[Coin Cinéma: pour tous les cinéphiles]

Trust : l'histoire d'une jeune fille "addict" to tweet et qui se fait "abuser" par un homme âgé dont elle est amoureuse, la difficulté de sa relation avec son père qui devient paranoiaque suite à cela...

Verdict : J'ai pas aimé si ce n'est le charmant Clive owen
Je viens de le regarder aujourd'hui... je l'ai trouvé bien, j'ai adoré... bien réalisé, une bonne performance des acteurs. sauf la fin, pas trop travaillé, on a l'impression que le film s'est coupé au milieu :prudent:
le dernier film que j'ai vraiment aimé c'était inception! et depuis.....plus rien.....


ahhhh oui cmt tuer son boss, c'était marrant!
Inception, magnifique. mais comment tuer son boss, c'était limite limite, j'ai eu l'impression qu'ils voulaient reproduire un film dans le genre very bad trip mais que ca n'a pas réussi!!
 
Je viens de le regarder aujourd'hui... je l'ai trouvé bien, j'ai adoré... bien réalisé, une bonne performance des acteurs. sauf la fin, pas trop travaillé, on a l'impression que le film s'est coupé au milieu

Parcequ'on se focalise sur la pseudo "enquête" alors que l'intérêt du film est plus ze3ma dans les réactions des uns et des autres face au "drame"...
 
Inception, magnifique. mais comment tuer son boss, c'était limite limite, j'ai eu l'impression qu'ils voulaient reproduire un film dans le genre very bad trip mais que ca n'a pas réussi!!
pareil avec toi comment tuer son boss c'etait aussi pourri, biensur il y a une ou deux scenes marrante que je me rappelle meme plus
 
Parcequ'on se focalise sur la pseudo "enquête" alors que l'intérêt du film est plus ze3ma dans les réactions des uns et des autres face au "drame"...
On va dire que je me suis mise à la place de chacun des personnages, c'était émouvant... moi j'ai eu la rage en même temps qu'eux, qu'on trouve pas le violeur :D
pareil avec toi comment tuer son boss c'etait aussi pourri, biensur il y a une ou deux scenes marrante que je me rappelle meme plus
Voilà à part quelques scenes, le reste, à la poubelle!!
J'ai été voir Sex friends.......... pourri de chez pourri
Le truc pourri qui se laisse regarder, ca mérite pas le prix du tickets... je viens de voir dans le même genre love & other drugs.. les ricains manquent d'imagination depuis quelques temps je trouve...
 
On va dire que je me suis mise à la place de chacun des personnages, c'était émouvant... moi j'ai eu la rage en même temps qu'eux, qu'on trouve pas le violeur :D

Voilà à part quelques scenes, le reste, à la poubelle!!

Le truc pourri qui se laisse regarder, ca mérite pas le prix du tickets... je viens de voir dans le même genre love & other drugs.. les ricains manquent d'imagination depuis quelques temps je trouve...
j'ai aussi vu love & other drugs mais je l'ai preferé
mais c'est vrai c'est toujours le meme type d'histoire
 
Inception, magnifique. mais comment tuer son boss, c'était limite limite, j'ai eu l'impression qu'ils voulaient reproduire un film dans le genre very bad trip mais que ca n'a pas réussi!!


loul! en français il est pourri de chez pourri car les voix sont nuls et compléte=ent à coté de la plaque!

Comparez à vary bad trip! cmt tuer son boss est meilleurs!

la scène avec jamie fox est super marrante en anglais! alors qu'en français c'est pourrie de chez pourrie!
les mots! les intonnations! les expressions étaient parfaite!

je ne regarde plus aucun film en version française car tout se perd!!! les traductions sont pas souvent bonne (c'est du approximatif)
 
j'ai aussi vu love & other drugs mais je l'ai preferé
mais c'est vrai c'est toujours le meme type d'histoire
C'est vrai qu'il est un tout petit peu mieux quand même..
loul! en français il est pourri de chez pourri car les voix sont nuls et compléte=ent à coté de la plaque!

Comparez à vary bad trip! cmt tuer son boss est meilleurs!

la scène avec jamie fox est super marrante en anglais! alors qu'en français c'est pourrie de chez pourrie!
les mots! les intonnations! les expressions étaient parfaite!

je ne regarde plus aucun film en version française car tout se perd!!! les traductions sont pas souvent bonne (c'est du approximatif)
Chez moi je regarde tout en VO, mais au ciné y a pas moyen
Je continue à penser qu'il est pourri et que very bad trip est meilleur :langue:

"Limite limite" ...c'est plutôt généreux comme truc ...

