amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
La chaîne marocaine diffuse un feuilleton de fiction documentaire, reconstituant des crimes, tirés des archives de justice, ses derniers épisodes, ont reconstitué des attaques terroristes de salafistes.
Des salafistes ont observé des sit-in de protestation, devant nombres de mosquées, à plusieurs villes du royaume.
Motif de cette ire, rapporte le quotidien Al Massae, une émission populaire de la chaîne Medi1 TV.
Lémission sappelle Masrah Al Jarima, scène de crime, il sagit dun concept tiré des shows à laméricaine, de télé-réalité policière, concocté à la sauce marocaine.
Lémission a, dés ses premiers épisodes diffusés, vite compté parmi les réussites en audience, de la chaîne, Medi1 TV.
Sauf, quelle commençait à suscitait polémique lorsque pour ses derniers épisodes diffusés, prit sujets, les attaques terroristes, où sont impliqué des détenus salafistes.
Vite les protestations des mouvances salafistes et de leurs soutiens civils, commençaient à fuser.
Ainsi, des membres du comité conjoint pour la défense des détenus islamistes et certaines familles de détenus salafistes, condamnés dans le cadre de la loi anti-terroriste, ont vivement protesté contre la chaîne, laccusant de diffamation à légard des salafistes, parce que leurs noms sont, à lémission, expressément cités, et définitivement incriminés dans les faits desquels ils sinnocentent.
Source : leMag
Des salafistes ont observé des sit-in de protestation, devant nombres de mosquées, à plusieurs villes du royaume.
Motif de cette ire, rapporte le quotidien Al Massae, une émission populaire de la chaîne Medi1 TV.
Lémission sappelle Masrah Al Jarima, scène de crime, il sagit dun concept tiré des shows à laméricaine, de télé-réalité policière, concocté à la sauce marocaine.
Lémission a, dés ses premiers épisodes diffusés, vite compté parmi les réussites en audience, de la chaîne, Medi1 TV.
Sauf, quelle commençait à suscitait polémique lorsque pour ses derniers épisodes diffusés, prit sujets, les attaques terroristes, où sont impliqué des détenus salafistes.
Vite les protestations des mouvances salafistes et de leurs soutiens civils, commençaient à fuser.
Ainsi, des membres du comité conjoint pour la défense des détenus islamistes et certaines familles de détenus salafistes, condamnés dans le cadre de la loi anti-terroriste, ont vivement protesté contre la chaîne, laccusant de diffamation à légard des salafistes, parce que leurs noms sont, à lémission, expressément cités, et définitivement incriminés dans les faits desquels ils sinnocentent.
Source : leMag