Dans une courte déclaration à la presse, ce lundi à 10h30, le président de la République a confirmé le décès de Michel Germaneau, l'otage français retenu au Niger puis Mali. Dénonçant un «acte barbare, odieux», Nicolas Sarkozy a parlé «d'un assassinat», confirmant que les ravisseurs n'avaient pas attendu la fin de l'ultimatum.
«Le crime commis contre Michel Germaneau ne restera pas impuni», a-t-il conclu.
Nicolas Sarkozy quittait le «conseil restreint de défense et de sécurité» réuni en urgence à l'Elysée pour faire le point sur l'affaire. Etaient présents François Fillon, Bernard Kouchner (Affaires étrangères), Brice Hortefeux (Intérieur), ainsi que le directeur général de la sécurité extérieure (DGSE) Erard Corbin de Mangoux et le directeur central du renseignement intérieur (DCRI) Bernard Squarcini. Le ministre de la Défense Hervé Morin était représenté par son directeur de cabinet.
Quelques minutes avant ce conseil, tandis que l'Elysée ne donnait aucune information sur le sort de l'otage, un élu de la région du Kidal confirmait à l'AFP la mort de Germaneau, «décapité sous les yeux du chef de l'unité de l'Aqmi qui le détenait. «Il était bien vivant lors du raid, mais caché dans une zone montagneuse dans la région de Kidal, vers la frontière avec l'Algérie. L'endroit est une forteresse imprenable, où les islamistes ont posé des mines et construit des abris pour se protéger de toute attaque aérienne», a ajouté l'élu.
Germaneau aurait été décapité
Source complète http://www.leparisien.fr/internatio...maneau-un-acte-barbare-25-07-2010-1012277.php
«Le crime commis contre Michel Germaneau ne restera pas impuni», a-t-il conclu.
Nicolas Sarkozy quittait le «conseil restreint de défense et de sécurité» réuni en urgence à l'Elysée pour faire le point sur l'affaire. Etaient présents François Fillon, Bernard Kouchner (Affaires étrangères), Brice Hortefeux (Intérieur), ainsi que le directeur général de la sécurité extérieure (DGSE) Erard Corbin de Mangoux et le directeur central du renseignement intérieur (DCRI) Bernard Squarcini. Le ministre de la Défense Hervé Morin était représenté par son directeur de cabinet.
Quelques minutes avant ce conseil, tandis que l'Elysée ne donnait aucune information sur le sort de l'otage, un élu de la région du Kidal confirmait à l'AFP la mort de Germaneau, «décapité sous les yeux du chef de l'unité de l'Aqmi qui le détenait. «Il était bien vivant lors du raid, mais caché dans une zone montagneuse dans la région de Kidal, vers la frontière avec l'Algérie. L'endroit est une forteresse imprenable, où les islamistes ont posé des mines et construit des abris pour se protéger de toute attaque aérienne», a ajouté l'élu.
Germaneau aurait été décapité
Source complète http://www.leparisien.fr/internatio...maneau-un-acte-barbare-25-07-2010-1012277.php