Pirouettete
杜妮娅
"Ahhay 3la krichtek ya moto moto ! hotty hotty bdouk jouj zgheebate 3la sedrek I LOVE YOUR ZESTINESS!!!! "
Tiré de Madagascar 2
Tiré de Madagascar 2
[Coin Cinéma: pour tous les cinéphiles]
- Initiateur de la discussion de-passage
- Date de début
"Ahhay 3la krichtek ya moto moto ! hotty hotty bdouk jouj zgheebate 3la sedrek I LOVE YOUR ZESTINESS!!!! "
Tiré de Madagascar 2
c'était en version darija ?
Pirouettete
杜妮娅
Pirouettete
杜妮娅
ton lien n'est pas le bon
Pirouettete
杜妮娅
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Nom de famille miloudi
Profession gendarmi
Position el walidiya
Ou chemss àatia
Un signe particulier
Une moustache mal lav�e
fiha chwiya del bessla
Ou lmarqa dial leghda
miloudi aujourd'hui khassou i mchi l asfi
i tssenet l chaabi
7et qar�a d whisky
donc miloudi aujourd'hui baghi chkoune i grissi
miloudi aujourd'hui khassou chkoune i grissi
miloudi miloudi miloudi miloudi
ach derti ya miloudi
Soudain un miracle passe
Jolie Renault espace
saygha zmagri
Immatriculèe à Paris
�kounti ghadi b sour�a
cheddek radar a khouya
àtini wriqate siyyara
oula tlaq chi baroke daba
Le zmagri paye l'impôt
Pour le pot du poivrot
ou mratou gawriya
matefhamch àarabiya
Mais qu'est ce qui s'est passé ?
Avec ce policier
Est ce que tu roulais trop vite ?
Wa hia abdel moughit
Attends j'ai pas raison j'ai pas tort
Y a ke la loi du plus fort
Ici tu mords ou je te mords
Maintenant toi ta gueule et dors !
miloudi miloudi miloudi miloudi
ach derti ya miloudi
http://www.youtube.com/watch?v=B002RgWQX7s&eurl=http://www.bladi.info/156588-i-love-miloudi/
le nouveau russe et braveheart
Two lovers, comment jai oublié de parler de ce film
pourtant, sil y a un film à voir en cette fin dannée ( avec le dernier film des Fréres Coen, bien sûr) ça sera celui là
..beau, bouleversant, romantique sans niaiserie ni volonté bête de soutirer des larmes comme dans la plupart de ce genre de films
.
Il y a dabord le réalisateur, James Gray. Un parcours sans faute. quatre films au compteur et 4 chefs duvre. « La nuit nous appartient » et « The yards » étaient des drames shakespeariens, où les personnages sont placés devant des dilemmes moraux, Two Lovers, est également une histoire de dilemmes, mais cette fois, sur les vicissitudes du cur et ses balancements. Lamour ou la raison ? La passion ou la logique ? le feu qui incendie le cur ou la baume qui apaise lâme ?. le début du film est improbable avec des adultes qui sont pris dans des histoires de cur dados, mais après, ça se densifie, ça sintensifie, et ça devient une bourrasque qui emporte tout sur son passage. Les plus cinéphiles reconnaitront des clins dil à Hitchcock (fenêtre sur cour) et à Lynch
Et après, il y a Joaquin Phoenix, lempereur maximus dans gladiateur, le Johnny Cash dans Walk The lien, et acteur fétiche de James Gray. Il est exaspérant cet acteur de talent et de beauté. Cest ma jalousie dhomme qui parle à force de voir des femmes sextasier devant lui. Et comme il ne fait jamais les choses comme les autres acteurs, il décide de se retirer du cinéma, pourtant au sommet de sa gloire, pour se consacrer à la musique, et ça, il na pas le droit de le faire
pourtant, sil y a un film à voir en cette fin dannée ( avec le dernier film des Fréres Coen, bien sûr) ça sera celui là
..beau, bouleversant, romantique sans niaiserie ni volonté bête de soutirer des larmes comme dans la plupart de ce genre de films
