qql a t il vu "les particules élémentaires"?
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l-kzawi
"Ta main sur lui" product
Le premier film en VO (depuis les yeux secs) où j'ai pas eu besoin de lire les sous-titrageunbreakable a dit:
Excellent film, n'étant pas un grand fan des films égyptiens j'ai été agréablement surpris par la qualité du film (on ne sens pas passer les 2h56.....), j 'ai été également agréablement surpris par le nombre de non-arabophone présents dans la salle (des fois il y avait du rigolage à retardement....
)les yeux secs --> un film que j'aurais bien aimé voir...
sinon, en terme de sorties de films au ciné, il y a "love song" à partir du 13/09 qui a l'air pas mal...une phrase d'accroche pas mal ds l'affiche qui parle de rencontres, de destin...
bref, il a l'air pas mal.
sinon, en ce moment, il y en a un que j'ai envie de voir, "les particules élémentaires"...
sinon, en terme de sorties de films au ciné, il y a "love song" à partir du 13/09 qui a l'air pas mal...une phrase d'accroche pas mal ds l'affiche qui parle de rencontres, de destin...
bref, il a l'air pas mal.
sinon, en ce moment, il y en a un que j'ai envie de voir, "les particules élémentaires"...
l-kzawi a dit:Le premier film en VO (depuis les yeux secs) où j'ai pas eu besoin de lire les sous-titrage
Excellent film, n'étant pas un grand fan des films égyptiens j'ai été agréablement surpris par la qualité du film (on ne sens pas passer les 2h56.....), j 'ai été également agréablement surpris par le nombre de non-arabophone présents dans la salle (des fois il y avait du rigolage à retardement....
super!!!
on s'échangera les critiques alors
on s'échangera les critiques alors
l-kzawi a dit:Je le conseille ! trés émouvant comme film
J ai vu la bande annonce hier et il est vrai que ca donne envie d'aller le voir (donc certainement j irais le voir.....
khanfous a dit:
Lun des meilleurs seconds rôles de lhistoire du cinéma : Bencio del Torro ..jai des frissons quand je me rappelle de sa prestation dans ce film ..
nanouche a dit:
Justement ,c’est ce que j’ai fais : un pull et au dessus une jellabah berbère, et j’ai encore des frissons…..:langue: à propos de pull et de frissons, je me rappelle que la dernière scène de ce film était un plan magnifique où il neigeait, comme si le ciel et la couleur blanche de la neige pardonnait les erreurs commises par les personnages de ce film….quand je suis sorti de la salle, il neigeait dehors, comme c’était le prolongement du film…j’avais l’impression en un laps de temps, tellement j’ai apprécié le film, que j’en faisais partie….
Il faut que j’arrête de prendre des drogues aussi avant d’aller voir des films…….
je ne te dirai qu'une seule chose : FAIS TOURNERRRRnancy3ajram a dit:Justement ,c’est ce que j’ai fais : un pull et au dessus une jellabah berbère, et j’ai encore des frissons…..:langue: à propos de pull et de frissons, je me rappelle que la dernière scène de ce film était un plan magnifique où il neigeait, comme si le ciel et la couleur blanche de la neige pardonnait les erreurs commises par les personnages de ce film….quand je suis sorti de la salle, il neigeait dehors, comme c’était le prolongement du film…j’avais l’impression en un laps de temps, tellement j’ai apprécié le film, que j’en faisais partie….
Il faut que j’arrête de prendre des drogues aussi avant d’aller voir des films…….
unbreakable a dit:
J’ai vu le film et mon jugement est assez mitigé par rapport à la qualité de cette adaptation du roman de Houellebecq…..rendre au cinéma l’intelligence, la férocité, le pessimisme et le caractère « vitriolé » et incisif de l’œuvre de Houellebecq est une vrai défi, que ce film n’a pas pu relever , malgré une grande prestation de l’acteur qui jouait le rôle de Bruno….le film est alourdi par beaucoup de flash back, des tirades tronçonnées du roman, qui ressemblent le plus à des commentaires de beaufs dans un bistrot…Néanmoins, le film a réussi à transposer au cinéma certains thèmes chers à Houellebecq et à reproduire les errements de ses personnages…..
