A la sortie de la mosquée, la police tire sur les gens

surtout les pédophiles !!! ( excuses moi cette remarque qui ne me ressemble pas, mais j'essaie juste de me mettre à ton niveau)

Au Maghreb le sujet est taboo et contrairement à la France, peu d'associations peuvent reveler le nombre incroyable d'acte pédophile.

Le Maroc est devenu d'ailleurs la plaque tournante internationale de la pedophilie. Les autorités publiques sont connus pour leur indolence dans ces dossiers. Des économies entières sont nés grâce à la pedophilie et je le déplore ( snif )

En France, les gens ont dit non à la pedophilie.
 
Au Maghreb le sujet est taboo et contrairement à la France, peu d'associations peuvent reveler le nombre incroyable d'acte pédophile.

Le Maroc est devenu d'ailleurs la plaque tournante internationale de la pedophilie. Les autorités publiques sont connus pour leur indolence dans ces dossiers. Des économies entières sont nés grâce à la pedophilie et je le déplore ( snif )

En France, les gens ont dit non à la pedophilie.
Je posais une question simplement

Je prends mon option : " je suis libre de ne plus participer à cette discussion "
ton discours est certes un brin provocateur, mais surtout haineux envers la catégorie de personnes que je représente.
De plus , j'ai eu un doute un moment et je te croyais plus intelligent mais ta bêtise et ton ignorance ont pris le dessus.
Je mettrais cela sur le compte de la jeunesse ( même si je ne connais pas ton âge, pour le coup c'est moi qui extrapole !;))
on se croisera peut être sur un autre sujet ( en espérant que tes arguments soient plus percutants ).
Si je peux te donner un conseil : ne méprise pas les gens surtout quand tu ne sais pas qui ils sont :)
 
Je prends mon option : " je suis libre de ne plus participer à cette discussion "
ton discours est certes un brin provocateur, mais surtout haineux envers la catégorie de personnes que je représente.
De plus , j'ai eu un doute un moment et je te croyais plus intelligent mais ta bêtise et ton ignorance ont pris le dessus.
Je mettrais cela sur le compte de la jeunesse ( même si je ne connais pas ton âge, pour le coup c'est moi qui extrapole !;))
on se croisera peut être sur un autre sujet ( en espérant que tes arguments soient plus percutants ).
Si je peux te donnais un conseil : ne méprise pas les gens surtout quand tu ne sais pas qui ils sont :)

Haineux ?

Tout cela parce que je soutiens qu'un musulman serait mieux dans un pays musulman.

Sur la pédophilie, je suis désolé de dépeindre une réalité qui fait l'objet d'une abondante documentation.

Enfin sur le sujet de la délinquance, encore une fois nous avons tous des yeux pour voir ce qui se passe dans nos banlieux.

La réalité est laide et brutale. La constater dans toute sa brutalité c'est déjà faire un enorme pas en avant, tous ensemble.

On est tous d'accord qu'un français ethnocentriste est un sale *** de raciste mais pointer le lien entre immigration, ghettos et délinquance c'est faire le jeu du racisme. Curieux paradoxe ...


Edit : t pas censée representer les français, donc moi avec ?
 
Haineux ?

Tout cela parce que je soutiens qu'un musulman serait mieux dans un pays musulman.

Sur la pédophilie, je suis désolé de dépeindre une réalité qui fait l'objet d'une abondante documentation.

Enfin sur le sujet de la délinquance, encore une fois nous avons tous des yeux pour voir ce qui se passe dans nos banlieux.

La réalité est laide et brutale. La constater dans toute sa brutalité c'est déjà faire un enorme pas en avant, tous ensemble.

On est tous d'accord qu'un français ethnocentriste est un sale *** de raciste mais pointer le lien entre immigration, ghettos et délinquance c'est faire le jeu du racisme. Curieux paradoxe ...


