Et ben voilà
Le gouvernement a dissous mercredi en Conseil des ministres le Collectif contre islamophobie en France (CCIF), accusé de faire de la "propagande islamiste", a annoncé Gérald Darmanin.
Vendredi dernier, le collectif avait décidé de prendre les devants en annonçant s'être "auto-dissous". Il avait déjà redéployé peu auparavant ses activités et son siège à l'étranger.
Le ministre de l'Intérieur a fait valoir mercredi dans un tweet que "depuis plusieurs années, le CCIF a conduit avec constance une action de propagande islamiste".
Sa dissolution avait été annoncée par le gouvernement dans la foulée de la décapitation, le 16 octobre, de Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie dans un collège de Conflans-Saint-Honorine (Yvelines).
"Des idées prônant l'islam radical"
Lors de la notification du projet de dissolution, le CCIF avait reproché au ministre de l'Intérieur d'avoir "cédé aux appels de l'extrême droite" et assuré qu'il continuerait "à apporter son assistance juridique aux personnes victimes d'islamophobie et informera(it) les instances internationales de l'état d'avancement de la lutte contre les discriminations et pour l'égalité en France".
Le gouvernement a dissous mercredi en Conseil des ministres le Collectif contre islamophobie en France (CCIF), accusé de faire de la "propagande islamiste", a annoncé Gérald Darmanin.
Vendredi dernier, le collectif avait décidé de prendre les devants en annonçant s'être "auto-dissous". Il avait déjà redéployé peu auparavant ses activités et son siège à l'étranger.
Le ministre de l'Intérieur a fait valoir mercredi dans un tweet que "depuis plusieurs années, le CCIF a conduit avec constance une action de propagande islamiste".
Sa dissolution avait été annoncée par le gouvernement dans la foulée de la décapitation, le 16 octobre, de Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie dans un collège de Conflans-Saint-Honorine (Yvelines).
"Des idées prônant l'islam radical"
Lors de la notification du projet de dissolution, le CCIF avait reproché au ministre de l'Intérieur d'avoir "cédé aux appels de l'extrême droite" et assuré qu'il continuerait "à apporter son assistance juridique aux personnes victimes d'islamophobie et informera(it) les instances internationales de l'état d'avancement de la lutte contre les discriminations et pour l'égalité en France".
Dissolution du CCIF par le Conseil des ministres
Le collectif avait décidé de prendre les devants la semaine dernière en annonçant s'être "auto-dissous".
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