Besoin de conseil

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Il y a rien de grave tu me dit c'est un péché donc oui c'est grave je ne c'est pas si tu te rencontent de la gravité du péché une fois marié quand la femme est en période de menstrue l'homme qui sera accro a la masturbation pendant les menstrues de sa femme retournera a son péché mignon et je pense qu'une musulmane ne peut pas toléré un tel comportement vit a vit de son mari je ne c'est pas si tu rencontent de la gravité de ce péché ou si il n'est pas satisfait par sa femme il retournera a son péché mignon exemple si la femme n'est pas satisfait de son mari elle va ce masturber pour comblé son manque même si nous avons des pulsions sa reste un péché qui ne peut pas être toléré autrement la porte est ouverte a toute les conneries si on ce base sur les pulsions comme certains parent qui disent rien a leur garçon sur le faite de faire la fornication par contre les filles doivent rester vierge jusqu'au mariage sa aussi je suis contre si allah a interdit la fornication c'est a la femme et a l'homme il y a pas de privilégier

En ceux qui concerne toute les femmes n'ont pas le même avis sur la question mais je pourrais répondre a ma question patientez pour trouver une femme ou ni l'argent ni le succès réside dans les biens de ce bas monde mais encore faut il la trouvé la c'est une autre histoire merci de tes conseils
Elle peut s'y prendre elle-même alors, elle a aussi des mains et d'autres choses pour ça. Ce n'est pas un péché mignon, ni un péché grand. C'est une influence du judaïsme, c'est tout. L'idée est de ne pas "gaspiller sa semence" qui est tenue pour "un avortement dissimulé". Si tu peux pratiquer la continence, alors cet argument tombe en islam. C'est à celui qui affirme que cela serait interdit d'apporter ses arguments. C'est permis jusqu'à preuve du contraire.

Un hadith disant que se masturber serait pire que de faire l'adultère avec sa mère dans la Ka'ba avait un jour été cité par un imam, je lui ai demandé si il vaut pas mieux demander à la maman de lui tailler une pipe dans ce cas : il n'a pas apprécié. :p
 
Qu'est-ce que l'imam a à voir avec tout ça. Le mariage c'est entre deux individus. L'histoire des wali etc., c'est aussi des hadiths faibles imposés pour discerner mariage et zina : des règles imposées politiquement. Aucun hadith n'exige deux témoins, ou l'accord parental et encore moins un imam. Quel Sahaba a apporté deux témoins dans quel mariage ?

http://paleo-islam.blogspot.be/2012/01/temoins-et-tuteur-du-mariage-en-paleo.html

En gros je croise une femme qui me plait, on discute et tout et tout puis on se met d'accord, je lui donne sa dot, on couche ensemble et on se sépare normal halal ?
 
Ton lien n'est pas une source islamique encore une fois juste un blog d'égaré peut-être alors ne le poste pas ici surtout qu'il n'y a aucun savant qui a validé tes écrits c'est juste ton interprêtation personnelle...

Donc ne parle pas de fiqh et n'égare pas les néophytes ici...

Nous ne sommes pas chiites mais sunnites ...le muta'a est ILLICITE jusqu'à la fin des temps, il a été interdit du vivant du Prophète Saws ...sinon petit rappel par un site musulman un vrai pas un blog...

Les conditions de la contraction du mariage

Ibn Abî Zayd Al-qirâwânî dit dans sa Risâla (chapitre 32) :
« Il ne peut y avoir de mariage qu’avec un tuteur matimonial, une dot et deux témoins qualifiés. S’il n’y avait pas ces deux témoins lors du contrat, l’époux ne pourra consommer le mariage que s’ils témoignent du contrat (du mariage)… »

Voici les conditions du mariage islamique :

a) Consentement

Le mariage est l’un des contrats les plus importants, car il sous-entend la fondation d’une nouvelle famille, la venue au monde de nouveaux êtres humains, des devoirs et des responsabilités pour les deux conjoints. Etant donné que le mariage est un contrat qui lie les deux époux en tant que partenaires, leur consentement complet est essentiel à son entrée en vigueur.
L’Islam assure en effet à la femme le droit d’accepter ou de refuser toute proposition de mariage.
(voir le point b pour le détail)

L'homme et la femme qui vont se marier expriment (devant au moins deux témoins, nous allons y revenir), leur engagement à vivre comme mari et femme. On parle d’échange de consentement entre le tuteur qui représente la femme (avec son accord) et le futur mari dans une assemblée (majlis) : cette condition s’appelle « al-qubûl wa al-îjâb » : cette formule d’échange doit être définitive et non limitée par un temps (c'est-à-dire pas de mariage temporaire).
Une des formules utilisée : que le tuteur peut dire au futur mari devant les témoins : je te marie cette femme ou ma fille unetelle selon telle dote de 150 Euro (par exemple)…
Et le futur mari : répond : « et moi j’accepte avec la dote de 150 Euro »

