Autisme

Nalinux

It's not a bug, it's a feature.
qui a financé cette recherche? un groupe pharmaceutique chargé de fabriquer des vaccins :)? combien de vaccins contenant du mercure a tu reçu? sans parler des autres merdes contenus dedans dont du formol prouvé cancerigène^^ et dont des substances antigéniques
Si tu avais lu l article, au lieu de rester avec tes convictions sans chercher a comprendre, tu aurai la réponse.
Des organismes crédibles comme l'Organisation mondiale de la Santé, l'Institute of Medicine's Immunization Safety Review Committee des États-Unis, Santé Canada et la Direction de la santé publique du Québec sont d'avis que l'administration de vaccins contenants du thimérosal est sans danger pour les enfants.

Il est exact que le formol est toxique, et cancerigene.
L exposition au soleil put quant a elle engendrer un cancer de la peau.
La poussiere de bois est cancerigene.
L iode au bord de la mer est cancerigene.
Le café est cancerigene.
Le talc pour fesses de bébés est cancerigene.
La viande grillée est cancerigene.
Le poivre peut etre cancerigene.
Etc ...

Tout est question de dosage.

Le formaldéhyde est utilisé dans les colles et adhésifs, les agglomérés à base de bois, les mousses polyuréthane, les produits cosmétiques et pharmaceutiques etc...
Il est présent dans notre habitat quotidien.

Le formaldéhyde est un produit intermédiaire du métabolisme des protéines. Il existe normalement dans le sang à 2 à 3 mg/L. Nous en avons tous en nous, c est tout a fait normal. Il est meme nécessaire a notre vie.
Le formaldéhyde est un produit du métabolisme normal et il est essentiel pour la biosynthèse de certains acides aminés chez les humains. Les niveaux de formaldéhyde endogène produit par voie métabolique varient d'environ 3 à 12 ng/g de tissu.
http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/water-eau/formaldehyde/index-fra.php

Un enfant de 2 mois de 5 kg en totalise 1,1 mg soit au moins 10 fois plus que celui éventuellement contenu dans une dose vaccinale.
Bilan : risque nul.

Exemple du "danger" des vaccins :
- La poliomyélite touche principalement les enfants de moins de cinq ans.
- Une infection sur 200 entraîne une paralysie irréversible. Parmi les sujets paralysés, 5 à 10% meurent lorsque leurs muscles respiratoires cessent de fonctionner.
- Le nombre des cas de poliomyélite a diminué de plus de 99% depuis 1988, passant de 350 000 à 406 cas notifiés en 2013. Cette baisse résulte de l’effort mondial pour éradiquer cette maladie.
http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs114/fr/
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Troubles autistiques : une augmentation en trompe-l'œil

Une étude suédoise attribue la hausse du nombre d'enfants diagnostiqués comme autistes à un dépistage trop poussé.
On assiste depuis une vingtaine d'années à une augmentation spectaculaire du nombre de cas de troubles du spectre autistique (TSA) dans le monde. Ces pathologies, souvent regroupées sous le terme d'autisme et qui se traduisent par des difficultés de communication, d'interaction et par des comportements stéréotypés et répétitifs, toucheraient aujourd'hui en France près de 1 personne sur 150, contre 1 personne sur 370 il y a seulement quatorze ans.

La recherche de nouvelles causes environnementales aux TSA est très active et suscite de fortes inquiétudes: vaccins, pollution, exposition aux métaux lourds, alimentation moderne ont été tour à tour mis en cause. Pourtant, d'après le Pr Éric Fombonne, de l'université de l'Oregon (États-Unis), spécialiste mondial de l'autisme, «non seulement les vaccins ont été mis hors de cause, mais, de plus, aucune étude n'a pu montrer de lien entre des facteurs environnementaux et l'autisme».

D'après l'équipe de Christopher Gillberg, de l'université de Göteborg (Suède), la prévalence des troubles autistiques est en réalité stable: l'augmentation du nombre de cas diagnostiqués n'est pas liée à une augmentation du nombre de cas réels dans la population générale. Pour arriver à cette conclusion, publiée dans le British Medical Journal, les scientifiques ont étudié la répartition des profils autistiques dans une cohorte d'enfants suédois nés entre 1993 et 2002 à l'aide d'entretiens téléphoniques avec leurs parents.