Edit : t pas censée representer les français, donc moi avec ?
je parlais de la catégorie de personne dont tu parles et que je représente ! t'inquiète pas pour mon côté français et en plus, contrairement à toi, j'aime mon pays ...
Bref, en ce qui me concerne, le débat est clos pour ce soir. Bonne fin de soirée :)
 
A Chanteloup-les-Vignes, une tension durable entre la population et la police LE MONDE | 18.03.2014 à 10h54 • Mis à jour le 18.03.2014 à 16h11 |

4384877_6_5b50_l-antenne-de-police-de-chanteloup-les-vignes_7838b9354c31370f3066d558b900e52e.jpg


La pelouse est encore jonchée de verre que deux agents de la ville nettoient avec de gros gants. « On est là depuis ce matin », soupire une femme, casquette verte vissée sur sa queue-de-cheval. L'Espace de l'emploi et de l'entreprise, immense bâtiment planté dans cette petite banlieue des Yvelines, affiche désormais une façade misérable avec ses carreaux cassés, ses impacts de balle ou de projectiles. Le rideau de fer est baissé et des panneaux de contreplaqué ont été posés à la hâte mais on devine le rez-de-chaussée dévasté, le parquet brûlé, le matériel de bureaux et les ordinateurs jetés à terre…

Un peu plus loin, c'est une crèche abîmée, une école saccagée et une carcasse noircie devant le commissariat. Après les échauffourées entre des jeunes et la police, Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) s'est réveillée lundi 17 mars avec l'impression de revenir quinze ans en arrière.
Comme souvent, les versions divergent entre la police et les habitants. Les autorités évoquent une banale opération de patrouille tombée sur des jeunes agressifs. Dimanche après-midi, quatre fonctionnaires repèrent un mineur recherché pour un vol de sac à main la veille et sortent de leur voiture pour l'arrêter. Une policière est alors insultée et frappée. Une soixantaine de personnes se seraient attroupées pour s'en prendre aux agents qui appellent alors des renforts et font usage de gaz lacrymogènes.

Cinq jeunes sont interpellés et placés en garde à vue. Six policiers auraient été blessés. Le parquet de Versailles a ouvert une enquête confiée à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), notamment sur les conditions de l'usage du Flash-Ball lors de l'intervention.
« EPAULE DÉBOÎTÉE »

Les habitants et responsables associatifs racontent une tout autre histoire. Dimanche, sur la grande pelouse du quartier de la Noé, les familles prennent le soleil, les enfants jouent. Le quartier, un des derniers grands ensembles d'habitat social construit au début des années 1970, entièrement rénové, ressemble à une plaquette de l'Agence nationale de la rénovation urbaine, avec ses petits immeubles repeints couleur crème ou jaune citron, ses espaces de jeux, son centre social. A 16 heures, une voiture de police arrive et une patrouille sort pour interpeller un jeune assis sur un banc. Il se retrouve par terre. « Ils le tapaient devant tout le monde puis se sont attaqués à des plus grands. Un chauffeur de bus a eu une épaule déboîtée », raconte Nordine Mila, entraîneur de football.

Des adultes tentent de calmer le jeu, deux jeunes filment la scène. Les policiers s'énervent, cherchent à récupérer les téléphones. Les deux vidéastes se font interpeller. « Ils nous insultaient : “sales bougnoules”. Après, c'est parti en ******** », témoigne Ichem, 25 ans.

Repérant un autre habitant en train de filmer à l'étage d'un l'immeuble, les policiers se ruent dans l'appartement, rouent de coups et arrêtent le locataire sous les yeux de sa femme qui hurle. Des unités de police arrivent en renfort. L'ambiance dégénère un peu plus avec la sortie de la mosquée : deux cents personnes sont massées sur l'esplanade. L'imam appelle au calme, il est repoussé. Les policiers dispersent la foule à l'aide de gaz lacrymogènes et de Flash-Ball. La panique se répand, la foule est hors d'elle. "La police tirait avec ses gom gom au milieu des gamins" témoigne Raoul, chargé de mission prévention de la délinquance à la communauté d'agglomération.

Une centaine de personnes partent vers le commissariat. La maire Catherine Arenou (divers droite) arrive avec son opposant socialiste pour tenter de ramener le calme. Elle pense y être parvenue, avec le directeur départemental de la sécurité publique et l'arrivée d'un responsable de l'IGPN.

« VENT DE FOLIE »

Une demi-heure plus tard, un groupe de jeunes encagoulés sort de la gare, casse les caméras de surveillance et, en quelques dizaines de minutes, vandalise pas moins de douze bâtiments publics. « Un vent de folie », soupire Mme Arenou. Le bilan est lourd : plusieurs habitants blessés, cinq jeunes en garde à vue, des enfants terrorisés, une population qui ne décolère pas et une ville meurtrie.