Les deux parties contractantes doivent être donc consententes conscientes et responsables : le contrat sera invalide s’il s’agit d’un enfant ou d’un fou (sauf conditions et dispositions particulières).

b) Le tuteur: Al-Waliyy

Le mariage est conclu par le consentement du tuteur de la femme, et ceci après sa consultation. Il peut être son père, ou à défaut, un proche parent... Car le prophète (paix et salut sur lui) a dit: « aucun mariage n'est conclu sans la présence d'un tuteur [représentant la femme]» [2]
Qualités requises du tuteur et tuteurs possibles:
* Il doit être homme, majeur(pubère), libre, jouissant de ses facultés mentales et pas en état de sacralisation(ihrâm) et musulman si la femme à marier est musulmane;
للولي ثمانية شروط، ستة متفق عليها، وهي: البلوغ، والعقل، والذكورة، والحرية، والإسلام، وأن يكون حلالا( غير مُحْرم بحج أو عمرة). واثنان مختلف فيهما، وهما: العدلة، والرشد.

* Il doit demander l'approbation de la femme qu'il compte marier [représenter] (sauf le père pour sa fille vierge);
* La tutelle (pour l’acte du mariage) du frère du pére, ou de son fils ou de son pére ou de son grand pére est possible si le père leur avait donné la procuration (tafwîd) de ses affaires et avec l’approbation (ijâza) du père.
* Le père peut donner une procuration (tawkîl) à autre pour marier sa fille :
Celui pour qui le pére peut donner sa procuration (tawkîl) (avec preuve) pour marier la fille: doit être obligatoirement: homme musulman libre pubére et non en état de sacralisation (ihrâm) et non fou. Quant à la mécréante, elle aura comme tuteur le mécréant (pour son mariage).
Celui à qui le père a donné la procuration pour ses affaires ne pourra marier la fille sans l’autorisation du père et son approbation.

En dehors du père, pour ce qui concerne la vierge, ni le tuteur ni un autre ne pourront la marier sans qu’elle atteigne la nubilité et qu’ils lui demandent son autorisation, son silence valant (aussi) son acceptation.
Ni le père ni un autre ne peuvent marier une femme ayant déjà consommé un mariage sans son consentement qu’elle manifestera par la parole.
On ne peut épouser une femme qu’avec l’assentiment de son tuteur ou bien ensuite (à défaut), de l’homme avisé parmi ses proches ou ensuite (à défaut), de l’autorité.
Dans l’ordre de préséance, pour la tutelle matrimoniale, il y a tout d’abord le fils, puis le père puis le frère puis le plus proche parmi les parents mâles paternels.
Si la femme n'a pas de père et que celui-ci n'avait pas laissé un testament (wasiyya) à quelqu'un pour la marier (après sa mort) :
dans ce cas la tutelle du parent éloigné est valable même en présence du parent proche pour nous les malikites : exemple l'oncle paternel la marie au lieu du frère : le contrat est valide. Mais il est préférable(mandûb) de respecter l'ordre de préséance cité pour la tutelle matrimoniale.
Si cette femme dont le père et son wasiyy sont morts est d'une basse condition(c'est à dire qu'elle n'est pas recherchée, du fait de l'absence de beauté, de biens ou de situation éminente) : dans ce cas un membre homme parmi la communauté des musulmans peut être son tuteur aussi.

Les proches du côté de la mère ne peuvent être tuteurs matrimoniaux de la femme, ceux-ci devant faire partie des parents mâles paternels.

Remarque:
Il est utile ici, vu notre contexte, de citer aussi l'avis de l'Imâm Abû Hanîfa( et des hanafites) et d’autres savants qui divergent avec l’avis connu des malikites:
Ibn Rushd rapporte dans son Bidâyat al-mujtahid tome II page 31:
'Abû Hanîfa, Zufar,Ash-sha'abî et Az-zuharî disent: si la femme(pubére et non folle)) (qu'elle soit vierge ou non) contracte son mariage sans tuteur (sans waliy): son mariage est valide si l'homme est Kuf' (digne d'elle) .
Si ce future mari n'est pas digne d'elle (exemple un pevers qui veut épouser une pieuse, fille d’un pieux): là le Waliyy peut (a le droit) d'annuler ce mariage Al-Fiqh 'alâ Al-madhâhib al-arba'a d'Al-jazîrî tome IV page 34.)


c) Les témoins

Deux témoins musulmans (hommes) (autres que le Waliyy) et de bonne conduite doivent assister à la conclusion de l'acte de mariage. Le prophète (paix et salut sur lui) a dit:« Un mariage n'est jamais conclu sans la présence du tuteur de la femme et de deux témoins de conduite irréprochable»[3].
Ceci pour annoncer et rendre public (I’alân) le mariage.


