MDRR la faim justifie les moyens, certains prefere vivre comme des chiens, mal habillés, mal nourris, sans loisirs, sans vacances, sans plaisirs intellectuels, tout ça pour tremper leur zigounette dans deux biscuits, peu importe que leurs femmes vont ressembler plus à rien dans 3 ans max à force de les faire vivre dans de l'inconfort avec une vie de mierde, tant que monsieur peut avoir deux femmes à la maison.. Aucune dignité, quand il ira au mac do avec ses deux femmes et leur ribambelle d'enfants mal fagottés que tout le monde le regardera comme un vieux pervers lubrique, il s'en fout il se sent bien comme il est, un polygame qui a pas les moyens c'est la quintessence de la personne " shameless", sans honte aucune, et s'il pouvait grappiller des aides quelconques il le ferait sans hésiter pour nourrir ses deux femmes.
Faire une croix sur les vacances, les visites touristiques, les cours de piano , de danse ou de dessin pour les petits ( ben oui pourquoi faire?) tout ça pour assouvir des plaisirs sexuels jusqu'au bout de la nuit et faire le coq devant les autres hommes alors que bien souvent aucun homme ne veut de ses épouses, et ne l'envie quand ils voient la vie de mierde qu'il a.. J'ai déjà vu des cas comme ça.
Encore si t'es riche t'es un prince, t'as réussi à avoir deux princesses bien belles bien eduquées et tu leur fais vivre la vie de princesse, tu as le droit de te la péter, y a que les saoudiens qui peuvent faire ça sans honte car c'est inscrit dans leurs moeurs et même si ils sont sans foi ni loi ils ont les moyens de le faire...
La même avec un mec pauvre, ca fait trop pitié, et on sent encore plus le côté pervers du truc que pour un riche. On se dit que pour renoncer à une vie confortable juste pour tremper le biscuit faut vraiment avoir eu une grosse frustration d'ancien moche ou d'impuissant à travers les années, à tel point qu'on veut prendre une revanche desssus...
Tout ceux qui me disent que je suis violente irrespectueuse je m'en fous mais à un point.................. va voir dans la commode si j'y suis.