Évolutions sociales
Cette méthode permet d'établir l'ordre de grandeur de la prévalence des TSA tout en s'affranchissant du biais de sélection des résultats issus des statistiques officielles: «La méthodologie reste néanmoins discutable, commente Éric Fombonne, à cause du manque de sensibilité des entretiens téléphoniques, mais les résultats obtenus n'en demeurent pas moins cohérents avec les observations des spécialistes: il n'y a pas d'épidémie de troubles autistiques.» Alors que les données du registre national des patients de Suède montrent une multiplication par deux du nombre de cas diagnostiqués entre 1993 et 2002 (de 0,25 à 0,5 %), l'étude Gillberg montre une prévalence réelle stable autour de 1%.

Pour expliquer cet écart, les scientifiques évoquent essentiellement des évolutions sociales: les parents sont davantage encouragés à faire diagnostiquer leurs enfants grâce à une meilleure reconnaissance de l'autisme dans les sociétés occidentales. «Aux États-Unis, par exemple, il y a trente ans, les troubles autistiques n'ouvraient pas droit à des aides, et les enfants étaient donc plus souvent diagnostiqués comme déficients mentaux. Aujourd'hui, la situation a changé: les parents, et même les écoles, sont en demande de diagnostic d'autisme», surenchérit le Pr Fombonne. Les auteurs de l'étude soulignent néanmoins le danger d'un dépistage trop inclusif de l'autisme: d'autres troubles psychiques, du langage ou du déficit de l'attention pourraient être éclipsés, alors même qu'ils demandent une prise en charge spécifique.

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Troubles autistiques : une augmentation en trompe-l'œil | Actualité | LeFigaro.fr - Santé

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Autisme: quand les parents prennent la plume

Avec émotion, humour, ou dans une démarche plus revendicative, des parents d'enfants autistes témoignent.
Faire avancer la cause des autistes, c'est d'abord parler d'eux. Cet hiver, plusieurs témoignages de parents figurent en bonne place sur les étals des librairies. Avec Comme d'habitude (Calmann-Lévy), la journaliste Cécile Pivot adresse une longue lettre émouvante à son fils Antoine, 22 ans.

Elle lui parle de ses angoisses, de sa colère face au regard des autres, de ses batailles pour lui trouver une prise en charge adaptée. Lui raconte comment il l'a changée, son sentiment de culpabilité, à peine apaisé par les découvertes sur les causes génétiques de l'autisme. Elle lui dit encore sa volonté de continuer à travailler, ses erreurs, sa lassitude et son amour. Elle mesure aussi les progrès réalisés depuis vingt ans: "Le grand public connaît un peu mieux l'autisme, et davantage d'enfants sont accueillis en milieu scolaire."

L'humoriste Laurent Savard publie, lui, Gabin sans limites (Payot), où il ose, dans la droite ligne de son spectacle du même nom, un pari risqué: faire rire avec la maladie de son fils. Quant au journaliste américain Ron Suskind, prix Pulitzer, il a trouvé un chemin original pour communiquer avec son fils Owen: les dessins animés de Walt Disney. Grâce à eux, il a pu ramener - paradoxalement - son garçon "dans le monde réel" (Une vie animée, éd. Saint-Simon).



Les témoignages de parents d'enfants autistes se multiplient.

iStock

Avec émotion, humour, ou dans une démarche plus revendicative, des parents d'enfants autistes témoignent.
Faire avancer la cause des autistes, c'est d'abord parler d'eux. Cet hiver, plusieurs témoignages de parents figurent en bonne place sur les étals des librairies. Avec Comme d'habitude (Calmann-Lévy), la journaliste Cécile Pivot adresse une longue lettre émouvante à son fils Antoine, 22 ans.

 
Elle lui parle de ses angoisses, de sa colère face au regard des autres, de ses batailles pour lui trouver une prise en charge adaptée. Lui raconte comment il l'a changée, son sentiment de culpabilité, à peine apaisé par les découvertes sur les causes génétiques de l'autisme. Elle lui dit encore sa volonté de continuer à travailler, ses erreurs, sa lassitude et son amour. Elle mesure aussi les progrès réalisés depuis vingt ans: "Le grand public connaît un peu mieux l'autisme, et davantage d'enfants sont accueillis en milieu scolaire."

L'humoriste Laurent Savard publie, lui, Gabin sans limites (Payot), où il ose, dans la droite ligne de son spectacle du même nom, un pari risqué: faire rire avec la maladie de son fils. Quant au journaliste américain Ron Suskind, prix Pulitzer, il a trouvé un chemin original pour communiquer avec son fils Owen: les dessins animés de Walt Disney. Grâce à eux, il a pu ramener - paradoxalement - son garçon "dans le monde réel" (Une vie animée, éd. Saint-Simon).