Pour les malikites : il est mandûb (préférable) seulement, que les témoins assistent au contrat, donc ils peuvent ne pas assister à cette contraction du mariage : par contre dans ce cas, ils doivent obligatoirement assister et témoigner avant (à) l’entrée des deux mariés pour leur vie conjugale (‘inda ad-dukhûl) pour que le mariage soit valide.
Ibn Abî Zayd Al-qirâwânî dit dans sa Risâla (chapitre 32) :
« Il ne peut y avoir de mariage qu’avec un tuteur matimonial, une dot et deux témoins qualifiés. S’il n’y avait pas ces deux témoins lors du contrat, l’époux ne pourra consommer le mariage que s’ils témoignent du contrat (du mariage) … »

Conditions requises des témoins:


*Ils doivent être au moins deux;
*Etre pubéres,hommes,musulmans, jouissant de leur faculté mental(le fou n'est pas admis) , entendant et comprenant les échanges entre les contractants et son but.
*Etre de bonne conduite, c’est à dire: qu'il n'est pas admis comme témoin, un homme pervers, s'adonnant à l'adultère, à l'usure, ou réputé pour ses mensonges… etc.

Les hanafites ont dit qu'il est possible de faire témoigner deux femmes et un homme.

d) La dot: Mahr

La dot est ce qu'un homme accorde à la femme pour pouvoir l'épouser, c’est un signe d’engagement qui montre que l’homme est obligé (légalement) de prendre en charge son épouse (depuit le début)... La dot est obligatoire.
Allah dit : «Et donnez aux épouses leur mahr, de bonne grâce. Si de bon gré elles vous en abandonnent quelque chose, disposez-en alors à votre aise et de bon coeur. » [4]
Un homme(pauvre et sans moyens) ayant demandé au prophète (paix et salut sur lui) de lui accorder la main d'une femme, celui-ci dit:« Va chercher une dot, même une bague en fer![chose à un prix insignifiant(mais qui a obligatoirement une valeur)]» [5]
Il est conseillé d'alléger la dot. Le prophète (paix et salut sur lui) a dit:« La plus bénie des femmes est celle qu'on épouse à moindre frais»[6]. Les filles du prophète (paix et salut sur lui) ainsi que ses épouses ont eu pour dot : 400 ou 500 dirhams de l’époque.

Pour les malikites le minimum de la dot : est la valeur d’un quart de Dinar (ancien) en or ou 3 Dirham (ancien) d’Argent pur: sachant qu’un Dinar ancien est équivalent à environ 4.25 g d’or pur (4.25 g d’or pur est équivalent en France, en fin 2007, à environ 70 Eur).

La dot doit être obligatoirement de nature licite.

On parle aussi de dot retardée ou avancée (en partie ou en totalité) (à des conditions qui différent selon les écoles), on ne détaillera pas ici ce dernier point.

http://www.doctrine-malikite.fr/Mariage-islamique_a53.html
Qu'est-ce que l'imam a à voir avec tout ça. Le mariage c'est entre deux individus. L'histoire des wali etc., c'est aussi des hadiths faibles imposés pour discerner mariage et zina : des règles imposées politiquement. Aucun hadith n'exige deux témoins, ou l'accord parental et encore moins un imam. Quel Sahaba a apporté deux témoins dans quel mariage ?
 
Tu es en train de rendre HALAL la sod omie ou je rêve encore?


T'es vraiment dégoutant...beurk de parler de la mère des autres comme ça....


Elle peut s'y prendre elle-même alors, elle a aussi des mains et d'autres choses pour ça. Ce n'est pas un péché mignon, ni un péché grand. C'est une influence du judaïsme, c'est tout. L'idée est de ne pas "gaspiller sa semence" qui est tenue pour "un avortement dissimulé". Si tu peux pratiquer la continence, alors cet argument tombe en islam. C'est à celui qui affirme que cela serait interdit d'apporter ses arguments. C'est permis jusqu'à preuve du contraire.

Un hadith disant que se masturber serait pire que de faire l'adultère avec sa mère dans la Ka'ba avait un jour été cité par un imam, je lui ai demandé si il vaut pas mieux demander à la maman de lui tailler une pipe dans ce cas : il n'a pas apprécié. :p
 
@Drianke. N'apporte pas des affirmations, apporte des commandements sahih émanant du Prophète si tu suis la sunnah. Si tu suis les sunnites, dis plutot que tu est sunniste. La sunnah, c'est le fait de se conformer aux enseignements du Prophète et sa pratique.

