Don d’organes : votre corps ne vous appartient plus

Tkt, j'avais déjà regardé une vidéo que tu avais postée, ça traitait le même sujet.

Pour revenir à toi, il y avait certainement pleins de gens qui ont vécu ça à l'ère des fidèles de la psychanalyse/psychologie tels que Nietzsche, Freud ou Breuer. Je dirais aussi qu'il n'y avait jamais eu d'explication logique qui a su pondérer les esprits actuels de la médecine. Donc, ils ont laissé les gens (Qui ont vécu L'Emi) dire à leur guise ce que le cerveau laisse à (ou pas) croire.
Y'a quand même des récits troublants et des chercheurs s'y penchent pour essayer de les comprendre et certains n'excluent pas la possibilité qu'il puisse effectivement y avoir une survivance de quelque chose (âme, esprit ou autre, peu importe comment on appelle ça...) après la mort. D'un point de vue scientifique, la question reste pour le moment en suspens donc, en fonction des éléments que l'on a, chacun se fera sa propre opinion...
 

Pop586

Weld che3b ou biiikhérr !!
VIB
Y'a quand même des récits troublants et des chercheurs s'y penchent pour essayer de les comprendre et certains n'excluent pas la possibilité qu'il puisse effectivement y avoir une survivance de quelque chose (âme, esprit ou autre, peu importe comment on appelle ça...) après la mort. D'un point de vue scientifique, la question reste pour le moment en suspens donc, en fonction des éléments que l'on a, chacun se fera sa propre opinion...

C'est ce que je t'ai expliqué. Il ne faut pas toujours croire à ce qu'on nous dit. Il faut des preuves. Grossomodo l'univers entier est une vaste zone à expliquer, et selon la logique, il doit y avoir un connaisseur en matière.
 
C'est ce que je t'ai expliqué. Il ne faut pas toujours croire à ce qu'on nous dit. Il faut des preuves. Grossomodo l'univers entier est une vaste zone à expliquer, et selon la logique, il doit y avoir un connaisseur en matière.
J'ai conscience que ça reste une croyance (car pas prouvée), mais il y a un faisceau d'indices qui me font penser que c'est fort probable que ce soit réel et même si je ne peux en être sûre à 100% par mesure de précaution je préfère m'abstenir au cas où ce serait vrai, je n'ai pas envie que des bouts de moi retiennent mon âme sur cette terre alors que je pourrais m'en aller tranquillement virevolter dans une autre dimension...
 

Pop586

Weld che3b ou biiikhérr !!
VIB
J'ai conscience que ça reste une croyance (car pas prouvée), mais il y a un faisceau d'indices qui me font penser que c'est fort probable que ce soit réel et même si je ne peux en être sûre à 100% par mesure de précaution je préfère m'abstenir au cas où ce serait vrai, je n'ai pas envie que des bouts de moi retiennent mon âme sur cette terre alors que je pourrais m'en aller tranquillement virevolter dans une autre dimension...

Je t'explique, quand le coeur cesse de battre ça ne veut pas dire qu'on est mort, on est bien vivant mais juste plongeant dans l'inconscience d'où s'explique une partie du Coma ou peut-être l'Emi (vu que j'ai pas trop lu sur le sujet). Mais si le cerveau cesse de fonctionner, c'est la mort tout court, et personne n'y s'échappe.

Pour t'expliquer, scientifiquement, ces gens là ont gardé leurs cerveaux en marche, donc ils n'étaient pas morts.
 
Je t'explique, quand le coeur cesse de battre ça ne veut pas dire qu'on est mort, on est bien vivant mais juste plongeant dans l'inconscience d'où s'explique une partie du Coma ou peut-être l'Emi (vu que j'ai pas trop lu sur le sujet). Mais si le cerveau cesse de fonctionner, c'est la mort tout court, et personne n'y s'échappe.

Pour t'expliquer, scientifiquement, ces gens là ont gardé leurs cerveaux en marche, donc ils n'étaient pas morts.
Faux... voir le cas de Pamela Reynolds. De toutes manières ça n'explique pas pourquoi un cerveau qui fonctionne considérablement moins bien qu'un cerveau sain puisse provoquer une expérience aussi profonde, qui donne du sens à la vie, les personnes disent que la réalité qu'ils ont observé dans cet état paraissait plus réelle que la réalité dans laquelle on se trouve en étant en vie avec un cerveau qui fonctionne normalement.