.Il y a dabord le réalisateur, James Gray. Un parcours sans faute. quatre films au compteur et 4 chefs duvre. « La nuit nous appartient » et « The yards » étaient des drames shakespeariens, où les personnages sont placés devant des dilemmes moraux, Two Lovers, est également une histoire de dilemmes, mais cette fois, sur les vicissitudes du cur et ses balancements. Lamour ou la raison ? La passion ou la logique ? le feu qui incendie le cur ou la baume qui apaise lâme ?. le début du film est improbable avec des adultes qui sont pris dans des histoires de cur dados, mais après, ça se densifie, ça sintensifie, et ça devient une bourrasque qui emporte tout sur son passage. Les plus cinéphiles reconnaitront des clins dil à Hitchcock (fenêtre sur cour) et à Lynch
Et après, il y a Joaquin Phoenix, lempereur maximus dans gladiateur, le Johnny Cash dans Walk The lien, et acteur fétiche de James Gray. Il est exaspérant cet acteur de talent et de beauté. Cest ma jalousie dhomme qui parle à force de voir des femmes sextasier devant lui. Et comme il ne fait jamais les choses comme les autres acteurs, il décide de se retirer du cinéma, pourtant au sommet de sa gloire, pour se consacrer à la musique, et ça, il na pas le droit de le faire
a9choute
en vacances enfin!
Two lovers, comment jai oublié de parler de ce film
Il y a dabord le réalisateur, James Gray. Un parcours sans faute. quatre films au compteur et 4 chefs duvre. « La nuit nous appartient » et « The yards » étaient des drames shakespeariens, où les personnages sont placés devant des dilemmes moraux, Two Lovers, est également une histoire de dilemmes, mais cette fois, sur les vicissitudes du cur et ses balancements. Lamour ou la raison ? La passion ou la logique ? le feu qui incendie le cur ou la baume qui apaise lâme ?. le début du film est improbable avec des adultes qui sont pris dans des histoires de cur dados, mais après, ça se densifie, ça sintensifie, et ça devient une bourrasque qui emporte tout sur son passage. Les plus cinéphiles reconnaitront des clins dil à Hitchcock (fenêtre sur cour) et à Lynch
Et après, il y a Joaquin Phoenix, lempereur maximus dans gladiateur, le Johnny Cash dans Walk The lien, et acteur fétiche de James Gray. Il est exaspérant cet acteur de talent et de beauté. Cest ma jalousie dhomme qui parle à force de voir des femmes sextasier devant lui. Et comme il ne fait jamais les choses comme les autres acteurs, il décide de se retirer du cinéma, pourtant au sommet de sa gloire, pour se consacrer à la musique, et ça, il na pas le droit de le faire
il ne me tente pas ce film. en tout cas, je n'irai pas le voir au ciné. justement à cause du coté en souligné plus haut. mais l'allusion à Hitchkock merite d'être soulignée.
je vais matté au bout de la nuit lol
blablote
Blédarde...mais bourge!
Il a fallu courir pour voir ce film...
Haletante, migraineuse...La future jouissance d'un bon film m'anesthésiait...Je tendais de toute mon âme à une future petite mort, aprés tant de déceptions en salle obscure...
"Mascarade" du réalisateur Algérien Lyes Salem...où l'art de tourner en dérision les travers d'une société patriarcale et le besoin inégalable des Maghrébins de l'ostentation.
Cette petite histoire sans prétention se déroule dans un bled perdu de l'Algérie. Si paumé et tombé dans l'oubli qu'on n'en saura jamais le nom. A la vulgarité des constructions sauvages s'oppose la beauté de paysages arides et ensoleillés. Mais le sublime du film ne réside pas là...Les habitants. Un petit conglomérat de mauvaises langues, de petites crapules, justifiant leur petite vie par l'intérêt vicieux qu'ils portent à la vie des autres...
D'où le malheur de Mounir (rôle campé par le réalisateur). Le "bouffon" du village, l'objet de toutes les railleries, la femmelette. Son affliction porte un prénom: Rym, sa soeur...narcoleptique.