-- > Apporte alors des hadiths sahih attribués au Prophète, pas ce que un tel ou un tel a dit.

-- > Je ne dis pas que ces pratiques sont interdites, je dis qu'elles ne s'imposent pas par l'autirité du Prophète.

Si tu n'apporte pas de hadith, cesse de trainer dans les pieds en pseudo correctrice. Alors, des hadiths émanant du Prophète à propos de tout ce que tu as partagé ? NON !

(N'hésite pas à relire tes sources dont tu faisais part plus haut pour trouver ces hadiths prophétiques sahih.)
 
Arrêtez de raconter n'importe quoi surtout!

Vous propagez des choses interdites et connues depuis 14 siècles dans la oummah! mon dieu allez disserter sur l'athéisme ou le christiannisme mais laissez notre religion en dehors de vos interprêtations personnelles!

Muta'a est interdit du vivant du Prophète Saws il l'a autorisé ponctuellement puis interdit jusqu'à la fin des Temps!

So do mie est haram et ce dans les 3 religions!

Je ne suis pas hadithiste moi la Shariah et la Sunna me suffisent! Les savants du Fiqh sont là pour répondre à toutes nos questions!!

Vous êtes de quelle religion, celà fait des années que je vous pose la question et nous n'y avez jamais répondu clairement d'ailleurs!

@Drianke. N'apporte pas des affirmations, .)
 
Arrêtez de raconter n'importe quoi surtout!

Vous propagez des choses interdites et connues depuis 14 siècles dans la oummah! mon dieu allez disserter sur l'athéisme ou le christiannisme mais laissez notre religion en dehors de vos interprêtations personnelles!
Des hadiths prophétiques ? Blablabla...

Muta'a est interdit du vivant du Prophète Saws il l'a autorisé ponctuellement puis interdit jusqu'à la fin des Temps!
Non, Muslim précise que cette parole est un ajout d'Umar ibn abd el-Aziz, ouvre son Sahih et controle, au lieu d'insulter ceux qui te le disent, alors que tu n'as manifestement pas vérifié.

Le hadith présente deux variantes chez Muslim, dans son Jami, avec la même chaine de transmission. L'un précise que cette parole émane d'Umar ibn abd el-Aziz.

So do mie est haram et ce dans les 3 religions!
Moi, c'est l'islam qui m'importe. Toi, tu fais ce que tu veux. En islam, c'est la parole du Prophète qui lie.

Je ne suis pas hadithiste moi la Shariah et la Sunna me suffisent! Les savants du Fiqh sont là pour répondre à toutes nos questions!!
Toi peut-être, moi je maitrise les hadiths, et je parle de ce que je maitrise, avec des sources vérifiables par chacun, sauf les orgueilleux et les paresseux...

Vous êtes de quelle religion, celà fait des années que je vous pose la question et nous n'y avez jamais répondu clairement d'ailleurs!
Et toi, tu es de quelle religion ? Je suis musulman. Alhamdulillah.
 
Celà est très clair dans le sunnisme il n'a y a aucune divergence le muta'a ILLICITE point barre!

Allez faire votre taqiyya ailleurs ou alors donnez votre femme ou votre fille je peux trouver 10 videurs bien costaud pas marié et qui ont besoin d'un acte charnel chacun pour 2 H type et 10 dollars la dot! vous récupérer 100 dollars céti pas bô la vie...

Un musulman qui rend licite ce qui est illicite comme la so do mie ou le muta'a vous plaisantez je crois!!!

Dites que vous êtes shia ou juif plutôt ou athée ou déiste lol...

D


Et toi, tu es de quelle religion ? Je suis musulman. Alhamdulillah.
 
@Drianke. Le sujet c'est pas le sunnisme, c'est la sunnah. Cite une parole émanant du Prophète, ou cesse d'agresser les intervenants.

Si tu es aussi sure d'avoir raison, laisse les verbiages et cite un hadith sahih avec les paroles exactes du Messager qui interdiraient cela. J'ai plus haut montré que jamais le Messager n'a abrogé cela, et cité des hadiths montrant que les Sahabas ont pratiqué cela jusqu'à l'époque de Umar ibn al-Khattab et que c'est lui qui l'a interdit. Ce n'est pas en répétant : on m'a toujours affirmé le contraire que tu changeras les faits : le Prophète n'a jamais interdit le mariage mut'a. Au contraire il l'a recommandé au moins deux fois, une première fois à Khaybar en l'an VII et une seconde fois à la prise de la Mecque, un an plus tard en l'an VIII.
 
