre « 2 » exprime alors le ratio du nombre de femmes par rapport , ou pour, un homme
Ce qui donne :



Fa in kounnanissa-anfawqaithnatayint

«Or si des femmes sont au dessus de à 2 [pour 1 hommes]»





Fa lahouna thoulouthaa ma tharak

« Alorspour elles les 2/3 de ce qu’il a laissé»
 
« De ce qu’il a laissé » nous avons le verbe « laisser » au participe passé. Encore une fois, la compréhension de la préposition verbale est liée au sens de la aya. La formulation « De ce qu’il a laissé » amène à ce poser alors 2 questions. « Après quoi ? » Mais aussi « après qui ? ». Si « le décès » est la réponse certaine à la question « après quoi ? », par contre, àla question « après qui », la réponse n’est pas sûr. Effectivement, les enfants pouvant ne pas être les seuls ayant droits, et commeles lois dans le Livre de Dieu sont limitatives(10), Il y a donc des facteurs limitants, ou si l’on préfère, commandants, la délimitation des parts et donc la partie congrue de celle des enfants. Nous découvrirons ces limites dans la aya 4/12 et nous verrons alors que « …ce qu’il a laissé… » pour les enfants est un reliquat de l’héritage (qui peut bien sûr être tout l’héritage si les enfants sont les seuls ayant droits).




Mis à part quelques exemples précis, tout Les Lois de Dieu sont limitatives. Les limites de Dieu sont un sujet à part entière faisant parti de la thématique du ta-dbir...

Wa in kanat wahidathan falaha nisfou

« Et si elle est une[pour un homme]alors pourelle la moitié»
 
« Vous enjoint Dieu dans vos enfants, pour le mâle ;même part des 2 femelles- or si desfemmes sont au dessus de 2[pour 1 hommes] alors pour elles(les femmes); les 2/3 de ce qu’il a laissé- or si elle(femme) est 1 [pour 1 (homme)] alors pour elle (la femmes); la moitié. Et pour ses deux parents, pour chacun des deux; le sixième d’entre ce qu’il a laissés’il a un enfant, or s’il n’a pas d’enfant et l’héritent ses parents alors pour sa mère;le tiers, or s’il a une fratrie alors pour sa mère; le sixième :Après une injonction par laquelle il enjoint ou une dette.(Vos parents et vos enfants), vous ne connaissez pas qui sont plus proches pour vous en profit: Répartition de Dieu: Certainement Dieu était Savant et Sage »

Apres une traduction en français se voulant un peu plus proche des mots coranique, et donc, de l’esprit coranique, nous allons procéder à l’explicitation du processus du partage testamentaire dans cette aya, principe que l’on va retrouver dans 2 autres ayat4/12 et 4/176.
 
Nous avons vu précédemment que l’allocution, « pour le mâle ; même partdes 2 femelles» est incomplète car elle a besoin d’un contexte précisant sa compréhension ou, si l’on préfère, ses limitations.Il s’agit alors pour nous de résoudre l’équation « pour le mâle ; même partdes 2 femelles» avec leslimitations que la ayanous donne. Les Lois dans l’islam sont limitatives et nous allons voire que cela ne fait pas exception concernant celles du « Testament de Dieu »

Voici pour commencer les deux limites les plus immédiates et qui ne sont discutables par aucune lecture pro ou anti-coranique. La règle « pour le mâle ; même partdes 2 femelles» ne peut s’appliquer que si la fratrie est mixte! Lorsqu’il n’y a que des mâles ou que des femelles, la règle de partage est l’égalité stricte.


S’il n’y a que des femelles, elles sont associées entre elles de manières égales

S’il n’y a que des mâles ils sont associés entre eux de manières égales
Ce que le lecteur rapide ne voit pas, par contre, c’est que les conditions limitatives sont toutes fonction des adultes au sein de la fratrie. Nous voyons des le début de la aya ce « dans »,« Vous enjoint Dieudans vos enfants», au lieu du « pour » attendu, mais malheureusement ‘lu intérieurement’ainsi : « Vous enjoint Dieupourvos enfants».Nous voyons aussi précisé également par la suite « si ellessontdes femmesau dessus de 2»alors quela formulation« sielles sont au dessus de 2»aurait suffit pour rappeler que l’on parlait de femelles sans distinctions d’ages. Par ailleurs, comme c’est un rapport Femmes/Homme, encore une fois, s’il n’y existe pas de mixité au sein des adultes de la fratrie, alorsla règle « pour le mâle ; même partdes 2 femelles » ne s’appliquera pas


S’Il n’y as pas au moins (1 mâle adulte et avec au moins 1 femelle adulte) dans la fratrie alors, tout les frères et sœurs, quelque soient leurs ages ou leurs nombres ou leur sexes sont associés de manière égales
 
La règle « pour le mâle ; même partdes 2 femelles »est subordonnée à des articulations différentes en fonction de leurs limites. Dans le premier cas la condition s’articule autour d’un dépassement de limites, « si des femmes sont au dessus de 2 ». Dans le deuxième cas il s’agit d’une identification à la limite, « Si elle est 1».

La limite n’a pas d’existence dans un mondeà une seule dimension. Le point n’a pas de limite, il est la source même de son identification.Un segment, un espace, un volume, eux, sont forcément limités, etne peuvent être limitéssans, au minimum, 2 limites. Si la loi ne comporte que despoints ; c’est une « loi pointillées », si non c’est une loi avec nécessairement plusieurs limites.Les lois dans la révélation Muhammadienne ne sortent pas de ces règles. C’est Dieu qui fait ces lois et qui nous en mentionne ces points: shra3lakoum « Il a légiféré pour vous… » (Coran 42/13). Une loi n’est pas une loi sans la mention, au minimum, d’un point de cette loi.Les lois ont pour mission d’éleverla conscience humaine, elles sont toujours orientées, ou, si l’on préfère, sensée. Les lois « non pointillées »sontalors dotées de limites hautes et des limites basses. Il en d’écoule que si les deux limites, basse et haute, ne sont pas mentionné de manière explicite alors le point mentionné explicitement constitue, lui, l’une des limite, haute ou basse, et l’autre limite est induite par la aya ou l’esprit même du Coran
 
Nous allons maintenant énoncer dans le début de la aya les limites de la loi du « testament de Dieu ».

Voici exposée, comme l’énoncé d’un problème algébrique, le début de l’une des aya les plus polémique dans le livre de Dieu.





« Vous enjoint Dieu dans vos enfants
Pour le mâle ; même part des deux femelles

- or si des femmes sont au dessus de deux alors pour elles

; Les 2/3 de ce qu’il a laissé

- or si elle est une alors pour elle

; La moitié »

... A suivre
 
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