amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
Encore une fois, des étudiantes marocaines venues faire leurs études dans des instituts prestigieux en France ont été prises dans le piège de la prostitution.
Un réseau qui s’activait dans plusieurs capitales européennes mais dont le chef, un français d’origine marocaine, est le propriétaire d’un restaurant du 14ème arrondissement à Paris a été démantelé tout récemment par les services de police français chargés de lutter contre le proxénétisme et la prostitution.
Il s’est avéré que le chef de cette bande se faisait aider par une femme quadragénaire, ingénieur de son état, qui sous apparences très respectables, se chargeait de recruter dans la capitale française et dans d’autres villes, des maghrébines, dont des étudiantes marocaines comme confirmé par la préfecture de police, pour étoffer son réseau et en assurer la marche.Une activité très lucrative puisque les filles qui étaient tombées dans le piège de la prostitution étaient destinées à une clientèle aisé, européenne mais également originaire des pays du Golfe , qui ne lésinait pas sur les moyens pour s’offrir des moments de plaisir rémunérés avec des filles élégantes et bien cultivées.
La proxénète, également marocaine, qui menait par ailleurs et parallèlement une activité professionnelle normale recrutait ses proies non seulement dans le milieu estudiantin mais également parmi des femmes qui, comme elle, occupaient des fonctions dans des sociétés privées dans le souci apparent d’avoir un catalogue de profils aux apparences très soignées,qui savent faire la discussion en pratiquant plusieurs langues et qui ne ressemblent guère à des professionnelles du sexe. Les étudiantes marocaines prises dans le coup de filet menaient, selon leurs propres aveux, une vie tout à fait normale et discrète et se rendaient à leurs cours avec assiduité pour ne pas éveiller les soupçons, se contentant d’allers-retours rapides entre paris et plusieurs villes européennes, le temps des week-ends.
Cette affaire n’est pas sans rappeler une autre similaire rapportée il y a quelques mois dans ce même site d’informations , ce qui prouve que le premier cas n’était pas isolé.
Source :http://www.actu-maroc.com/societe/f...dans-un-reseau-de-prostitution-en-france.html
Un réseau qui s’activait dans plusieurs capitales européennes mais dont le chef, un français d’origine marocaine, est le propriétaire d’un restaurant du 14ème arrondissement à Paris a été démantelé tout récemment par les services de police français chargés de lutter contre le proxénétisme et la prostitution.
Il s’est avéré que le chef de cette bande se faisait aider par une femme quadragénaire, ingénieur de son état, qui sous apparences très respectables, se chargeait de recruter dans la capitale française et dans d’autres villes, des maghrébines, dont des étudiantes marocaines comme confirmé par la préfecture de police, pour étoffer son réseau et en assurer la marche.Une activité très lucrative puisque les filles qui étaient tombées dans le piège de la prostitution étaient destinées à une clientèle aisé, européenne mais également originaire des pays du Golfe , qui ne lésinait pas sur les moyens pour s’offrir des moments de plaisir rémunérés avec des filles élégantes et bien cultivées.
La proxénète, également marocaine, qui menait par ailleurs et parallèlement une activité professionnelle normale recrutait ses proies non seulement dans le milieu estudiantin mais également parmi des femmes qui, comme elle, occupaient des fonctions dans des sociétés privées dans le souci apparent d’avoir un catalogue de profils aux apparences très soignées,qui savent faire la discussion en pratiquant plusieurs langues et qui ne ressemblent guère à des professionnelles du sexe. Les étudiantes marocaines prises dans le coup de filet menaient, selon leurs propres aveux, une vie tout à fait normale et discrète et se rendaient à leurs cours avec assiduité pour ne pas éveiller les soupçons, se contentant d’allers-retours rapides entre paris et plusieurs villes européennes, le temps des week-ends.
Cette affaire n’est pas sans rappeler une autre similaire rapportée il y a quelques mois dans ce même site d’informations , ce qui prouve que le premier cas n’était pas isolé.
Source :http://www.actu-maroc.com/societe/f...dans-un-reseau-de-prostitution-en-france.html