Dernière édition:
Il n'y a aucune agression cher monsieur juste une correction de ce que vous propagez ici et qui ne ressemble à rien d'islamique!

Alors il est de mon devoir de rappeler aux lecteurs et aux bladinautes encore une fois que :

le Mutaa est illicite chez les sunnites et sans aucune divergence des 4 madhabs et ce jusqu'à la fin des temps et cette interdiction date du vivant du Prophète Saws après l'avoir autorisé il est vrai ponctuellement dans un contexte bien précis!

et que

la so do mie est haram dans les 3 religions !


Après vous faites ce que vous voulez avec les femmes de votre famille à tous les niveaux mais vous n'avez aucun droit de propager vos salades perverses...

Les femmes musulmanes ne sont pas des animaux monsieur prizma ni des prostitués à mutaa...

Après qu'une femme accepte contre une dot de se faire sauter dans un hôtel pour 2 ou 3 h celà se fait en Iran et même avec des travelos d'ailleurs mais dans le sunnisme celà ne peut exister! ces femmes peuvent se convertir au chiisme hein pour avoir du sexe...



@Drianke. Le sujet c'est pas le sunnisme, c'est la sunnah. Cite une parole émanant du Prophète, ou cesse d'agresser les intervenants.
 
Tu démontre toi-même que tu parles sans preuve. Tous les lecteurs voient que tu es clairement incapale de citer une parole exacte du Messager interdisant le mariage mut'a.

Les prostituées, ce sont les personnes qui prostituent leur raison à une idéologie aveuglément. Salam.

P.S. : Voici les paroles exactes du Messager pour ses troupes à Khaybar et à la Mecque :

1. Ali ibn abi Talib a rapporté qu'à Khaybar, le Messager a dit aux Sahabas ayant contracté sur son ordre des mariages mut'a : "N'arrosez pas le sperme d'un autre".

2. Sabra al-Juhani cité les paroles exactes du Messager depuis le retours de la Mecque, du Prophète aux Sahabas qui avaient, sur son ordre contracté des mariages temporaires : "Que ceux qui ont contracté un mariage temporaire se séparent des femmes, et ne reprennent pas la dot qu'ils ont donnée."

3. Jaber rapporte : "Du temps du Prophète et d'abu Bakr, nous consommions nos mariages de jouissance pour une poignée de dattes ou de farine. Cela dura jusqu'au temps de Umar, qui interdit cela après l'incident d'Amr ibn Hurays." Amr ibn Hurays avait laissé une femme enceinte lors d'un mariage de jouissance, et celle-ci vint se plaindre chez Umar pour sa reconnaissance par Amr. Comme elle n'avait aucun témoin, Umar interdit le mariage de jouissance qui prêtait à une ambiguïté. Et dit que désormais toute personne qui vient et ne peut prouver qu'elle n'a pas commise d'adultère avec des témoins serait lapidée. (Muslim, Nikah.)
 
Dernière édition:
Les paroles :

1. "N'arrosez pas le sperme d'un autre homme."

- Ali a interprété cela comme l'interdiction du mariage mut'a. Or, c'est le Messager qui avait commandé cela aux Sahabas, qui avaient demandé pour se castrer. Il parlait de copuler avec des femmes enceintes. Lui-même avait couché avec Safiyya le lendemain de la mort de son époux, dont la trace d'une gifle qu'il lui avait donnée au lit avait même attiré l'attention du Messager.

2. "Que ceux qui ont contracté un mariage temporaire se séparent des femmes, et ne reprennent rien de la dot qu'ils ont donnée."

- Umar ibn abd el Aziz a interprété ce commandement visant à rappeler ses troupes en quittant la Mecque comme une interdiction. Mais les Sahabas avaient abandonné le mut'a bien plus tard, quand Umar avait interdit cela.
 
Donc selon toi, le prophète a autorisé la prostitution 3 fois puis ça a été abrogé ? o_O
(Cor. 25,68) : "ceux qui ne s’adonnent pas à la fornication, car quiconque commet de tels péchés encourra la sanction de ses forfaits."

-- > Ce verset de la sourate Le Discernement est l'un des plus anciens prohibant la fornication près de 20 ans avant la prise de Khaybar. Soutenir que le Messager ne saurait pas discerner zina et nikah est également une insulte à sa sagesse et à sa mission.

Le Messager a dit - "Je suis venu parfaire le bon comportement."
 