Ces livres complètent l'ouvrage choc de Sophie Le Callennec et Florent Chapel, père d'un garçon autiste, qui dénonçait l'an dernier les défaillances françaises face à cette maladie: Autisme. La grande enquête (éd. des Arènes)

http://www.lexpress.fr/actualite/so...nd-les-parents-prennent-la-plume_1877266.html


mam
 
A

AncienMembre

Non connecté
Cest bien de detecter ... Mais ce serait aussi pas mal d'eviter que les enfants doivent aller jusquen belgique pour trouver une ecole qui les acceptent
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Il faut mettre fin à la tyrannie de la psychanalyse! :fou:

Les explications psychanalytiques n'ont pas servi à grand-chose sinon à culpabiliser les malades et leur famille en leur faisant croire que la cause de tous leurs problèmes était psychologique et morale, alors qu'il fallait chercher du côté des gènes et de la physiologie du cerveau!
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Il faut mettre fin à la tyrannie de la psychanalyse! :fou:

Les explications psychanalytiques n'ont pas servi à grand-chose sinon à culpabiliser les malades et leur famille en leur faisant croire que la cause de tous leurs problèmes était psychologique et morale, alors qu'il fallait chercher du côté des gènes et de la physiologie du cerveau!


surtout qu'il est officiellement reconnu que personne ne sait détecter l'autisme convenablement et assez tôt chez l'enfant .....

mam
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
http://www.journaldequebec.com/2017/04/15/miser-sur-les-autistes-pour-performer

10% parmi les autistes qui ont un emploi, c'est encourageant ça! :prudent:

En plus la plupart de ceux qui travaillent trouvent du boulot dans des boîtes d'informatique, mais moi j'ai pas vraiment d'aptitudes là-dedans. C'est déjà assez difficile de comprendre les logiciels de comptabilité!!

Et c'est sans parler ceux qui perdent leurs emplois à répétition à cause de leur excentricité!!
 
Un reportage est passé récemment sur les autistes Asperger
Ce que j'ai retenu d'intéressant en vrac :
-la difficulté a soutenir le regard, à imiter, l'hypersensibilité (analyser tout ce qu'il voit /entend, très fatigant), impossibilité de mentir car pour eux les règles fondamentale de les appliquer etc
Deux points positifs quand même :
Ceux qui apprenent la communication sont 'sauvés ' d'ailleurs a la fin du documentaire le couple d' autiste, on ne les reconnaît même pas comme handicapés. Dommage qu'on les diagnostique pas assez tôt pour un suivi adapté.
 

oue7dania

~¡~.......•|•......^^
VIB
http://www.journaldequebec.com/2017/04/15/miser-sur-les-autistes-pour-performer

10% parmi les autistes qui ont un emploi, c'est encourageant ça! :prudent:

En plus la plupart de ceux qui travaillent trouvent du boulot dans des boîtes d'informatique, mais moi j'ai pas vraiment d'aptitudes là-dedans. C'est déjà assez difficile de comprendre les logiciels de comptabilité!!

Et c'est sans parler ceux qui perdent leurs emplois à répétition à cause de leur excentricité!!
qd on aura compris que ce ne sont pas des excentricites je suppose que on les maintiendra/quils resteront ds leur boulot...
a vrai dire tt ce qui est extra-ordinaire...a du mal a trouver sa place
la societe s'adapte t elle vraiment? est ce a l'individu de le faire?
 

oue7dania

~¡~.......•|•......^^
VIB
Un reportage est passé récemment sur les autistes Asperger
Ce que j'ai retenu d'intéressant en vrac :
-la difficulté a soutenir le regard, à imiter, l'hypersensibilité (analyser tout ce qu'il voit /entend, très fatigant), impossibilité de mentir car pour eux les règles fondamentale de les appliquer etc
Deux points positifs quand même :
Ceux qui apprenent la communication sont 'sauvés ' d'ailleurs a la fin du documentaire le couple d' autiste, on ne les reconnaît même pas comme handicapés. Dommage qu'on les diagnostique pas assez tôt pour un suivi adapté.
ce que tu aurai du retenir cest que chaque individu est particulier
la difficulté de soutenir le regard ou ce que tu sites ne sont pas des generalités...
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
ce que tu aurai du retenir cest que chaque individu est particulier
la difficulté de soutenir le regard ou ce que tu sites ne sont pas des generalités...

En effet.

Je suis parfaitement capable de mentir.

Ça veut pas dire que j'ai été un habile menteur.

Voici en tout cas le principe de Schopenhauer : on ne doit la vérité qu'à ceux qui la méritent.
 