Lundi, une réunion s'est tenue à la mairie avec le préfet, le commissaire, une cinquantaine d'habitants et d'associatifs. L'assurance qu'une enquête est en cours n'a pas suffi à faire redescendre la température. Les vidéos et photos circulent pour mieux démontrer la violence policière. Momo, 26 ans, dégaine son appareil pour montrer la jambe blessée de son frère qui sortait de la mosquée.

« C'est une sale arrestation. Aucune insulte ne justifie une telle violence », assure Stéphanie, 22 ans. Elle était sur la grande place ce dimanche. Comme sa sœur, Elisabeth, 19 ans, elle a eu l'impression « de ne pas être écoutée » quand elle a expliqué que depuis un mois le comportement des policiers est agressif et raciste. Même sentiment de James, jeune trentenaire, commerçant : « Les policiers se comportent comme des miliciens ici. »

La maire reconnaît que depuis qu'une nouvelle brigade est arrivée au commissariat de Conflans – il n'y a qu'un poste de police à Chanteloup –, les habitants se plaignent auprès d'elle : « Ce que disent les gens sur la police doit être écouté. » Municipales obligent, pas de commentaire de la police, si ce n'est que « l'enquête est en cours ».

http://www.lemonde.fr/societe/artic...-la-population-et-la-police_4384909_3224.html
 
A Chanteloup-les-Vignes, une tension durable entre la population et la police LE MONDE | 18.03.2014 à 10h54 • Mis à jour le 18.03.2014 à 16h11 |

4384877_6_5b50_l-antenne-de-police-de-chanteloup-les-vignes_7838b9354c31370f3066d558b900e52e.jpg


La pelouse est encore jonchée de verre que deux agents de la ville nettoient avec de gros gants. « On est là depuis ce matin », soupire une femme, casquette verte vissée sur sa queue-de-cheval. L'Espace de l'emploi et de l'entreprise, immense bâtiment planté dans cette petite banlieue des Yvelines, affiche désormais une façade misérable avec ses carreaux cassés, ses impacts de balle ou de projectiles. Le rideau de fer est baissé et des panneaux de contreplaqué ont été posés à la hâte mais on devine le rez-de-chaussée dévasté, le parquet brûlé, le matériel de bureaux et les ordinateurs jetés à terre…

Un peu plus loin, c'est une crèche abîmée, une école saccagée et une carcasse noircie devant le commissariat. Après les échauffourées entre des jeunes et la police, Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) s'est réveillée lundi 17 mars avec l'impression de revenir quinze ans en arrière.
Comme souvent, les versions divergent entre la police et les habitants. Les autorités évoquent une banale opération de patrouille tombée sur des jeunes agressifs. Dimanche après-midi, quatre fonctionnaires repèrent un mineur recherché pour un vol de sac à main la veille et sortent de leur voiture pour l'arrêter. Une policière est alors insultée et frappée. Une soixantaine de personnes se seraient attroupées pour s'en prendre aux agents qui appellent alors des renforts et font usage de gaz lacrymogènes.

Cinq jeunes sont interpellés et placés en garde à vue. Six policiers auraient été blessés. Le parquet de Versailles a ouvert une enquête confiée à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), notamment sur les conditions de l'usage du Flash-Ball lors de l'intervention.
« EPAULE DÉBOÎTÉE »

Les habitants et responsables associatifs racontent une tout autre histoire. Dimanche, sur la grande pelouse du quartier de la Noé, les familles prennent le soleil, les enfants jouent. Le quartier, un des derniers grands ensembles d'habitat social construit au début des années 1970, entièrement rénové, ressemble à une plaquette de l'Agence nationale de la rénovation urbaine, avec ses petits immeubles repeints couleur crème ou jaune citron, ses espaces de jeux, son centre social. A 16 heures, une voiture de police arrive et une patrouille sort pour interpeller un jeune assis sur un banc. Il se retrouve par terre. « Ils le tapaient devant tout le monde puis se sont attaqués à des plus grands. Un chauffeur de bus a eu une épaule déboîtée », raconte Nordine Mila, entraîneur de football.

Des adultes tentent de calmer le jeu, deux jeunes filment la scène. Les policiers s'énervent, cherchent à récupérer les téléphones. Les deux vidéastes se font interpeller. « Ils nous insultaient : “sales bougnoules”. Après, c'est parti en ******** », témoigne Ichem, 25 ans.