Puis en fait c'est encore plus compliqué que ça, car certaines personnes vivent des sorties hors du corps sans mort imminente (par exemple lors d'une méditation, pendant un orgasme et d'autres situations...), donc ça va au-delà du fait de savoir si la personne était vraiment morte ou non au moment de l'expérience.
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
est-ce qu'on peut parler de corps qui nous appartient lorsqu'on est mort ?
est-ce que notre corps nous appartient réellement ? Pour les croyants, n'est-il la propriété de Dieu ? comme tous les corps qu'il y a sur terre
Il ne nous appartient pas plus lorsqu'on est vivant effectivement.
Notre âme nous appartient, la couverture corporelle non

Donc personne n'a le droit de se l'approprier non plus
 

h_meo

lien France Palestine
VIB
Personne ne se l'approprie ... pas plus nos organes de notre vivant que ceux qu'on nous greffe ... nos enveloppes charnelles ne sont qu'emprunts... une combinaison complexe des composants issus de la nature ... et qui retournent à la nature .. ( deviennent larves, plantes, cailloux .... et ne cessent de se transformer que ce soit de façon micro ou macro-scopique )
 
Dernière édition:

Ahava

Bénis soient ceux qui doutent !
VIB
Don d’organes : Un registre national mis en ligne pour exprimer son refus
SANTE

Le registre modifiable à tout moment

L’inscription sur le registre est sujette à modification à tout moment. « La personne inscrite sur le registre détient un mot de passe : elle peut donc à tout moment modifier ou supprimer son inscription sur le registre », précise le Pr Olivier Bastien. Et vous avez la possibilité de préciser la nature du refus : pour une greffe d’organes et de tissus, pour la recherche scientifique, pour une autopsie…

https://www.registrenationaldesrefus.fr/#etape-1
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Dons d'organes : consentement présumé ou refus ?

Publié le 21 juin 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)



Quels organes peut-on greffer ?
Qui peut en bénéficier ?
Qu'est-ce que le consentement présumé ?
Comment refuser ?
Dans le cadre de la journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe et de reconnaissance aux donneurs qui se déroule le 22 juin 2017, retrouvez sur le site dondorganes.fr tout ce qu'il faut savoir sur la question.

Le site www.dondorganes.fr vous rappelle brièvement ce que dit la loi sur le don d'organes et de tissus. En France, c'est le principe du consentement présumé qui est en place. Si vous ne souhaitez pas donner vos organes et tissus, vous devez vous inscrire en ligne sur le registre national des refus sachant que vous pouvez aussi faire valoir votre refus par écrit et confier ce document daté et signé à un proche (ou encore communiquer oralement votre opposition à vos proches).

Ce site vous donne également des réponses pratiques sur les étapes du don à la greffe :

qui peut bénéficier d'un don d'organes ?
quels organes peut-on greffer ?
comment sont acheminés les organes à greffer ?
quelles conditions pour donner de son vivant ?
le donneur doit-il être en bonne santé ?
les enfants mineurs peuvent-ils être donneurs ?
quels examens subit le corps du défunt ?
dans quel état le corps est-il rendu à la famille ?
quelle différence entre le don d'organes et le don du corps à la science ?

À noter :
Le refus peut aussi être partiel et ne concerner que certains organes ou tissus. Par conséquent, il est nécessaire d'inscrire sur le registre national des refus les organes et les tissus pour lesquels vous ne voulez pas de prélèvements (ou par écrit ou oralement).

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11808
 
Quel titre putaclik, non ton corps t appartient encore, suffit de remplir le formulaire.

C est la meilleure chose que les politiciens aient pu faire face a l augmentation des listes d attente de greffe et la diminution des donneurs.

Et l autre @EvilCow "je suis pour donner de mon vivant..." mdr bah vas y qu est ce que t attend, tente ta vie "frankenstein"

@Drianke je te pensais plus intelligente...
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Un up

Un amendement à la loi de santé, adopté vendredi dernier, prévoit que les proches ne seront plus consultés avant le prélèvement d’organes du défunt.

Déposé par le Professeur Jean-Louis Touraine et Michelle Delaunay, et adopté vendredi, un amendement soulève bien des inquiétudes. Il ne sera plus demandé aux proches si le défunt avait exprimé un souhait. Le prélèvement sera légalement et automatiquement la « norme » par défaut.