D’abord, l’individualisme, ce poison qui mine les sociétés occidentales et les menace d’éclatement et de désintégration de ce qui reste de liens sociaux. Tous le personnages d’Houellebecq sont des types simples, le genre de voisin solitaire que l’on croise fortuitement dans l’ascenseur, sans rien savoir de plus sur sa vie. ils sont atomisés et dépourvus de tout liens familiaux. Ils sont souvent les enfants de parents issus de la génération des soixante-huitards, objet de toute la haine et du mépris d’Houellebecq. Ces parents, symbole d’une idéologie féministe, individualiste et hédoniste, qui sont chargés de toutes les erreurs et les tares de la société et qui subissent des fins épouvantables dans la solitude et l’ignorance. Bruno, dans le film , boit, danse et chante devant l’agonie de sa mère, symbole d’une féministe hippie qui sacrifie sa vie de famille sur l’autel de sa liberté individuelle et sexuelle. Et sur ce point là, Houellebecq est un vrai réactionnaire.
Ensuite, la misère sexuelle qui caractérise notre monde. La plus grande inégalité dans les romans de Houellebecq n’est pas d’ordre matériel ou économique mais elle est sexuelle. Théoriquement, en Occident, tout le monde a la pouvoir de baiser à satiété, avec un seul partenaire ou avec un nombre infini de personnes, sans recourir à la prostitution. la libération sexuelle a crée cette illusion d ‘un troc où « l’ offre est équivalente sinon supérieure à la demande ». mais dans les romans d’Houellebecq, les personnages vivent dans un désert sexuel et dans une frustration permanente. L’un des personnages des « particules élémentaires » traînent toujours dans son sac des préservatifs, sans jamais s’en servir, tout en étant convaincu qu’il en aura recours d’un moment à l’autre, car le sexe est dans l’air. C’est pour cela que les personnages de ses romans ont recours à des « prestataires sexuels » ( le tourisme sexuel dans « Plateforme » les boites échangistes dans « les particules élémentaires » ou la prostitution dans « la possibilité d’une île »). Le sexe est la chose la plus inégalement répartie au monde, dans les romans d’Hoeullebecq.
Les personnages d’Houellebecq, comme la race humaine, semblent être condamnés à des bonheurs rapides et fugaces. Une malédiction les frappe et les empêche de vivre heureux quand ils croient que finalement ils ont trouvé le bonheur. Dans ses romans, les personnages centraux trouvent, après une logue errance, un objet d’amour, autre qu’un chien ou une perruche à adopter. Un être humain, avec lequel le protagoniste « houelebequien»est en phase, d’abord sexuellement et par la suite sentimentalement, mais cet être disparaît brusquement et violemment. Dans « Plateforme » , Valérie, est tuée lors d’un attentat terroriste et dans « les particules élémentaires » Christiane se suicide. « Notre malheur n'atteint son plus haut point que lorsque a été envisagée, suffisamment proche, la possibilité pratique du bonheur. », cette phrase, dans « les particules élémentaires » résume cet aspect de la vision pessimiste d’Houllebecq du monde et du bonheur…
fallait pas dire la fin
mis à part ça, un film pour moi, comme je les aime
à voir et à lire par la suite tiens...
mis à part ça, un film pour moi, comme je les aime
à voir et à lire par la suite tiens...
nancy3ajram a dit:
unbreakable a dit:
Le roman est plus intéressant et plus profond commence par la lecture ..
l-kzawi a dit:Derti b7ale moulate lpile flmaghrib mnine matadewerche m3aha
mdrrrr wa nsit rassi wellah.....
si je commence par la lecture, je serais probablement déçue par le film...
je préfère garder le meilleur pour la fin, logique d'esprit......
je préfère garder le meilleur pour la fin, logique d'esprit......
nancy3ajram a dit:
l-kzawi
"Ta main sur lui" product
ana hanya tu n'as pas encore enlevé le charme du film pour moi (ma tanf8emche lfrancaisnancy3ajram a dit:
)Et mm quand je connais le dénouement final du film j arrive à faire abstraction de ça et je peux regarder tranquillement le film !
P.S : Pour moulate lpile gale lik mnine daz KILL BILL 2 flamghrib galete lchi wahed ra KILL BILL ghadi mate flekher dyale lfilm
Dernier film vu : « quand jétais chanteur » avec Gérard Depardieu et la ravissante Cécile de France ( je kiffe trop cet actrice)
probablement , la meilleure prestation de Gégé Depardieu depuis des années : fragile, vulnérable et en plus il chante très bien dans ce film
chapeau lartiste
