c'est la responsabilité des médias et politiques mais là ils mettent l'huile sur le feux et fracturent la société et criminalise toute une communauté
non t'as plusieurs attaques contre les musulmans mais là c'est vite étouffé ...
L'Express n'a pas parlé d'attentat lors de l'attaque de la mosquée de Bayonne. Explications.
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Mosquée de Bayonne : pourquoi parle-t-on d'attaque et non d'attentat?
Après
l'attaque de la mosquée de Bayonne qui a fait deux blessés ce lundi, s'est posée la question de la qualification de l'acte criminel perpétré par Claude Sinké, l'octogénaire auteur des coups de feu : s'agissait-il d'un attentat ?
Un attentat terroriste a été perpétré hier à la mosquée de Brest. Le bilan faisait état hier d’un mort et de deux blessés. La personne décédée est l’auteur de l’attaque qui selon les enquêteurs s’est…
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La lettre laissée par Karl Foyer
L’attaque a eu lieu jeudi 27 juin devant la mosquée de Brest située dans le quartier de Pontanezen. L'imam de la mosquée et l'un de ses fidèles, âgé de 26 ans ont été touchés par balles aux jambes. Les victimes ont été très choquées par cette attaque qui porte la signature islamophobe.
L’attentat semblait avoir été bien préparé par le jeune terroriste dénommé Karl Foyer qui après avoir demandé de prendre un selfie avec sa victime Rachid El Jay, l’imam de la mosquée de Brest, a ouvert le feu sur ce dernier ainsi que sur un autre personne.
Karl Foyer s’est enfui ensuite. Les unités policières l’ont retrouvé un peu plus loin gisant sur le sol avec une balle logée dans son crâne. Les enquêteurs estiment que le mis en cause se serait suicidé juste après avoir commis son attentat.
Karl Foyer, jusque-là inconnu des services de police, a laissé une lettre de deux pages relatant les raisons qui le poussent à commettre un attentat contre Rachid El Jay un imam très connu sur les réseaux sociaux par ses prêches globalement pondérés.
Le terroriste explique avoir été abordé par des hommes cagoulés qui l’ont introduit dans une camionnette et qui l’auraient menacé de s’en prendre à sa famille s’il venait à ne pas exécuter les plans qu’ils lui demandaient, à savoir égorger l’imam de Brest Rachid El Jay.
Karl Foyer explique qu’il devait passer à l’acte entre le 15 et 30 juin. Les premiers éléments de l’enquête menée en partie par le parquet antiterroriste de Paris expliquent que le mis en cause souffrait de graves troubles psychiatriques à dominante paranoïaque.
« Ils m’ont ordonné d’égorger l’imam de Brest. Ils m’ont dit qu’il fallait que je passe à l’acte entre le 15 et le 30 juin. Que si je ne le tuais pas, c’est ma mère, mon père et ma sœur qui seraient tués », a-t-il écrit. Il assure par ailleurs avoir reçu une puce électronique implantée dans le bras. », précisait-il.