[Coin Cinéma: pour tous les cinéphiles]

J'ai été le voir vendredi soir, et pareil j'ai beaucoup aimé.
C'est tout le Paris que j'aime... celui qu'on viste et qui nous fait passer d'un quartier à un autre, ne serait ce qu'en se baladant... le nez au vent.
D'ailleurs, ce we était parfait pour ça..

C'est drôle justement ce film m'avait bcp fait pensé à toi... cette ville où les destins se croisent et s'enchaînent les uns aux autres comme les rues qui se croisent en carrefours, et les places, nombreuses, qui sont des lieus de convergence(s).
 
Mddrrr la sauce marocaine... un mélange de mayo, de sauce barbec' et de sauce samourai:D.

ps: un film qui te plairait peut etre et que j'ai envie d'aller voir, c'est "le cahier" (http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=132090.html)... il passe ds une petite salle derrière le centre Pompidou... donc au choix, si on a le temps on peut programmer ça avec la balade qui va avec incha3Allah...;-)


Du grand n'importe quoi, t'as pas idée :rolleyes:

Deal, 2008 sera l'année de mon retour dans les salles parisiennes :D
 
Romain Duris, très beau et très touchant, jusque ds sa façon de respirer... par contre, un tue-l'amour...il n'a vraiment pas de belles mains:langue:.

Pour parler du film, J'ai adoré la façon qu'a eu ce film de mêler les opposés et de les rendre accessibles les uns aux autres, le temps d'une ville, pour ne pas dire d'un instant.
Je me suis promené en long et en large ce we dans ce Paris filmé... qui a du charme la nuit, tout en couleur, et le jour tout en noir et blanc...

Le jour, où une infinie diversité flâne au milieu de tout un tas d'autres.

J'ai apprécié comme dès le début du film, on proposait de rendre accessible le savoir d'un historien et le coeur de cette ville à tt un tas de badauds sans même alimenter un côté "bobo" ou "élitiste".
Paris ou cette carte en noir et blanc à ce Noir d'Afrique, ou encore ce marchand à cette mannequin apprêtée... tout n'a été que ds ces contraires qui "naturellement", sans mm choquer, se sont retrouvés liés.. comme si tout était possible à .......Paris.

Le vieux et la jeune, le malade et la danseuse, l'endurcie à l'endeuillé...

Ils ne se rendent pas compte tous... comme ils ont de la chance.
En effet, on est jeunes, on marche, on respire, on a un oceur, on n'est pas mauvais, on ne pense pas que le monde tourne autour de nous ou des qql livres que l'on a lus... on savoure et on apprécie avec une simplicité infinie ce que cette ville nous offre.

Et on marque la différence.


C'est drôle justement ce film m'avait bcp fait pensé à toi... cette ville où les destins se croisent et s'enchaînent les uns aux autres comme les rues qui se croisent en carrefours, et les places, nombreuses, qui sont des lieus de convergence(s).
 
Romain Duris, très beau et très touchant, jusque ds sa façon de respirer... par contre, un tue-l'amour...il n'a vraiment pas de belles mains:langue:.
Yark t'as vu ca, moi ca m'a cassé un peu dans mon élan j'avoue :eek:

Pour parler du film, J'ai adoré la façon qu'a eu ce film de mêler les opposés et de les rendre accessibles les uns aux autres, le temps d'une ville, pour ne pas dire d'un instant.
Je me suis promené en long et en large ce we dans ce Paris filmé... qui a du charme la nuit, tout en couleur, et le jour tout en noir et blanc...

Le jour, où une infinie diversité flâne au milieu de tout un tas d'autres.

J'ai apprécié comme dès le début du film, on proposait de rendre accessible le savoir d'un historien et le coeur de cette ville à tt un tas de badauds sans même alimenter un côté "bobo" ou "élitiste".
Paris ou cette carte en noir et blanc à ce Noir d'Afrique, ou encore ce marchand à cette mannequin apprêtée... tout n'a été que ds ces contraires qui "naturellement", sans mm choquer, se sont retrouvés liés.. comme si tout était possible à .......Paris.

Le vieux et la jeune, le malade et la danseuse, l'endurcie à l'endeuillé...

Ils ne se rendent pas compte tous... comme ils ont de la chance.
En effet, on est jeunes, on marche, on respire, on a un oceur, on n'est pas mauvais, on ne pense pas que le monde tourne autour de nous ou des qql livres que l'on a lus... on savoure et on apprécie avec une simplicité infinie ce que cette ville nous offre.

Et on marque la différence.

J'ai bcp aimé aussi la façon dont les personnages se regardent: à travers des fenêtres, souvent à la dérobée, assis dans un café à qq tables d'intervalle ou avec une longue vue, de la Tour Eiffel à la Tour Montparnasse. Souvent c'est une vue plongeante, on regarde de haut en bas, on épie l'autre sans lui donner à nous voir, on épie Paris de la même façon. Et seulement à la fin on a cette vue ascendante, du bas vers le ciel, ou on se regarde soi-même, soi-même ouvert à l'immensité.
 