Repérant un autre habitant en train de filmer à l'étage d'un l'immeuble, les policiers se ruent dans l'appartement, rouent de coups et arrêtent le locataire sous les yeux de sa femme qui hurle. Des unités de police arrivent en renfort. L'ambiance dégénère un peu plus avec la sortie de la mosquée : deux cents personnes sont massées sur l'esplanade. L'imam appelle au calme, il est repoussé. Les policiers dispersent la foule à l'aide de gaz lacrymogènes et de Flash-Ball. La panique se répand, la foule est hors d'elle. "La police tirait avec ses gom gom au milieu des gamins" témoigne Raoul, chargé de mission prévention de la délinquance à la communauté d'agglomération.

Une centaine de personnes partent vers le commissariat. La maire Catherine Arenou (divers droite) arrive avec son opposant socialiste pour tenter de ramener le calme. Elle pense y être parvenue, avec le directeur départemental de la sécurité publique et l'arrivée d'un responsable de l'IGPN.

« VENT DE FOLIE »

Une demi-heure plus tard, un groupe de jeunes encagoulés sort de la gare, casse les caméras de surveillance et, en quelques dizaines de minutes, vandalise pas moins de douze bâtiments publics. « Un vent de folie », soupire Mme Arenou. Le bilan est lourd : plusieurs habitants blessés, cinq jeunes en garde à vue, des enfants terrorisés, une population qui ne décolère pas et une ville meurtrie.

Lundi, une réunion s'est tenue à la mairie avec le préfet, le commissaire, une cinquantaine d'habitants et d'associatifs. L'assurance qu'une enquête est en cours n'a pas suffi à faire redescendre la température. Les vidéos et photos circulent pour mieux démontrer la violence policière. Momo, 26 ans, dégaine son appareil pour montrer la jambe blessée de son frère qui sortait de la mosquée.

« C'est une sale arrestation. Aucune insulte ne justifie une telle violence », assure Stéphanie, 22 ans. Elle était sur la grande place ce dimanche. Comme sa sœur, Elisabeth, 19 ans, elle a eu l'impression « de ne pas être écoutée » quand elle a expliqué que depuis un mois le comportement des policiers est agressif et raciste. Même sentiment de James, jeune trentenaire, commerçant : « Les policiers se comportent comme des miliciens ici. »

La maire reconnaît que depuis qu'une nouvelle brigade est arrivée au commissariat de Conflans – il n'y a qu'un poste de police à Chanteloup –, les habitants se plaignent auprès d'elle : « Ce que disent les gens sur la police doit être écouté. » Municipales obligent, pas de commentaire de la police, si ce n'est que « l'enquête est en cours ».

http://www.lemonde.fr/societe/artic...-la-population-et-la-police_4384909_3224.html
Concrètement, on constate deux versions différentes, je pense que la version la plus proche de la vérité est celle donnée par les citoyens, on a un faisceau de témoignages de personnes différentes convergeant vers le même domaine de conclusion.
 
Quel vrai visage ? Ton passe temps est de me traiter d islamophobe.
Tu as beau le répéter, ca ne reste que ton opinion.

Pas besoin de statistiques détaillées. Il suffit de lire les infos. C est toujours dans les memes coins qu il y a des affrontements de ce genre.
Il y a 2 ans:
/www.youtube.com/watch?v=35TltmA0XuQ
Et c est pas nouveau:
http://www.leparisien.fr/yvelines/les-trafiquants-travaillaient-en-famille-08-11-2002-2003553189.php
http://www.liberation.fr/libe-3-met...umone-une-bagarre-entre-ados-degenere-_166730

Je doute que ces jeunes aient grand chose a voir avec l Islam ...

Pour la plupart des bladinautes t'es un provocateur.on ne connaît que ton ironie malsaine...

Tu disais :

Et comme par hasard, les affrontements de ce genre arrivent toujours aux memes endroits ...

