salam
Deux journalistes tabassés par les forces de l'ordre à la veille de la Journée nationale de l'Information : La liberté de la presse malmenée
Y a-t-il une avancée dans le domaine de la liberté de la presse sous le gouvernement de Benkirane ? Les journalistes et photographes qui étaient présents lors du sit-in organisé par le Mouvement du 20 février avant-hier au centre-ville de Casablanca, savent que non.
A deux jours de la célébration de la Journée nationale de l'information, les forces de l'ordre ont présenté à leur manière un «cadeau» aux journalistes et photographes en les tabassant et rouant de coups.
L'intervention musclée, les insultes et l'intimidation sont devenues «une monnaie courante» chez les forces de l'ordre quand il s'agit des journalistes et des photographes qui sont en train de faire leur travail malgré les multiples condamnations et réclamations répétées de la part du Syndicat national de la presse marocaine.
Cette année a été également marquée par la polémique déclenchée suite aux cahiers des charges de l'audiovisuel préparés par le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Mustapha Khalfi. Ces textes ont suscité un tollé et plusieurs voix ont dénoncé le fait que le PJD ait voulu mettre la main sur les médias.
http://www.libe.ma/Deux-journaliste...le-de-l-Information-La-liberte-de_a32299.html
Deux journalistes tabassés par les forces de l'ordre à la veille de la Journée nationale de l'Information : La liberté de la presse malmenée
Y a-t-il une avancée dans le domaine de la liberté de la presse sous le gouvernement de Benkirane ? Les journalistes et photographes qui étaient présents lors du sit-in organisé par le Mouvement du 20 février avant-hier au centre-ville de Casablanca, savent que non.
A deux jours de la célébration de la Journée nationale de l'information, les forces de l'ordre ont présenté à leur manière un «cadeau» aux journalistes et photographes en les tabassant et rouant de coups.
L'intervention musclée, les insultes et l'intimidation sont devenues «une monnaie courante» chez les forces de l'ordre quand il s'agit des journalistes et des photographes qui sont en train de faire leur travail malgré les multiples condamnations et réclamations répétées de la part du Syndicat national de la presse marocaine.
Cette année a été également marquée par la polémique déclenchée suite aux cahiers des charges de l'audiovisuel préparés par le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Mustapha Khalfi. Ces textes ont suscité un tollé et plusieurs voix ont dénoncé le fait que le PJD ait voulu mettre la main sur les médias.
http://www.libe.ma/Deux-journaliste...le-de-l-Information-La-liberte-de_a32299.html