Se faire remettre à l'ordre par le partenaire devant autrui.

Alors quoi d'autre? Au nom de quoi les religieux s'adonnent à un autodafé envers ceux qui doutent ou ne croit pas à la religion? C'est le combe!


parceque pour toi tous les religieux font preuve d'intolerance envers ceux qui ne croient pas comme eux.
c'est un bien grand prejugé et venant de toi c'est un comble.
 
Pourquoi je m'exprime en "petit nègre"? C'est possible et cela dû, sans doute, un déracinemet précoce de mon pays d'origine.


lol c'est bon t'as gagné je lâche l'affaire, en fait dans tes phrases tu fais tout pour compliquer les choses et fuir certaines questions en répondant à côté...
 
lol c'est bon t'as gagné je lâche l'affaire, en fait dans tes phrases tu fais tout pour compliquer les choses et fuir certaines questions en répondant à côté...

C'est typiquement algérien. Je te fais l'aveu que lors d'une affaire juridique, je me suis battu durant cinq ans à propos de l'ethymologie d'un terme allemand qui n'a pas d'équivalent en français (je réside en Suisse tu l'auras deviné). En première instance, j'avais perdu le procès. Suite à un appel, la seconde Cour a reconnu qu'effectivement, il y avait une "zone grise" dans la traduction de l'allemand en français (en ce sens qu'un mot en allemand nécessite une phrase en française et en l'espèce le texte légal insinue "suppose" et non " infléchit" à une situation juris et de jure. Par manquement inqualifiable, la seconde Cour ne tranche pas la question à qui doit profiter l'incurie de traduction du législateur. Pour l'adminsration un silence à développent plus avant la traduction idoine d'un terme doit profiter à l'admistration. Evidemment, je me suis opposé à l'argumentaion de l'administration de fait qu'au contraire une incurie du législateur doit profiter au citoyen (en l'espèce le particulier), car c'est l'Etat qui est garant que ses droits soient respectés.

Finalement, en dernier lieu, la Cour suprême-avec quelques doutes envers ma théorie-(dixit) m'a donné raison.

C'est là aussi un autre aspect du caractère algérien; c'est-à-dire ne jamais succomber à la première défaite... une "guerre" est longue.

Merci à toi.
 
Haut