Je ne suis donc pas la seule à avoir remarqué ça :langue:

Concernant les vues plongeantes... tout à fait d'accord... d'ailleurs, il faut visiter Paris et passer ds ces endroits pour capter cette intimité un "peu plus"...
Donc à ton passage sur Paris, je te conseile l'Ecritoire, mais je te déconseille la tarte tatin là bas:(... juste le chocolat chaud:rouge:
Yark t'as vu ca, moi ca m'a cassé un peu dans mon élan j'avoue

J'ai bcp aimé aussi la façon dont les personnages se regardent: à travers des fenêtres, souvent à la dérobée, assis dans un café à qq tables d'intervalle ou avec une longue vue, de la Tour Eiffel à la Tour Montparnasse. Souvent c'est une vue plongeante, on regarde de haut en bas, on épie l'autre sans lui donner à nous voir, on épie Paris de la même façon. Et seulement à la fin on a cette vue ascendante, du bas vers le ciel, ou on se regarde soi-même, soi-même ouvert à l'immensité.
 
Je ne suis donc pas la seule à avoir remarqué ça :langue :

Concernant les vues plongeantes... tout à fait d'accord... d'ailleurs, il faut visiter Paris et passer ds ces endroits pour capter cette intimité un "peu plus"...
Donc à ton passage sur Paris, je te conseile l'Ecritoire, mais je te déconseille la tarte tatin là bas: (... juste le chocolat chaud:rouge :

Mmmmhhh chocolat chaud... on me prend par les sentiments :cool:
PS: big UP pour la scène où Fabrice Lucchini danse :D elle est terrible :D
 
Exactement!!! J'ai adoré sa fçon à lui de danser, ainsi que son mélo chez le psy... j'adore ce type.

ps: les appartements en face de la BNF, qu'est ce qu'ils sont beaux...

NB: je n'ai pas du tt aimé les personnages de la nana qui bosse au marché et du type qui la prend par les jambes à un moment, mimant une brouette ou je ne sais quoi.
Ce sont les deux seuls personnages que j'ai trouvé grossiers et pas du tt touchants... je dirai juste "dérageants".
Mmmmhhh chocolat chaud... on me prend par les sentiments :cool:
PS: big UP pour la scène où Fabrice Lucchini danse :D elle est terrible :D
 
Exactement!!! J'ai adoré sa fçon à lui de danser, ainsi que son mélo chez le psy... j'adore ce type.

ps: les appartements en face de la BNF, qu'est ce qu'ils sont beaux...

NB: je n'ai pas du tt aimé les personnages de la nana qui bosse au marché et du type qui la prend par les jambes à un moment, mimant une brouette ou je ne sais quoi.
Ce sont les deux seuls personnages que j'ai trouvé grossiers et pas du tt touchants... je dirai juste "dérageants".

Oui exactement... leur vulgarité ca m'a...
mais peut-être que c'est aussi ca: il y a ce côté beau, romantique, historique et profond de Paris, et il y a cette vulgarité (de la même facon que les deux pesonnages que tu évoques il y a ces 4 filles BCBG qui se tapent un délire après une soirée arrosée au marché, en particulier la fille aux cheveux longs qui va se taper le mec dans le frigo des viandes)
 
Paris chic, Paris choc. Délichoc (pour les amatrices de chocolat sur biscuit). Vu du ciel, vu du sol. Sol en si. Si maman si ... si Paris.

Ce sera ma contribution du jour.
 
Justement les nanas qui passent d'un défilé à Rungis... ce n'est pas que ça m'a pas dérangé, mais sans plus.
Ces personnages, bien sûr, avaient bien moins de sympathie de ma part que Lucchini par exemple. Mais elles ne m'ont pas dérangées.

Tandis que la scène ds ce resto avec ce mime de la "brouette", et ces deux personnages... m'agaçaient.
Oui exactement... leur vulgarité ca m'a...
mais peut-être que c'est aussi ca: il y a ce côté beau, romantique, historique et profond de Paris, et il y a cette vulgarité (de la même facon que les deux pesonnages que tu évoques il y a ces 4 filles BCBG qui se tapent un délire après une soirée arrosée au marché, en particulier la fille aux cheveux longs qui va se taper le mec dans le frigo des viandes)
 
oui je suis d'accord ca se laisse regarder, mais je trouve insuportable kan les gars ils trouvaient toujours des énigmes super compliquées et tirées par les cheuveux come s'il s'agissait de devinettes carambar....mais a part ca les lieux visités sont de toute beauté :roug e:

le truc qui énerve dans benjamin gates, c'est qu'on a même pas le temps de réfléchir que lui il a déjà résolu lénigme :eek:

par contre la scène avec les flics français ma trop fait rire :D
 
alors tu l'as vu ou pas zaza?? je l'ai vu y'a un moment déjà et j'avias adoré .. bon là j'ai envie de voir "there will be blood"

pazencor :rouge:
je n'ai eu ni le temps ni la concentration necessaire pour le voir mon pti hopkins ....


J'ai vu ces quelques films dernièrement: "Lust Caution": j'ai pas vraiment accroché;
"Juno": frais, pétillant, fin et drôle. La BO est également très sympa.
"Le voyage du ballon rouge" avec la magnifique Juliette Binoche: un film pas comme les autres, mais très touchant voire apaisant.
Et enfin "Redacted", De Palma frappe fort: un film déconcertant et qui amène à réfléchir...
je ne sais pas dans ce film mais moi j.binoche souvent elle me deprime meme si elle est excellente, elle a un visage d'ange deprimant :)
 
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