C'est bien d'être opportuniste et dans les petits papiers de Simone Weill, Jacques Attali, Cécilia désormais Attias.
Tout le monde sait que la nomination de Dati au ministère de la Justice n'a tenu qu'à l'affection qu'avait Cécilia pour elle ainsi que Guéant qui doit aimer les XXX moviez estampillés "beurettes". Une fois Cécilia jartée, en plus de son incompétence, son côté bling bling excessif, l'a auto flingué. Pressée qu'elle a été de pondre Zorah de crainte de perdre son siège. Le corporatisme conservateur est unanime quant à son bilan calamiteux, sa méconnaissance de la justice et de ses arcanes.
Enfin, pour la robe, les modalités de nomination au barreau ont été modifiées et elle a pu aisément y accéder. Sarkozy sur la fin, avant de la rappeler par dépit et pour l'utiliser l'a qualifiée "d'erreur" de son quinquennat, de "folle" à faire taire. Elle passe bien à la télé du haut de ses talons fuschia, rouge claquant comme Rama Yade, la petite poupée noire (tantôt anti Sarko et qui a finit par le rejoindre dans la tempête pré branlée) mais mange à tous les rateliers avec, là aussi, un ego surdimensionné. Sur tous les plateaux de France et de Navarre, elle ne parlait que d'elle, des peines plancher, de la réforme de la carte judiciaire. Autant de réformes inscrites dans la RGPP et qui étaient annoncées bien avant qu'elles ne viennent faire des claquettes dans un poste hautement régalien.
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