Docours
VIB
@PureMinded :
La maturation du cerveau, plus que du corps lui-même, est le facteur principal pris en compte dans l'éducation. Le cerveau étant celui qui dirige la maturation du reste du corps (ainsi que la sienne), c'est lui qui est étudié principalement dans les neurosciences. La pédagogie s'appuie, en grande partie, sur les neurosciences pour en tirer des enseignements d'ordre plus "pratique". Le plus bas degré étant la didactique, le coté le plus "technique" associé aux pédagogies.
Il n'est pas question de parler spécifiquement d'attirance avec les enfants. Pas à cet age en tout cas. La question de l'homosexualité, des attirances, du rapport à soi et à l'autre dans un contexte sexuel, c'est réservé au début d ela puberté.
En général, avec les enfants, il est question d'amour. D'amour dans le sens amour des parents, amitié entre eux, etc... Du coup, lorsqu'on aborde les sujets tel que l'homosexualité, on ne parle pas de sexe en tant que telle. On parle d'amour entre personne. Là encore, tout le coté sexuel sera abordé quand il sera devenu une question de la part de l'enfant (devenu ado à ce moment-là). Pour expliquer l'homosexualité, on explique simplement en partant d'un concept qu'ils appréhendent déjà +/-. On leur dit que deux personnes de même sexe peuvent s'aimer. Se marier. Et avoir des enfants.
Etant donné qu'en Belgique, ça fait longtemps que ce fait est accepté. Et plus de 10 ans que ce fait est, légalement, adopté, cela permet d'amener l'enfant à ne pas regarder celui qui a "deux papas" ou "deux mamans" comme étant le mouton noir de la classe qu'on peut martyriser.
Maintenant, le sujet développé ici, sur base de la vidéo, n'est pas l'homosexualité. Le transgenre. L'identité sexuelle. C'est justement le message que j'essaye de faire passer. Parce que je n'arrive pas, en toute honnêteté, à voir la vidéo comme ne parlant pas de cela.
Ce qu'exprime le conférencier, c'est l'encouragement à l'empathie justement. Il propose, par le biais de jeux de role, de se mettre à la place de l'autre. Etant donné que c'est une conférence sur le féminisme, il parle donc de la problématique de l'égalité des sexes. Et propose donc aux enseignants d'amener les enfants à envisager le monde par les yeux de l'autre moitié de la classe.
Donc, mon anecdote a tout à voir avec le sujet, du coup. Il s'agit d'encourager l'empathie, peu importe la différence entre soi et l'autre. Vu la conférence, il ne me semble pas étonnant qu'il parle en particulier de l'égalité des sexes et de l'empathie envers le sexe opposé. C'est un des fondamentaux du féminisme.
Pour finir, je pense que l'empathie est autant une question d'inné que d'acquis. Qu'une grande empathie innée peut être détruite par son environnement. Et qu'une faible empathie innée peut être augmentée dans un autre type d'environnement. Un enfant issu d'un environnement raciste, élevé dans le Klan ou dans un mouvement suprémaciste, ne devient pas obligatoirement un membre du white power. Par contre, il est beaucoup plus probable qu'il le devienne qu'un enfant élevé différemment. Statistiquement, c'est le cas. Essayer de combattre cela grâce à l'éducation me semble être quelque chose de positif.
Ce qui n'implique pas une réussite pleine et entière non plus. Mais c'est une valeur qui mérite, je pense, un certain encouragement.
La maturation du cerveau, plus que du corps lui-même, est le facteur principal pris en compte dans l'éducation. Le cerveau étant celui qui dirige la maturation du reste du corps (ainsi que la sienne), c'est lui qui est étudié principalement dans les neurosciences. La pédagogie s'appuie, en grande partie, sur les neurosciences pour en tirer des enseignements d'ordre plus "pratique". Le plus bas degré étant la didactique, le coté le plus "technique" associé aux pédagogies.
Il n'est pas question de parler spécifiquement d'attirance avec les enfants. Pas à cet age en tout cas. La question de l'homosexualité, des attirances, du rapport à soi et à l'autre dans un contexte sexuel, c'est réservé au début d ela puberté.
En général, avec les enfants, il est question d'amour. D'amour dans le sens amour des parents, amitié entre eux, etc... Du coup, lorsqu'on aborde les sujets tel que l'homosexualité, on ne parle pas de sexe en tant que telle. On parle d'amour entre personne. Là encore, tout le coté sexuel sera abordé quand il sera devenu une question de la part de l'enfant (devenu ado à ce moment-là). Pour expliquer l'homosexualité, on explique simplement en partant d'un concept qu'ils appréhendent déjà +/-. On leur dit que deux personnes de même sexe peuvent s'aimer. Se marier. Et avoir des enfants.
Etant donné qu'en Belgique, ça fait longtemps que ce fait est accepté. Et plus de 10 ans que ce fait est, légalement, adopté, cela permet d'amener l'enfant à ne pas regarder celui qui a "deux papas" ou "deux mamans" comme étant le mouton noir de la classe qu'on peut martyriser.
Maintenant, le sujet développé ici, sur base de la vidéo, n'est pas l'homosexualité. Le transgenre. L'identité sexuelle. C'est justement le message que j'essaye de faire passer. Parce que je n'arrive pas, en toute honnêteté, à voir la vidéo comme ne parlant pas de cela.
Ce qu'exprime le conférencier, c'est l'encouragement à l'empathie justement. Il propose, par le biais de jeux de role, de se mettre à la place de l'autre. Etant donné que c'est une conférence sur le féminisme, il parle donc de la problématique de l'égalité des sexes. Et propose donc aux enseignants d'amener les enfants à envisager le monde par les yeux de l'autre moitié de la classe.
Donc, mon anecdote a tout à voir avec le sujet, du coup. Il s'agit d'encourager l'empathie, peu importe la différence entre soi et l'autre. Vu la conférence, il ne me semble pas étonnant qu'il parle en particulier de l'égalité des sexes et de l'empathie envers le sexe opposé. C'est un des fondamentaux du féminisme.
Pour finir, je pense que l'empathie est autant une question d'inné que d'acquis. Qu'une grande empathie innée peut être détruite par son environnement. Et qu'une faible empathie innée peut être augmentée dans un autre type d'environnement. Un enfant issu d'un environnement raciste, élevé dans le Klan ou dans un mouvement suprémaciste, ne devient pas obligatoirement un membre du white power. Par contre, il est beaucoup plus probable qu'il le devienne qu'un enfant élevé différemment. Statistiquement, c'est le cas. Essayer de combattre cela grâce à l'éducation me semble être quelque chose de positif.
Ce qui n'implique pas une réussite pleine et entière non plus. Mais c'est une valeur qui mérite, je pense, un certain encouragement.