فَمَا اسْتَمْتَعْتُم بِهِ مِنْهُنَّ فَاتُوهُنَّ أُجُورَهُنَّ

Accuser de prostitution :

Le hadith d’ibn Mas’ûd qui dit : « Nous partions en expédition militaire avec le Prophète sans avoir de femmes, nous lui demandâmes donc si l’on pouvait se castrer, il ne nous le permit pas mais il nous donna la permission de nous marier pour une durée temporaire en payant à l’aide de tissu. ». (Bukhari)


Ibn jarîr a rapporté que lorsque ‘Umar Ibn Alkhattab devint calife, il fît le discours suivant : « Le Prophète ( :saws ) nous a permis le mariage temporaire à trois occasions, puis l’interdit définitivement. Par Allah, je n’aurai écho d’une personne mariée qui y a recours sans que je ne la réprimande, à moins qu’elle ne m’apporte quatre témoins affirmant que le Prophète ( :saws) l’a rendu licite après l’avoir prohibé ; et je ne prendrai d’homme musulman (non marié) en flagrant délit de mariage temporaire, sans qu’il ne soit fouetté de cents coups,à moins qu’il ne m’apporte quatre témoins attestant que le Prophète ( :saws) l’a rendu licite après l’avoir prohibé. ».
 
(Cor. 25,68) : "ceux qui ne s’adonnent pas à la fornication, car quiconque commet de tels péchés encourra la sanction de ses forfaits."

-- > Ce verset de la sourate Le Discernement est l'un des plus anciens prohibant la fornication près de 20 ans avant la prise de Khaybar. Soutenir que le Messager ne saurait pas discerner zina et nikah est également une insulte à sa sagesse et à sa mission.

Le Messager a dit - "Je suis venu parfaire le bon comportement."

Mais alors concrètement quelle différence entre mut'a et zina (à part la dot) ?
 
Donc selon toi, le prophète a autorisé la prostitution 3 fois puis ça a été abrogé ? o_O


la raison de la permission de contracter ce type de mariage au début de l’Islam, elle est liée à la situation de grandes difficultés qu’éprouvaient les musulmans à se marier. Cette voie était pour eux un cas de nécessité, comme peut l’être la consommation de la bête morte pour celui qui ne trouve rien d’autre.Puis, Allah les combla de Ses bienfaits les sortant des ténèbres de l’ère préislamique vers la lumière de l’Islam, à tel point qu’ils purent s’en
passer.
 
la raison de la permission de contracter ce type de mariage au début de l’Islam, elle est liée à la situation de grandes difficultés qu’éprouvaient les musulmans à se marier. Cette voie était pour eux un cas de nécessité, comme peut l’être la consommation de la bête morte pour celui qui ne trouve rien d’autre.Puis, Allah les combla de Ses bienfaits les sortant des ténèbres de l’ère préislamique vers la lumière de l’Islam, à tel point qu’ils purent s’en
passer.

Va dire ça à l'auteur du topic qui est frustré sexuellement en partie parce qu'il n'a pas un rond.
 
Mais alors concrètement quelle différence entre mut'a et zina (à part la dot) ?
Si j'achète une maison à disons 300.000 €, et le revend à toi sur disons 20 ans avec un bénéfice de 45%, cela change quoi par rapport à ce cas suivant où je te le revends sur 20 ans avec des intérêts pour un montant fixe de 45% ? C'est l'intention qui change bien-sûr.
 
Si j'achète une maison à disons 300.000 €, et le revend à toi sur disons 20 ans avec un bénéfice de 45%, cela change quoi par rapport à ce cas suivant où je te le revends sur 20 ans avec des intérêts pour un montant fixe de 45% ? C'est l'intention qui change bien-sûr.

Disons que je ne suis pas fixé sur ce qu'est le riba.
 
Disons que je ne suis pas fixé sur ce qu'est le riba.
Si la dot est comparée au salaire d'une prostituée dans le mariage de jouissance, alors devrait-on qualifier le mariage islamique en général comme le payement cash d'une prostituée privée ? Cela existe aussi.

(Cor. 2,275) : " Ceux qui mangent de l'usure ne se tiennent (au jour du Jugement dernier) que comme se tient celui que le toucher de Satan a bouleversé. Cela, parce qu' ils disent : "Le commerce est tout à fait comme l' intérêt". Alors qu' Allah a rendu licite le commerce, et illicite l'intérêt."
 
Si la dot est comparée au salaire d'une prostituée dans le mariage de jouissance, alors devrait-on qualifier le mariage islamique en général comme le payement cash d'une prostituée privée ? Cela existe aussi.

Une dot pour un mariage censé durer dans le temps et programmé pour fonder une famille n'a rien à voir avec le fait de payer pour "tirer un coup" pardonne-moi l'expression mais c'est ça !
 
