Salam,
On oublie toujours le fait générateur : une altercation dans un établissement ouvert au public ........
Comme on parle d'ère Benkirane

, quand il s'agit d'une opération de simple police, dépendant donc du Ministère de l'Intérieur, de Si Mohand L3anser, et du procureur du Roi, en application de la Loi.
Pour l'instant ni les supermarchés, ni les autres établissements n'ont été touchés par une quelconque mesure pour justifier la montée au créneau d'une bastille ...
Les commissions comme les modalités de délivrance de licence de débit de boisson, combien floues, ainsi que la réglementation n'ont pas été revues pour l'instant, la même circulaire réglementant est toujours en vigueur. Circulaire qui précise les conditions de gestion d'un débit de boisson.
Existence d'un trafic structurel connu : vente de produits de contrebande, revente de produits achetés sans factures auprès de supermarchés, en espèces, pour réduire le chiffre d'affaire fiscal et se soustraire à l'impôt : Taxe sur les débits de boisson, I.G.R et I.S, générant un chiffre d'affaire au noir important.
Absence de tenue d'un registre spécifique, pour les alcools, prévu par la circulaire.
Les "videurs" et autres gros bras agissent à la limite de la Loi.
Les effets sur le voisinage : agression de femmes et de voisins.
Bref, bien des anomalies qui nous invitent à la plus grande prudence.
Il ne s'agit pas d'interdire l'alcool aux étrangers, mais d'éviter les dérives et abus.
Le pragmatisme devrait inciter à une campagne de dépistage des conduites en état d'ivresse les samedi by night.