@ou7dania
Oui d'ailleurs y a plusieurs types d'Asperger, ce que j'ai écrit c'était des caractéristiques spécifiques à un autiste mais il reste un être humain comme les autres pour ça qu'on peut se reconnaitre dans quelques traits de caractère sans être autiste pour autant
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Quel est le syndrome d'Asperger dont souffrirait Vladimir Poutine ?

Selon un rapport secret d'un centre de réflexion interne au Pentagone, le président russe Vladimir Poutine pourrait être atteint d'une forme d'autisme dit "de haut niveau" : le syndrome d'Asperger.

ASPERGER. Le président russe Vladimir Poutine serait atteint d'une forme d'autisme, le syndrome d'Asperger, qui l'obligerait à exercer un "contrôle maximum" de lui-même lorsqu'il traverse une crise, selon un rapport rédigé par un think tank du Pentagone en 2008 et révélé jeudi 5 février 2015 par BBCNews.
C'est en étudiant les expressions et les mouvements de son visage dans des vidéos, que des experts militaires ont conclu que le développement neurologique de Poutine avait été perturbé dans son enfance, donnant l'impression d'un déséquilibre physique et d'être mal à l'aise dans ses relations avec les autres. "Ce sérieux problème de comportement a été identifié par les neurologues comme le syndrome d'Asperger, une forme d'autisme qui affecte toutes ses décisions", affirme l'auteur du rapport, Brenda Connors, de l'Ecole de guerre de la Marine, issu du centre de réflexion interne au Pentagone, Office of Net Assessment.
Par définition, il n'y a pas de retard
Le syndrome d'Asperger est une forme d'autisme très particulier dit "de haut niveau". "Par définition, il n'y a pas de retard mental" dans ce syndrome selon la Haute autorité de santé. Un retard qui fait partie des critères diagnostiques des autres formes d'autisme. Mais l'Asperger rentre bien dans la catégorie des troubles envahissants du développement (TED), un groupe de pathologies caractérisées par des altérations des interactions sociales, des problèmes de communication (langage et communication non verbale), ainsi que par des troubles du comportement. Lequel a tendance à se focaliser sur des centres d'intérêts restreints et répétitifs.

Or le syndrome d'Asperger touche bien ces trois dimensions : la communication, les interactions sociales et les intérêts restreints. La personne Asperger aura donc, à différents degrés, des problèmes de communication et de compréhension du langage oral et écrit, notamment au niveau des éléments non explicites.

Mais est-il possible de déterminer à partir de vidéos si telle ou telle personne souffre ou non d'un syndrome d'Asperger ?

Cela semble un peu léger, même si dans le cas de Vladimir Poutine, les images à analyser sont nombreuses et les situations très diverses. Le rapport du Pentagone précise d'ailleurs que l'hypothèse ne pourrait être vérifiée qu'à l'aide de scanners cérébraux. Une affirmation surprenante étant donné que parmi les critères diagnostiques énoncés par la HAS, aucun ne fait référence à de tels examens. L'examen diagnostic étant plutôt comportemental.

Un extrait du livre Symptomatique du syndrome d'Asperger chez l'enfant de Tony Hattwood, spécialiste reconnu de ce trouble neurodéveloppemental, pourrait toutefois faire penser au président russe : "Le visage de l’enfant peut manquer d’expressivité, être anormalement figé ou semblable à un masque, parfois présenter une expression peu naturelle ou paraître anormalement sérieux." Selon le rapport du Pentagone, le regard toujours fixe de Poutine serait la marque d’un "défaut neurologique [et] d’une incapacité à faire face aux signaux extérieurs".


Notons que de nombreuses autres célébrités sont régulièrement citées comme étant atteintes du syndrome d'Asperger, même si pour la plupart, comme pour Vladimir Poutine, il ne s'agit que de présomptions :

Albert Einstein,
Michel-Ange,
George Lucas (Star Wars),
Bill Gates (Microsoft),
Mark Zuckerberg (Facebook),
le pianiste Glenn Gould
ou encore le champion d'échec Bobby Fisher..

https://www.sciencesetavenir.fr/san...erger-dont-souffrirait-vladimir-poutine_28532


mam
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
@mam80 :timide:

Je serais très étonné que Poutine souffre de cette maladie.

Cet individu est très rusé, malin, machiavélique même, et maîtrise parfaitement l'art de la tromperie, de la manipulation et du mensonge, et il sait exploiter les moindres faiblesses de ses adversaires. Il a aussi travaillé comme espion.

Ça ne me fait pas penser à un Asperger, même de loin.

Il semblerait que la "démonstration" de ces personnes repose surtout sur l'expression faciale de Poutine, ce que je trouve un peu léger...
 
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