Une dot pour un mariage censé durer dans le temps et programmé pour fonder une famille n'a rien à voir avec le fait de payer pour "tirer un coup" pardonne-moi l'expression mais c'est ça !
Non. Cela n'est pas vrai non plus, puisque dans ce cas là, il serait interdit de laisser libre sa femme esclave une fois qu'elle tombe enceinte du maître (umm walad). Alors, les relations sexuelles avec les captives serait du zina, puisque le but n'est pas de fonder une famille, étant donné que dès qu'elle tombe enceinte du maître, elle doit le quitter ? Le seul but des relation charnelles avec les femmes esclaves étant sexuel, et non dans le but de fonder une famille... Une captive devient libre dès qu'elle met au monde un bébé de son maître, en sorte qu'elle ne lui est plus licite.
 
:confused:o_O:confused:
autrement dit l homme se fait plaisir, loin de s'engager de faire sa vie avec cette femme, et si la femme tombe enceinte, il se dégage de toute responsabilité et l'abandonne seule avec leur enfant à leur triste sort. Elle l'était juste là pour une aventure sans lendemain. Si ce n'est pas de la zina masqué sous prétexte de contrat, je ne vois pas ce que cela pourrait être d'autre.
Tous les hadiths ne sont pas bon à prendre, à plus forte raison ceux qui tombent sous le sens et la morale.


Non. Cela n'est pas vrai non plus, puisque dans ce cas là, il serait interdit de laisser libre sa femme esclave une fois qu'elle tombe enceinte du maître (umm walad). Alors, les relations sexuelles avec les captives serait du zina, puisque le but n'est pas de fonder une famille, étant donné que dès qu'elle tombe enceinte du maître, elle doit le quitter ? Le seul but des relation charnelles avec les femmes esclaves étant sexuel, et non dans le but de fonder une famille... Une captive devient libre dès qu'elle met au monde un bébé de son maître, en sorte qu'elle ne lui est plus licite.
 
autrement dit l homme se fait plaisir, loin de s'engager de faire sa vie avec cette femme,
Non, en couchant avec lui c'est la femme qui se fait plaisir... Parcequ'elle est aussi une personne intègre, avec des émotions, des envies et des pulsions.

et si la femme tombe enceinte, il se dégage de toute responsabilité et l'abandonne seule avec leur enfant à leur triste sort. Elle l'était juste là pour une aventure sans lendemain. Si ce n'est pas de la zina masqué sous prétexte de contrat, je ne vois pas ce que cela pourrait être d'autre.
Tous les hadiths ne sont pas bon à prendre, à plus forte raison ceux qui tombent sous le sens et la morale.
Tu parles des captives ou du mariage temporaire là ? Si un homme a quatre épouses et cinquante captives, que fera-t-il à chaque fois qu'une esclave tombe enceinte, comme il ne peut pas avoir plus de quatre épouses ?

Le fait de laisser une captive ayant un enfant de son maître en esclavage, en laissant l'enfant maître de la mère serait-ce plus éthique ?
 
Dernière édition:
Non, en couchant avec lui c'est la femme qui se fait plaisir... Parcequ'elle est aussi une personne intègre, avec des émotions, des envies et des pulsions.

Oui si tu veux les deux

Tu parles des captives ou du mariage temporaire là ? Si un homme a quatre épouses et cinquante captives, que fera-t-il à chaque fois qu'une esclave tombe enceinte, comme il ne peut pas avoir plus de quatre épouses ?

Dans ce contexte je ne vois pas la différence à part un jeu de mot

Le fait de laisser une captive ayant un enfant de son maître en esclavage, en laissant l'enfant maître de la mère serait-ce plus éthique ?

Ah c'est donc faire preuve de générosité de libérer cette femme, parce qu 'elle est enceinte, moi qui pensait qu'il la chassé, vu son état, et la charge qu'elle porte, solution de lâche : la jeter comme un mouchoir qu on a plus besoin, mais puisque tu assure que c'est une question de générosité pourquoi n'a t il pas penser à la libérer avant qu elle ne tombe enceinte ?... alala l'hypocrisie dans toute sa splendeur.
 
Ah c'est donc faire preuve de générosité de libérer cette femme, parce qu 'elle est enceinte, moi qui pensait qu'il la chassé, vu son état, et la charge qu'elle porte, solution de lâche : la jeter comme un mouchoir qu on a plus besoin, mais puisque tu assure que c'est une question de générosité pourquoi n'a t il pas penser à la libérer avant qu elle ne tombe enceinte ?... alala l'hypocrisie dans toute sa splendeur.
Là on entre dans une autre problématique. Comme on a ici des sunnistes, des chiites, des coranistes...

L'esclavage en islam et le mariage de concubinat avec les femmes esclaves existe en islam. C'est bien de l'affranchissement de la captive après avoir mis au monde un enfant de son maitre dont je parlais. Comme l'enfant ne peut être à la fois libre et esclave, la maman devient libre par défaut.

