intoxication alimentaire ou pas ?
Une femme de 48 ans est décédée à Armentières la semaine dernière.
La piste d'une contamination par la bactérie Escherichia Coli avancée dans un premier temps a été réfutée par l'hôpital.
"A priori, ce n'est pas du tout une intoxication alimentaire, et ce n'est pas Escherichia coli qui serait en cause", a déclaré le service communication à nos confrères de TF1.
La femme, hospitalisée depuis mercredi, souffrait de maux de ventre importants et les premières analyses avaient fait ressortir une propagation de la bactérie E-coli, qu'on trouve notamment dans des steaks avariés, avait indiqué le procureur Philippe Muller à France 3 Nord/Pas de Calais.
Le restaurant Quick où elle avait pris un repas quelques jours plus tôt s'est ainsi vu pointé du doigt très rapidement.
Cependant, le Groupe a tenu a rappelé dans un communiqué que "sa responsabilité ne pouvait être mise en cause, ni même suggérée dans le décès de la victime" puisque conformément aux propos du Procureur de la République de Dunkerque : "la présence daucune bactérie na été mise en évidence à ce stade" et de ce fait "aucune responsabilité de quiconque nest apparue ni, en conséquence, recherchée". Affaire à suivre.
Une femme de 48 ans est décédée à Armentières la semaine dernière.
La piste d'une contamination par la bactérie Escherichia Coli avancée dans un premier temps a été réfutée par l'hôpital.
"A priori, ce n'est pas du tout une intoxication alimentaire, et ce n'est pas Escherichia coli qui serait en cause", a déclaré le service communication à nos confrères de TF1.
La femme, hospitalisée depuis mercredi, souffrait de maux de ventre importants et les premières analyses avaient fait ressortir une propagation de la bactérie E-coli, qu'on trouve notamment dans des steaks avariés, avait indiqué le procureur Philippe Muller à France 3 Nord/Pas de Calais.
Le restaurant Quick où elle avait pris un repas quelques jours plus tôt s'est ainsi vu pointé du doigt très rapidement.
Cependant, le Groupe a tenu a rappelé dans un communiqué que "sa responsabilité ne pouvait être mise en cause, ni même suggérée dans le décès de la victime" puisque conformément aux propos du Procureur de la République de Dunkerque : "la présence daucune bactérie na été mise en évidence à ce stade" et de ce fait "aucune responsabilité de quiconque nest apparue ni, en conséquence, recherchée". Affaire à suivre.