salam
Abject. Révoltant. Honteux. Une mère de famille se fait agresser à Paris 12e par un agent municipal qui lui assène un coup de poing et une claque en plein visage et qui tente de lui arracher son voile.
Jeudi 23 novembre, comme chaque jour, cette femme et mère de famille musulmane se rend sur son lieu de travail à bord de son véhicule. Chaque jour, elle est confrontée à cet agent municipal chargé d’assurer une traversée sécurisée sur le passage piéton aux abords des écoles. Cela faisait quelques temps que cette femme avait remarqué l’hostilité de cet agent de la fonction publique qui l’arrêtait systématiquement lorsque, derrière son volant, elle atteignait le niveau de l’agent.
L’agent de sécurité doit assurer la traversée sécurisée sur le passage piéton lorsque les feux de signalisation indiquent, par leur couleur verte, que les piétons sont autorisés à traverser. En ce cas, l’agent se positionne au milieu du passage clouté et tend ses bras pour signaler aux voitures de ne passer sous aucun prétexte.
Seulement, à chacune de ses rencontres avec Madame, cet agent municipal n’a jamais suivi les règles de traversée. Systématiquement, il lui imposait de s’arrêter alors que le feu était vert pour elle. Il est à noter que Madame porte un foulard, mais elle n’osait pas imaginer que c’est ce qui pourrait déclencher une telle hostilité.
« Je m’y suis habituée et j’ai décidé de ne pas lui accorder plus d’attention que cela, je me suis même organisée pour perdre ces minutes si précieuses dans l’espace temporel parisien. Sauf qu’hier, la pluie, le bus derrière moi et toutes les autres voitures n’étaient pas d’accord. »
Cette scène se reproduit une fois, deux fois, trois fois, des mois. Ce 23 novembre, il est 16h30 quand Madame est confrontée de nouveau à cet agent qui lui impose une nouvelle fois l’arrêt alors que le feu est vert. Cette fois, elle décide de descendre de sa voiture pour lui demander de la laisser passer. Et là, la situation bascule dans la violence pure.
Déferlement de violence : coup de poing et claque en plein visage
Devant les témoins ahuris, il commence par la bousculer. Elle crie de ne pas la toucher. Déferlement de violence : coup de poing et claque en plein visage.
« J’ai essayé de me défendre mais je n’ai pas réalisé ce qu’il se passait. Des Hommes sont intervenus pour lui interdire de frapper une femme ». Madame appelle la police alors que Monsieur retourne tranquillement à sa tâche, son déchaînement de violence ne le trouble pas le moins du monde.
Une fois son travail achevé, il s’apprête à partir, ce dont vont l’empêcher la victime et des témoins le temps que la police arrive. Redoublant de violence, l’assaillant tente d’arracher brutalement à Madame son foulard et lui donne des coups de pieds.
En attendant l’arrivée de la police qui semble se faire longue, des propos se font entendre : « Eh, Marine Le Pen n’est pas encore passée ! » jette un témoin qui à sa façon dénonce cet acte de haine odieux et l’assaillant de répondre « Oui, mais elle est arrivée au 2e tour et ce n’est déjà pas mal. La prochaine fois sera la bonne ! ». Au cas où l’on aurait pu encore douter des motivations de l’agresseur.
La police arrive finalement sur les lieux de l’agression. Lui sera convoqué au commissariat et Madame sera invitée à porter plainte.
https://journaldumusulman.fr/agression-a-paris-musulmane-frappee-plein-visage-agent-municipal/
Abject. Révoltant. Honteux. Une mère de famille se fait agresser à Paris 12e par un agent municipal qui lui assène un coup de poing et une claque en plein visage et qui tente de lui arracher son voile.
Jeudi 23 novembre, comme chaque jour, cette femme et mère de famille musulmane se rend sur son lieu de travail à bord de son véhicule. Chaque jour, elle est confrontée à cet agent municipal chargé d’assurer une traversée sécurisée sur le passage piéton aux abords des écoles. Cela faisait quelques temps que cette femme avait remarqué l’hostilité de cet agent de la fonction publique qui l’arrêtait systématiquement lorsque, derrière son volant, elle atteignait le niveau de l’agent.
L’agent de sécurité doit assurer la traversée sécurisée sur le passage piéton lorsque les feux de signalisation indiquent, par leur couleur verte, que les piétons sont autorisés à traverser. En ce cas, l’agent se positionne au milieu du passage clouté et tend ses bras pour signaler aux voitures de ne passer sous aucun prétexte.
Seulement, à chacune de ses rencontres avec Madame, cet agent municipal n’a jamais suivi les règles de traversée. Systématiquement, il lui imposait de s’arrêter alors que le feu était vert pour elle. Il est à noter que Madame porte un foulard, mais elle n’osait pas imaginer que c’est ce qui pourrait déclencher une telle hostilité.
« Je m’y suis habituée et j’ai décidé de ne pas lui accorder plus d’attention que cela, je me suis même organisée pour perdre ces minutes si précieuses dans l’espace temporel parisien. Sauf qu’hier, la pluie, le bus derrière moi et toutes les autres voitures n’étaient pas d’accord. »
Cette scène se reproduit une fois, deux fois, trois fois, des mois. Ce 23 novembre, il est 16h30 quand Madame est confrontée de nouveau à cet agent qui lui impose une nouvelle fois l’arrêt alors que le feu est vert. Cette fois, elle décide de descendre de sa voiture pour lui demander de la laisser passer. Et là, la situation bascule dans la violence pure.
Déferlement de violence : coup de poing et claque en plein visage
Devant les témoins ahuris, il commence par la bousculer. Elle crie de ne pas la toucher. Déferlement de violence : coup de poing et claque en plein visage.
« J’ai essayé de me défendre mais je n’ai pas réalisé ce qu’il se passait. Des Hommes sont intervenus pour lui interdire de frapper une femme ». Madame appelle la police alors que Monsieur retourne tranquillement à sa tâche, son déchaînement de violence ne le trouble pas le moins du monde.
Une fois son travail achevé, il s’apprête à partir, ce dont vont l’empêcher la victime et des témoins le temps que la police arrive. Redoublant de violence, l’assaillant tente d’arracher brutalement à Madame son foulard et lui donne des coups de pieds.
En attendant l’arrivée de la police qui semble se faire longue, des propos se font entendre : « Eh, Marine Le Pen n’est pas encore passée ! » jette un témoin qui à sa façon dénonce cet acte de haine odieux et l’assaillant de répondre « Oui, mais elle est arrivée au 2e tour et ce n’est déjà pas mal. La prochaine fois sera la bonne ! ». Au cas où l’on aurait pu encore douter des motivations de l’agresseur.
La police arrive finalement sur les lieux de l’agression. Lui sera convoqué au commissariat et Madame sera invitée à porter plainte.
https://journaldumusulman.fr/agression-a-paris-musulmane-frappee-plein-visage-agent-municipal/
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