Moi j'aurais dit VO ou VF ...ce film est nul ...

Ca va, on a es mêmes gouts toi et moi :D
 
J'ai regardé hier "Le boxeur" avec DD Lewis... l'histoire d'un champion en boxe, ex membre de l'IRA, d'un amour "difficile"...sur fond de lutte armée et des années sombres de Belfast.

Très bon film, et Daniel est encore "royal" ....
 
Les hommes libres

J'y suis allée sans conviction. Et j'ai beaucoup aimé.

Un film sur les maghrebins de France lors de la seconde guerre mondiale.

Enfin un film qui parle des maghrebins de France sans parler de banlieue, de prison, qui n'est pas comique et qui montre un aspect tres brave et positif de certains membres de cette population à cette époque.

Je n'ai pas aimé le "prophete". Mais dans ce film Tahar Rahim fait honneur.

A conseiller. Sans pour autant s'attendre au film de l'année.
 
Les hommes libres

J'y suis allée sans conviction. Et j'ai beaucoup aimé.

Un film sur les maghrebins de France lors de la seconde guerre mondiale.

Enfin un film qui parle des maghrebins de France sans parler de banlieue, de prison, qui n'est pas comique et qui montre un aspect tres brave et positif de certains membres de cette population à cette époque.

Je n'ai pas aimé le "prophete". Mais dans ce film Tahar Rahim fait honneur.

A conseiller. Sans pour autant s'attendre au film de l'année.

SYNOPSIS.

1942, Paris est occupée par les Allemands. Younes, un jeune émigré algérien, vit du marché noir. Arrêté par la police française, Younes accepte d'espionner pour leur compte à la Mosquée de Paris. La police soupçonne en effet les responsables de la Mosquée, dont le Recteur, Si Kaddour Ben Ghabrit, de délivrer de faux-papiers à des Juifs et à des résistants. A la mosquée, Younes rencontre le chanteur d'origine algérienne Salim Halali. Touché par sa voix et sa personnalité, Younes se lie d'amitié avec lui. Il découvre rapidement que Salim est juif. Malgré les risques encourus, Younes met alors un terme à sa collaboration avec la police. Face àla barbarie qui l'entoure, Younes, l'ouvrier immigré et sans éducation politique, se métamorphose progressivement en militant de la liberté.

A lire :

Au nom des valeurs humanitaires de l’islam : Les musulmans qui ont sauvé les juifs des massacres d’Hitler

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/au-nom-des-valeurs-humanitaires-de-101722
 
SYNOPSIS.

1942, Paris est occupée par les Allemands. Younes, un jeune émigré algérien, vit du marché noir. Arrêté par la police française, Younes accepte d'espionner pour leur compte à la Mosquée de Paris. La police soupçonne en effet les responsables de la Mosquée, dont le Recteur, Si Kaddour Ben Ghabrit, de délivrer de faux-papiers à des Juifs et à des résistants. A la mosquée, Younes rencontre le chanteur d'origine algérienne Salim Halali. Touché par sa voix et sa personnalité, Younes se lie d'amitié avec lui. Il découvre rapidement que Salim est juif. Malgré les risques encourus, Younes met alors un terme à sa collaboration avec la police. Face àla barbarie qui l'entoure, Younes, l'ouvrier immigré et sans éducation politique, se métamorphose progressivement en militant de la liberté.

A lire :

Au nom des valeurs humanitaires de l’islam : Les musulmans qui ont sauvé les juifs des massacres d’Hitler

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/au-nom-des-valeurs-humanitaires-de-101722

Tu es allée le voir Asté ?

Si non, je te le conseille vivement... Je suis sure que tu vas aimé... Moi qui n'aime pas les musiques arabes... Ca m'a presque donné envie de reecouter les classiques de mon pere..
 
Vu : Holy Rollers .

Le film est tiré de faits réels qui se passent entre le brooklyn des années 90 (mais pas celui qu'on a l'habitude de voir) et Amstredam.

Un trafic d'extasy organisé et orchestré par un petit "gang" de juifs ultra orthodoxes.

J'ai bien aimé le film, très sobre et avec des séquences très réussis ...même si l'histoire a du mal à démarrer au début.
 
Vu : Holy Rollers .

Le film est tiré de faits réels qui se passent entre le brooklyn des années 90 (mais pas celui qu'on a l'habitude de voir) et Amstredam.

Un trafic d'extasy organisé et orchestré par un petit "gang" de juifs ultra orthodoxes.