Regardes ça :

http://www.laprovence.com/article/a...ses-lors-daffrontements-sur-la-canebiere.html

http://archives-lepost.huffingtonpo...affrontements-entre-policiers-et-fetards.html

http://www.ouest-france.fr/affrontement-entre-policiers-et-fetards-au-mans-566836

http://www.leparisien.fr/paris-75/a...urs-au-bois-de-boulogne-21-06-2009-555240.php

http://www.lepoint.fr/societe/lyon-...droite-et-la-police-22-10-2010-1253312_23.php
 
Dernière édition:
Des adultes tentent de calmer le jeu, deux jeunes filment la scène. Les policiers s'énervent, cherchent à récupérer les téléphones. Les deux vidéastes se font interpeller. « Ils nous insultaient : “sales bougnoules”. Après, c'est parti en ******** », témoigne Ichem, 25 ans.

Repérant un autre habitant en train de filmer à l'étage d'un l'immeuble, les policiers se ruent dans l'appartement, rouent de coups et arrêtent le locataire sous les yeux de sa femme qui hurle.
Ils ont des choses à se reprocher, c’est pas clair que le fait que ce soit filmé les ait énervé à ce point là.
 
Au Maghreb le sujet est taboo et contrairement à la France, peu d'associations peuvent reveler le nombre incroyable d'acte pédophile.

Le Maroc est devenu d'ailleurs la plaque tournante internationale de la pedophilie. Les autorités publiques sont connus pour leur indolence dans ces dossiers. Des économies entières sont nés grâce à la pedophilie et je le déplore ( snif )

En France, les gens ont dit non à la pedophilie.

Qui a défendu un homme qui a violé (et de la pire des manières) une fillette de 13 ans, après l'avoir droguée.??? Polanski ... La plupart sont encore dans le gouvernement
 
Concrètement, on constate deux versions différentes, je pense que la version la plus proche de la vérité est celle donnée par les citoyens, on a un faisceau de témoignages de personnes différentes convergeant vers le même domaine de conclusion.


Faut voir : c'est vrai que quand on crame une crèche, une école, une maison de l'emploi, c'est très crédible.... :rolleyes:
 
Faut voir : c'est vrai que quand on crame une crèche, une école, une maison de l'emploi, c'est très crédible.... :rolleyes:
Bonjour Pareil,
Euh, tu peux me dire pourquoi tu parles des conséquences et non des causes? Les idiots qui ont cramé l'ont fait en réaction à quelque chose, oui ou non?
Et à ce que je sache les témoins donnés dans les articles ne sont pas des cagoulés :rolleyes:
C'aurait été une agression sur un autre lieu de culte, je doute que tu aurais été aussi sceptique, enfin, c'est ton opinion...
 
Bonjour Pareil,
Euh, tu peux me dire pourquoi tu parles des conséquences et non des causes? Les idiots qui ont cramé l'ont fait en réaction à quelque chose, oui ou non?
Et à ce que je sache les témoins donnés dans les articles ne sont pas des cagoulés :rolleyes:
C'aurait été une agression sur un autre lieu de culte, je doute que tu aurais été aussi sceptique, enfin, c'est ton opinion...


Ce que je veux dire, c'est qu'avec de telles réactions, on ne peut nier l'existence d'abrutis profonds qui auraient pu provoquer de telles réactions chez les flics.
 
Ce que je veux dire, c'est qu'avec de telles réactions, on ne peut nier l'existence d'abrutis profonds qui auraient pu provoquer de telles réactions chez les flics.

Non t'ils pas le devoirs de montrer l'exemple.
Ne sont ils pas capable de réfléchir et garder la paix .
une interpellation a 6h heure du matin ne serait elle pas plus intelligente ?
 
Non t'ils pas le devoirs de montrer l'exemple.
Ne sont ils pas capable de réfléchir et garder la paix .
une interpellation a 6h heure du matin ne serait elle pas plus intelligente ?

Est-ce qu'ils avaient son identité ,

Ici, si j'ai bien suivi, il a été aperçu par une patrouille, sur base d'un portrait robot. Pas sur que ce soit une interpellation nominative.

Le type s'est rebeller, ça suffit pour devoir le maitriser, le menotter et l'emmener au poste.

C'est au moment de le menotter/maitriser que certains p'tits **** sont arrivés pour mettre le bordel.

Tu vas pas me dire que c'est pas réaliste (malheureusement).

Et les réactions ('maison de l'emploi, crèche, etc) montrent bien qu'il y en a assez qui sont suffisament bas de plafond pour réagir de la façon décrite.
Qu'après ça, des flics aient mal réagi, sans doute.

