Bonjour,
Une hypocrisie incontestable, autour de ce sujet anime, ces pseudo-défenseurs des droits de l'homme vivant.
Seule la volonté de légiférer contre des prescriptions musulmanes telle la loi du Talion, s'inscrivant dans une stratégie des petits pas multiforme, transparait en goal final. (Loi dont les effets peuvent être suspendus par le pardon des proches de la victime),
Sans porter de jugement de valeur, car chacun a ses raisons propres légitimes à son sens, on constate que le Mossad assassine allégrement de manière ciblée, les services spéciaux de la France éliminent de façon chirurgicale, que la CIA exécute, que les serbes ont fusillé, que Tsahal veille sur le monument à la mémoire des morts de Sabra et Chatila ou de Ghaza. Simultanément des états prônent et clament haut et fort la prééminence du droit à la vie sur la condamnation à mort.
Irak, Lybie, Rwanda, Nigéria, génocide palestinien de 1948 avec l'irgoun, la hagana, le shin bet témoignent de cette grande comédie dramatique humaine.
Une bonne conscience, de principe, pour taire celle naturellement mauvaise.
Plus terre à terre, les abominables sérials killers, les tueurs d'enfants s'arrogeant le droit de vie ou de mort, qui éventrent, violent, décharnent, égorgent, empoisonnent, ne doivent espérer aucune compassion ni clémence, quelles que soient les circonstances "atténuantes".
En visionnant des documentaires, on ne peut qu'être révoltés par ces destruction de vies humaines pour des mobiles parfois futiles (refus d'une cigarette, vol de 75 euros) et par les sentences clémentes à durée révisable.
En conclusion, oui au maintien de la peine de mort avec toute la latitude de l'exercice de l'intime conviction d'un collège de Juges et de jurés, comme clause de sauvegarde.