J'ai bien aimé le film, très sobre et avec des séquences très réussis ...même si l'histoire a du mal à démarrer au début.


je le connais sous le nom de jewish connection :D
 
Je crois que c'est cela ... Au Maroc, les DVD ont souvent la pochette et les titres "originaux".

Tu l'a trouvé comment ce film?

PS : ça ma mieux lyoum j'éspère ;)

j'ai bien aimé , ce qui m'a marqué le plus , c'est juste avant qu'il se fasse attraper , il repense aux paroles du rabbin , les paroles de son père sur l'argent m'ont "marqués" aussi



ps : mieux qu'hier en tous cas , :D , merci
 
j'ai bien aimé , ce qui m'a marqué le plus , c'est juste avant qu'il se fasse attraper , il repense aux paroles du rabbin , les paroles de son père sur l'argent m'ont "marqués" aussi



ps : mieux qu'hier en tous cas , :D , merci

ça permet au moins de sortir du "brooklyn" stérotypé de Hollywood ...

"Chacun doit se demander : Où il est ? "

PS: Tant mieux ;-)
 
J'ai regarder le film Proof et Hit list


alors Proof j'ai bien aimé le coté drama du film et gwyneth paltrow jouait trop bien ^^


et Hit List! heu deux acteurs que je connais pas et le film est trooooop bizarre :oh: mais ça se regarde
 
Molière (Janvier 2007) de Laurent Tirard.


Dans l'ensemble c'est plutôt pas mal mais il y a 2-3 trucs qui gênent. Le style théâtral, un humour pas réaliste et des citations mal placées entre autres.
 
Paradise Now d'Hany Abu-Assad

Une production franco-germano-néerlando-palestinienne honorable mais qui présente quelques limites.

Tourné en 35mm, l'objectif du réalisateur est palpable dès les premières images: plutôt qu'étaler la violence de la guerre de manière télévisuelle il choisit de traiter son intériorisation psychologique via les visages, les attitudes, les silences. Exit donc le panorama, ce sont les plans serrés qui donnent à lire au spectateur la vérité de l'itinéraire de Saïd et Khaled, deux amis d'enfance originaires de Naplouse, candidats au suicide à Tel-Aviv. Les personnages principaux portent autant en eux la réalité de l'occupation que la désespérance contradictoire qui les pousse à désirer la lutte et douter de ses modalités dans un conflit intérieur permanent où affects, idéaux, politique et religion se téléscopent.

L'investissement des acteurs dans ceux-ci est franc et honnête, c'est là le point fort du film. Kais Nashef, Ali Suliman, Hiam Abbass et Lubna Azabal (sublimes) parviennent à répondre aux besoins de ce type de réalisation, intimiste, où la gestuelle et l'intensité du jeu constituent la matière première du discours.

En revanche, le contraste entre la pertinence stylistique du réalisateur, la qualité des interprétations et le manque de spontanéité dans l'écriture de certains dialogues m'a surpris. Pour ceux qui l'ont vu, je pense notamment à la scène de la dispute entre Suha et Saïd dans la voiture: l'intensité dramatique est littéralement sapée par le ton quasi diplomatique que le script choisit de donner à leur discussion. Le caractère formel et policé de cet échange, qui suffit à mettre en échec l'ensemble de la séquence, vient à mon avis d'un excès de compression du dialogue, la quantité se faisant au détriment de la densité. Conformément au leitmotiv initial de mise en scène il aurait fallut moins dire, mais mieux.

Un film dont les intentions et la forme méritent amplement l'intérêt.
 
Poulet aux prunes

Réalisé par Marjane Satrapi, Vincent Paronnaud (Persepolis)

Avec Mathieu Amalric , Jamel Debbouze , Edouard Baer, Maria de Medeiros

Téhéran, 1958. Depuis que son violon tant aimé a été brisé, Nasser Ali Khan, un des plus célèbres musiciens de son époque, a perdu le goût de vivre. Ne trouvant aucun instrument digne de le remplacer, il décide de se mettre au lit et d'attendre la mort. En espérant qu'elle vienne, il s'enfonce dans de profondes rêveries aussi mélancoliques que joyeuse, qui, tout à la fois, le ramènent à sa jeunesse, le conduisent à parler à Azraël, l'ange de la mort, et nous révèlent l'avenir de ses enfants... Au fur et à mesure que s'assemblent les pièces de ce puzzle, apparaît le secret bouleversant de sa vie : une magnifique histoire d'amour qui a nourri son génie et sa musique...

Sortie le 26 octobre
 
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