Mais quand tu vois quelques petits **** débarquer, que tu te retrouves obligé de les maitriser et puis qu'un autre groupe, plus grand, arrive : tu fais certainement moins facilement la distinction entre les simples badauds et les risques de te voir submerger : tu fais donc ton maximum pour maintenir les gens à distance.
 
Est-ce qu'ils avaient son identité ,

Ici, si j'ai bien suivi, il a été aperçu par une patrouille, sur base d'un portrait robot. Pas sur que ce soit une interpellation nominative.

Le type s'est rebeller, ça suffit pour devoir le maitriser, le menotter et l'emmener au poste.

C'est au moment de le menotter/maitriser que certains p'tits **** sont arrivés pour mettre le bordel.

Tu vas pas me dire que c'est pas réaliste (malheureusement).

Et les réactions ('maison de l'emploi, crèche, etc) montrent bien qu'il y en a assez qui sont suffisament bas de plafond pour réagir de la façon décrite.
Qu'après ça, des flics aient mal réagi, sans doute.

Mais quand tu vois quelques petits **** débarquer, que tu te retrouves obligé de les maitriser et puis qu'un autre groupe, plus grand, arrive : tu fais certainement moins facilement la distinction entre les simples badauds et les risques de te voir submerger : tu fais donc ton maximum pour maintenir les gens à distance.


Oui mais on sait que c'est une poudrière, que beaucoup non malheureusement rien à perdre et décide que c'est le moment de montrer le désespoir, alors pourquoi ne pas repartir tranquillement avec ou sans le wanted car ça changeras pas la face du monde.
Il faut savoir qu'en dehors de paris ce genre de situation n'existe pas et celui qui crame un bâtiment ou autre seras jugé par toute la ville en plus du tribunal. Le policier qui dépasse les limites ne les dépasseras longtemps non plus car nous savons nous défendre légalement !
 
Oui mais on sait que c'est une poudrière, que beaucoup non malheureusement rien à perdre et décide que c'est le moment de montrer le désespoir, alors pourquoi ne pas repartir tranquillement avec ou sans le wanted car ça changeras pas la face du monde.
Il faut savoir qu'en dehors de paris ce genre de situation n'existe pas et celui qui crame un bâtiment ou autre seras jugé par toute la ville en plus du tribunal. Le policier qui dépasse les limites ne les dépasseras longtemps non plus car nous savons nous défendre légalement !

Ben oui, c'est une poudrière, et si les flics repartent sans rien faire, ça ne fera qu'empirer car jamais les flics n'oseront faire quoi que ce soit, et les ptits **** se croiront encore plus sur leur territoire et verront encore plus mal la moindre présence du moins flic, ou même de la simple autorité ou symbole de l'état : on le voit déjà avec les réactions : crèche, maison de l'emploi, école incendiées. Où sont les flics là-bas ?

Les flics servent plus de prétexte qu'autre chose : ils sont provoqués (par les p'tits ****) car la moindre réaction de leur part sera un prétexte à cette violence urbaine.
 
Ben oui, c'est une poudrière, et si les flics repartent sans rien faire, ça ne fera qu'empirer car jamais les flics n'oseront faire quoi que ce soit, et les ptits **** se croiront encore plus sur leur territoire et verront encore plus mal la moindre présence du moins flic, ou même de la simple autorité ou symbole de l'état : on le voit déjà avec les réactions : crèche, maison de l'emploi, école incendiées. Où sont les flics là-bas ?

Les flics servent plus de prétexte qu'autre chose : ils sont provoqués (par les p'tits ****) car la moindre réaction de leur part sera un prétexte à cette violence urbaine.
Je me suis fait traiter d islamophobe pour des propos équivalents, fait attention ! :)
 
Ben oui, c'est une poudrière, et si les flics repartent sans rien faire, ça ne fera qu'empirer car jamais les flics n'oseront faire quoi que ce soit, et les ptits **** se croiront encore plus sur leur territoire et verront encore plus mal la moindre présence du moins flic, ou même de la simple autorité ou symbole de l'état : on le voit déjà avec les réactions : crèche, maison de l'emploi, école incendiées. Où sont les flics là-bas ?

Les flics servent plus de prétexte qu'autre chose : ils sont provoqués (par les p'tits ****) car la moindre réaction de leur part sera un prétexte à cette violence urbaine.


on est tous provoqué par des petits ****, au travail ou ailleurs .... on contrôle parfaitement car nous ne sommes pas des grands ****.
 
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