Un garçonde trois ansen rétention
Ali, 3 ans, dort toujours au centre de rétention de Cornebarrieu. Ce petit garçon, né en France de parents algériens, avait pourtant effectué sa rentrée la semaine dernière à l'école Jule...
Ali, 3 ans, dort toujours au centre de rétention de Cornebarrieu. Ce petit garçon, né en France de parents algériens, avait pourtant effectué sa rentrée la semaine dernière à l'école Jules-Julien. Ses parents, qui ont rejoint clandestinement le pays en 2006, ont été interpellés mardi en compagnie de leur fils par la police aux frontières (PAF). Le juge des libertés et de la détention du tribunal de grande instance a demandé hier leur libération mais le procureur a immédiatement fait appel de cette décision. « La juge a retenu qu'Ali était une victime innocente de cette situation, explique Julien Brel, avocat de la famille du petit garçon. Depuis son placement en détention, il est agité, stressé et ne comprend pas pourquoi il ne va plus à l'école ».
La cour d'appel réexaminera donc cette affaire dès cet après-midi. Ce matin à 10 heures, le tribunal administratif statuera sur l'obligation de quitter le territoire français prononcée par la préfecture à l'encontre de la famille.
http://www.20minutes.fr/article/595422/toulouse-un-garconde-trois-ansen-retention
Ali, 3 ans, dort toujours au centre de rétention de Cornebarrieu. Ce petit garçon, né en France de parents algériens, avait pourtant effectué sa rentrée la semaine dernière à l'école Jule...
Ali, 3 ans, dort toujours au centre de rétention de Cornebarrieu. Ce petit garçon, né en France de parents algériens, avait pourtant effectué sa rentrée la semaine dernière à l'école Jules-Julien. Ses parents, qui ont rejoint clandestinement le pays en 2006, ont été interpellés mardi en compagnie de leur fils par la police aux frontières (PAF). Le juge des libertés et de la détention du tribunal de grande instance a demandé hier leur libération mais le procureur a immédiatement fait appel de cette décision. « La juge a retenu qu'Ali était une victime innocente de cette situation, explique Julien Brel, avocat de la famille du petit garçon. Depuis son placement en détention, il est agité, stressé et ne comprend pas pourquoi il ne va plus à l'école ».
La cour d'appel réexaminera donc cette affaire dès cet après-midi. Ce matin à 10 heures, le tribunal administratif statuera sur l'obligation de quitter le territoire français prononcée par la préfecture à l'encontre de la famille.
http://www.20minutes.fr/article/595422/toulouse-un-garconde-trois-ansen-retention