A l'image de nos sociétés bien pensantes, quiconque portant un malheureux handicap se verra irrémédiablement évincé du rang des gens heureux et donc des veinards mariables. Indiscutablement, Rym est vouée au célibat ad vitam aeternam. L'orgueil et la fierté bafoués, Mounir tentera de bousculer les certitudes et titubant sous l'emprise d'une alcoolémie historique, il criera sur la place du village qu'il a donné la main de sa soeur à un milliardaire étranger, blanc, blond...
De ce mensonge naîtra la mascarde, un défilé de chacals opportunistes, des témoignages d'allégeance...et le coming-out tant attendu de Khaliffa, l'amoureux transi et non moins caché et pusillanime de Rym...
.
.
Oh!
Vous ne voudriez pas que je vous raconte la fin quand même!.
.
Yallah, je vous livre un tout petit détail final...
Au générique de fin, des youyous ont résonné dans la salle de cinéma. Des têtes Françaises brusquement acculées à leur réflexe de touriste se sont retournées...cherchant, le sourire au coin des lévres, ces indigènes en mal du bled...
Ah ces Arabes!. Faut toujours qu'ils se fassent remarquer...
Haletante, migraineuse...La future jouissance d'un bon film m'anesthésiait...Je tendais de toute mon âme à une future petite mort, aprés tant de déceptions en salle obscure...
"Mascarade" du réalisateur Algérien Lyes Salem...où l'art de tourner en dérision les travers d'une société patriarcale et le besoin inégalable des Maghrébins de l'ostentation.
Cette petite histoire sans prétention se déroule dans un bled perdu de l'Algérie. Si paumé et tombé dans l'oubli qu'on n'en saura jamais le nom. A la vulgarité des constructions sauvages s'oppose la beauté de paysages arides et ensoleillés. Mais le sublime du film ne réside pas là...Les habitants. Un petit conglomérat de mauvaises langues, de petites crapules, justifiant leur petite vie par l'intérêt vicieux qu'ils portent à la vie des autres...
D'où le malheur de Mounir (rôle campé par le réalisateur). Le "bouffon" du village, l'objet de toutes les railleries, la femmelette. Son affliction porte un prénom: Rym, sa soeur...narcoleptique.
A l'image de nos sociétés bien pensantes, quiconque portant un malheureux handicap se verra irrémédiablement évincé du rang des gens heureux et donc des veinards mariables. Indiscutablement, Rym est vouée au célibat ad vitam aeternam. L'orgueil et la fierté bafoués, Mounir tentera de bousculer les certitudes et titubant sous l'emprise d'une alcoolémie historique, il criera sur la place du village qu'il a donné la main de sa soeur à un milliardaire étranger, blanc, blond...
De ce mensonge naîtra la mascarde, un défilé de chacals opportunistes, des témoignages d'allégeance...et le coming-out tant attendu de Khaliffa, l'amoureux transi et non moins caché et pusillanime de Rym...
.
.
Oh!
Vous ne voudriez pas que je vous raconte la fin quand même!.
.
Yallah, je vous livre un tout petit détail final...
Au générique de fin, des youyous ont résonné dans la salle de cinéma. Des têtes Françaises brusquement acculées à leur réflexe de touriste se sont retournées...cherchant, le sourire au coin des lévres, ces indigènes en mal du bled...
Ah ces Arabes!. Faut toujours qu'ils se fassent remarquer...
Sahlia
Pass Pass Le Oinj
L'affiche m'a interpellée, Mascarade fait partie des films que je dois voir, ton récit ne m'en rend que plus impatente....
blablote
Blédarde...mais bourge!
L'affiche m'a interpellée, Mascarade fait partie des films que je dois voir, ton récit ne m'en rend que plus impatente....
J'avais vu l'affiche sans grande conviction, il y a prés d'un mois. En découvrant à travers le synopsis, que le thème tournait autour du mariage forcé, un "Naaaaaa!" avait résonné au fond de ma petite boîte crânienne.
Bien qu'imbécile, j'ai quand même changé d'avis en découvrant que le film a été retenu pour les nominations au meilleur film étranger...aux Oscars.