Le député J.-L. Touraine est déjà à l’origine de plusieurs idées qui ont déjà fait parler d’elles notamment la neutralité des paquets de cigarettes1. Jusqu’à présent, ces lois décidées « pour notre bien », ne portaient pas atteinte à la personne.

C’était sans compter l’inventivité des socialistes, jamais en panne d’idée pour contraindre l’individu à entrer dans le cadre souhaité. L’atteinte à l’intégrité corporelle constitue une première en matière d’intrusion dans le domaine privé.

Jusqu’ici, à défaut de consentement exprimé, la loi autorisait déjà le prélèvement d’organes. Mais cela se faisait toujours en consultant les proches, notamment pour s’assurer que le défunt n’y était pas totalement opposé. Les médecins pouvaient ainsi recueillir sinon le souhait du défunt, du moins celui de la famille. Mais devant le nombre insuffisant de greffons disponibles (les donneurs n’ayant pas expressément donné leur consentement n’étant pas prélevés), il a été envisagé qu’une loi imposant le contraire ferait mathématiquement augmenter leur nombre (+25% selon le député) : il faudra donc signaler officiellement qu’on refuse de donner ses organes pour être assuré de l’intégrité de son défunt corps. L’augmentation attendue compte en fait sur les oublis de déclaration des réfractaires au don d’organe.

Les proches ne seront plus consultés mais seulement informés du prélèvement et ne devraient pas être en mesure de le refuser. Selon Jean-Louis Touraine, cela évitera aux familles de se poser un cas de conscience dans un moment difficile de deuil. Bien entendu, encore une fois c’est pour notre bien.

Que le prélèvement d’organes sauve des vies est un fait incontestable, mais peut-on le rendre obligatoire sous ce seul prétexte, et ne plus laisser aux proches ou au défunt le « bénéfice » du doute ou de la réticence ?

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Don d’organes : votre corps ne vous appartient plus | Contrepoints
 
Un amendement à la loi de santé, adopté vendredi dernier, prévoit que les proches ne seront plus consultés avant le prélèvement d’organes du défunt.

Déposé par le Professeur Jean-Louis Touraine et Michelle Delaunay, et adopté vendredi, un amendement soulève bien des inquiétudes. Il ne sera plus demandé aux proches si le défunt avait exprimé un souhait. Le prélèvement sera légalement et automatiquement la « norme » par défaut.

Le député J.-L. Touraine est déjà à l’origine de plusieurs idées qui ont déjà fait parler d’elles notamment la neutralité des paquets de cigarettes1. Jusqu’à présent, ces lois décidées « pour notre bien », ne portaient pas atteinte à la personne.

C’était sans compter l’inventivité des socialistes, jamais en panne d’idée pour contraindre l’individu à entrer dans le cadre souhaité. L’atteinte à l’intégrité corporelle constitue une première en matière d’intrusion dans le domaine privé.

Jusqu’ici, à défaut de consentement exprimé, la loi autorisait déjà le prélèvement d’organes. Mais cela se faisait toujours en consultant les proches, notamment pour s’assurer que le défunt n’y était pas totalement opposé. Les médecins pouvaient ainsi recueillir sinon le souhait du défunt, du moins celui de la famille. Mais devant le nombre insuffisant de greffons disponibles (les donneurs n’ayant pas expressément donné leur consentement n’étant pas prélevés), il a été envisagé qu’une loi imposant le contraire ferait mathématiquement augmenter leur nombre (+25% selon le député) : il faudra donc signaler officiellement qu’on refuse de donner ses organes pour être assuré de l’intégrité de son défunt corps. L’augmentation attendue compte en fait sur les oublis de déclaration des réfractaires au don d’organe.

Les proches ne seront plus consultés mais seulement informés du prélèvement et ne devraient pas être en mesure de le refuser. Selon Jean-Louis Touraine, cela évitera aux familles de se poser un cas de conscience dans un moment difficile de deuil. Bien entendu, encore une fois c’est pour notre bien.

Que le prélèvement d’organes sauve des vies est un fait incontestable, mais peut-on le rendre obligatoire sous ce seul prétexte, et ne plus laisser aux proches ou au défunt le « bénéfice » du doute ou de la réticence ?

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mais notre corps ca fait longtemps qu ils nous appartient plus il appartient
a l etat
 
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