Salut,
La solution passe par épouser une troisième femme moderne de la nouvelle génération, de celles qui bossent pour subvenir au foyer et qui ramènent tous leurs "sous" au mari, pas de celles qui parlent vulgairement de la "chose", sans pudeur, imagination ou émoi, car elles risquent d'être froides voire frigides ...
Non, sérieusement, sans blaguer, comme on dit chez nous, taouekel 3ala Allah, s.w.t, l'homme s’accommode et trouve des solutions au fur et à mesure que les problèmes se posent.
Les 8000 dh, peuvent devenir autres par le travail, la volonté, l'effort ...
Enfin, il faut non seulement ne pas compter sur les revenus de la seconde épouse, mais faire en sorte que les enfants vivent sur le même pied d'égalité et donc compenser les écarts entre eux, en soutenant ceux issus de la mère sans revenu.
Vivre sous le même toit renforce la fratrie, quand elle ne la détruit pas au gré des conflits, des rivalités et des alignements faisant bloc autour d'une mère contre l'autre ou ses enfants.
C'est tout un art difficile, celui d'une autorité juste, impartiale et neutre, que de maintenir la bonne entente.
La polygamie chez nous devient une alternative, dans la classe aisée, une voie entre les deux pôles que sont l'entente totale (continuité de la relation conjugale) et la mésentente totale (menant à la rupture de cette relation et au divorce), permettant de maintenir des relations parentales entre le père et sa descendance ...
La polygamie est loin d'être un jeu de pervers et libertins, elle génère de plus lourdes obligations matérielles et affectives que le divorce.