Cours-y!
le dernier film que j'ai vu et que je vous recommande mais pour ca il faut bien comprendre l'anglais parce qu'il n'est pas disponible en francais encore moins en darija et meme pas en VO sous titree, de plus c'est un film anglais alors attention a l'accent cockney, allright mate ?
Ce film s'appelle "The Business" realise par Nick Love en 2005, plutot que de vous faire le sysnopsis je vous balance une bande annonce c'est plus parlant :
http://www.youtube.com/watch?v=FVkidqIyldk
et meme pas en VO sous titree, de plus c'est un film anglais alors attention a l'accent cockney, allright mate ? Ce film s'appelle "The Business" realise par Nick Love en 2005, plutot que de vous faire le sysnopsis je vous balance une bande annonce c'est plus parlant :
http://www.youtube.com/watch?v=FVkidqIyldk
Pirouettete
杜妮娅
Bon, si on doit m'en conseiller un pour ce soir, ce serait Mascarades ou Two Lovers? lequel des deux est à voir absolument?
blablote
Blédarde...mais bourge!
Shame on you!.
Les petites filles de bonne famille ne sortent pas à une heure aussi tardive...
.
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Pas vu Two Lovers...Il semblerait que ce film est trop mièvre...Personnellement, ça me rend nauséeuse...
Pirouettete
杜妮娅
mais qu'est ce qu'elle a à voir ma famille là dedans?
bah la tante Nancy ne serait pas d'accord. Bon va pour Mascarades, et s'il ne me plaît pas, je te détesterais encore plus que je ne te déteste déjà
A plus, j'ai à peine le temps d'y arriver ...
trop mièvre?? tu as pas honte.....
c'est déchirant de beauté ce film....même les plus sévères des magazines culturels, ne disent que du bien de ce film...http://www.lesinrocks.com/cine/cinema-article/critique/two-lovers/
http://www.liberation.fr/cinema/0101267159-au-gray-des-c-urs
blablote
Blédarde...mais bourge!
mais qu'est ce qu'elle a à voir ma famille là dedans?
bah la tante Nancy ne serait pas d'accord. Bon va pour Mascarades, et s'il ne me plaît pas, je te détesterais encore plus que je ne te déteste déjà
A plus, j'ai à peine le temps d'y arriver ...
La grande tante s'émeut pour un rien...
File, file...Qu'importe que tu me détestasses, moi je ne suis qu'amour.
mais qu'est ce qu'elle a à voir ma famille là dedans?
bah la tante Nancy ne serait pas d'accord. Bon va pour Mascarades, et s'il ne me plaît pas, je te détesterais encore plus que je ne te déteste déjà : D
A plus, j'ai à peine le temps d'y arriver ...
c'est un chef d'oeuvre ce film...Mascarades est un bon film, c'est le second bon film algérien que j'ai vu cette année ( avec le beau Rome plutôt que vous), et il n'est pas mal...Two lovers est l'un des plus beaux films que j'ai vus cette année ( dans une scène, j'ai eu les larmes aux yeux)...
blablote
Blédarde...mais bourge!
c'est un chef d'oeuvre ce film...Mascarades est un bon film, c'est le second bon film algérien que j'ai vu cette année ( avec le beau Rome plutôt que vous), et il n'est pas mal...Two lovers est l'un des plus beaux films que j'ai vus cette année ( dans une scène, j'ai eu les larmes aux yeux)...
Comme un semblant de déjà lu...Quand on disait que la tante est fleur bleue...
Je n'irai pas voir ce film...J'ai un pressentiment qu'il écorchera dans mon souvenir la perfection de Joaquin Phoenix dans Johnny Cash.
Dans Walk the line, il était excellent, je suis d'accord, et dans les autres films de James Gray ( surtout dans La nuit nous appartient)...mais dans Two lovers, il est dans un autre registre: écorché vif, couvant une cicatrice difficile à cicatriser...il y a une scène d'amour sur un toit qui vous retourne les tripes, wakha tkoun poteau dial Lydec....
la nuit nous appartient
très beau film , il m' af fait de la peine ds le meme genre salvador