Quant à la question de la légitimité éthique de l'esclavage, de la polygamie etc., cela tient de la conjoncture socio-anthropologique.

Si on vit dans une société ou les disparités entre les différentes classes sociales est profonde, dont certaines classes sont méprisés, vivent dans une grave précarité comme c'était le cas dans le Moyen-Age un peu partout, alors le statut d'esclavage est culturellement toléré. Le maitre nourrit, loge et commande l'esclave et cela cadre dans le contexte socio-économique.

Si les fossés entre les différentes classes sociales s'estompent et sont gommées, le statut en marge de la société des esclaves devient un malaise, qui conduit graduellement à leur émancipation. C'est ce qui s'est passé après la révolution industrielle, à mesure que les différentes classes sociales se sont financièrement rapprochées les unes des autres.

Le Coran n'ordonne pas la mise en esclavage , même si il le tolère... Or, il permet au Emir de ne plus mettre les ennemis en esclavage, et commande d'utiliser du bayt al-mal et de la zakat pour leur affranchissement systématique. Ainsi, si le Coran est appliqué scrupuleusement, l'esclavage devra naturellement disparaitre à mesure de la hausse globale du niveau de vie : c'est ce qui s'est passé.
 
Non. Cela n'est pas vrai non plus, puisque dans ce cas là, il serait interdit de laisser libre sa femme esclave une fois qu'elle tombe enceinte du maître (umm walad). Alors, les relations sexuelles avec les captives serait du zina, puisque le but n'est pas de fonder une famille, étant donné que dès qu'elle tombe enceinte du maître, elle doit le quitter ? Le seul but des relation charnelles avec les femmes esclaves étant sexuel, et non dans le but de fonder une famille... Une captive devient libre dès qu'elle met au monde un bébé de son maître, en sorte qu'elle ne lui est plus licite.

Parce que dans le mut'a, la femme est considérée comme esclave ???
 
Salam,

très bien, autrement dit cette pratique n est pas naît de l islam, les hadiths sur ces contrats de mariages temporaires, ou ces esclavage sont des simples faits historique d une tradition amené à disparaître par l arrivé de l islam. Il n est donc pas légitime de défendre aujourd'hui et apposer surtout ces traditions comme moeurs islamique.



Là on entre dans une autre problématique. Comme on a ici des sunnistes, des chiites, des coranistes...

L'esclavage en islam et le mariage de concubinat avec les femmes esclaves existe en islam. C'est bien de l'affranchissement de la captive après avoir mis au monde un enfant de son maitre dont je parlais. Comme l'enfant ne peut être à la fois libre et esclave, la maman devient libre par défaut.

Quant à la question de la légitimité éthique de l'esclavage, de la polygamie etc., cela tient de la conjoncture socio-anthropologique.

Si on vit dans une société ou les disparités entre les différentes classes sociales est profonde, dont certaines classes sont méprisés, vivent dans une grave précarité comme c'était le cas dans le Moyen-Age un peu partout, alors le statut d'esclavage est culturellement toléré. Le maitre nourrit, loge et commande l'esclave et cela cadre dans le contexte socio-économique.

Si les fossés entre les différentes classes sociales s'estompent et sont gommées, le statut en marge de la société des esclaves devient un malaise, qui conduit graduellement à leur émancipation. C'est ce qui s'est passé après la révolution industrielle, à mesure que les différentes classes sociales se sont financièrement rapprochées les unes des autres.

Le Coran n'ordonne pas la mise en esclavage , même si il le tolère... Or, il permet au Emir de ne plus mettre les ennemis en esclavage, et commande d'utiliser du bayt al-mal et de la zakat pour leur affranchissement systématique. Ainsi, si le Coran est appliqué scrupuleusement, l'esclavage devra naturellement disparaitre à mesure de la hausse globale du niveau de vie : c'est ce qui s'est passé.
 
Parce que dans le mut'a, la femme est considérée comme esclave ???
Mais non. Je répondais à l'objection qu'entretenir des relations sexuelles sans souhaiter fonder une famille rendrait le mariage mut'a contraire à l'éthique coranique en montrant l'exemple des umm walad qui deviennent affranchies dès qu'elles mettent au monde un bébé de leurs maitres. Si donc le mut'a doit être tenu pour anti-coranique pour cette raison, il devrait aussi être interdit de contracter des mariages de concubinat avec des esclaves en sachant qu'une fois avoir eu un enfant commun avec elle, elle deviendra libre par les liens de sang avec son maitre et donc sera interdite sexuellement à son ex-maitre.
 
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