non ca c'est un calcul. en logique ca donne ca 1+1=1La logique, c'est 1+1=2 et tous les cerveaux doivent être convaincus du même résultat.
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non ca c'est un calcul. en logique ca donne ca 1+1=1La logique, c'est 1+1=2 et tous les cerveaux doivent être convaincus du même résultat.
non ca c'est un calcul. en logique ca donne ca 1+1=1
Y'a quand même des récits troublants et des chercheurs s'y penchent pour essayer de les comprendre et certains n'excluent pas la possibilité qu'il puisse effectivement y avoir une survivance de quelque chose (âme, esprit ou autre, peu importe comment on appelle ça...) après la mort. D'un point de vue scientifique, la question reste pour le moment en suspens donc, en fonction des éléments que l'on a, chacun se fera sa propre opinion...Tkt, j'avais déjà regardé une vidéo que tu avais postée, ça traitait le même sujet.
Pour revenir à toi, il y avait certainement pleins de gens qui ont vécu ça à l'ère des fidèles de la psychanalyse/psychologie tels que Nietzsche, Freud ou Breuer. Je dirais aussi qu'il n'y avait jamais eu d'explication logique qui a su pondérer les esprits actuels de la médecine. Donc, ils ont laissé les gens (Qui ont vécu L'Emi) dire à leur guise ce que le cerveau laisse à (ou pas) croire.
parler logique c'est raisonner par oui ou non.Une voiture près d'une autre. Ça n'en fait qu'une !??
Y'a quand même des récits troublants et des chercheurs s'y penchent pour essayer de les comprendre et certains n'excluent pas la possibilité qu'il puisse effectivement y avoir une survivance de quelque chose (âme, esprit ou autre, peu importe comment on appelle ça...) après la mort. D'un point de vue scientifique, la question reste pour le moment en suspens donc, en fonction des éléments que l'on a, chacun se fera sa propre opinion...
J'ai conscience que ça reste une croyance (car pas prouvée), mais il y a un faisceau d'indices qui me font penser que c'est fort probable que ce soit réel et même si je ne peux en être sûre à 100% par mesure de précaution je préfère m'abstenir au cas où ce serait vrai, je n'ai pas envie que des bouts de moi retiennent mon âme sur cette terre alors que je pourrais m'en aller tranquillement virevolter dans une autre dimension...C'est ce que je t'ai expliqué. Il ne faut pas toujours croire à ce qu'on nous dit. Il faut des preuves. Grossomodo l'univers entier est une vaste zone à expliquer, et selon la logique, il doit y avoir un connaisseur en matière.
J'ai conscience que ça reste une croyance (car pas prouvée), mais il y a un faisceau d'indices qui me font penser que c'est fort probable que ce soit réel et même si je ne peux en être sûre à 100% par mesure de précaution je préfère m'abstenir au cas où ce serait vrai, je n'ai pas envie que des bouts de moi retiennent mon âme sur cette terre alors que je pourrais m'en aller tranquillement virevolter dans une autre dimension...
Faux... voir le cas de Pamela Reynolds. De toutes manières ça n'explique pas pourquoi un cerveau qui fonctionne considérablement moins bien qu'un cerveau sain puisse provoquer une expérience aussi profonde, qui donne du sens à la vie, les personnes disent que la réalité qu'ils ont observé dans cet état paraissait plus réelle que la réalité dans laquelle on se trouve en étant en vie avec un cerveau qui fonctionne normalement.Je t'explique, quand le coeur cesse de battre ça ne veut pas dire qu'on est mort, on est bien vivant mais juste plongeant dans l'inconscience d'où s'explique une partie du Coma ou peut-être l'Emi (vu que j'ai pas trop lu sur le sujet). Mais si le cerveau cesse de fonctionner, c'est la mort tout court, et personne n'y s'échappe.
Pour t'expliquer, scientifiquement, ces gens là ont gardé leurs cerveaux en marche, donc ils n'étaient pas morts.
Bon je vais (essayer de) dormir, bonne nuit.
Je pense qu il ne prélève que les accidentés de la route pas des malades ayant des maladies incurables
Tu as raison, c est tout à fait çaIls prélèvent sur tout le monde même sur des personnes âgées...pour les malades incurables tout dépend
de quelle maladie il s 'agit mais si les organes vitaux ont été préservés ils seront prélevés...
Il ne nous appartient pas plus lorsqu'on est vivant effectivement.est-ce qu'on peut parler de corps qui nous appartient lorsqu'on est mort ?
est-ce que notre corps nous appartient réellement ? Pour les croyants, n'est-il la propriété de Dieu ? comme tous les corps qu'il y a sur terre
Un amendement à la loi de santé, adopté vendredi dernier, prévoit que les proches ne seront plus consultés avant le prélèvement d’organes du défunt.
Déposé par le Professeur Jean-Louis Touraine et Michelle Delaunay, et adopté vendredi, un amendement soulève bien des inquiétudes. Il ne sera plus demandé aux proches si le défunt avait exprimé un souhait. Le prélèvement sera légalement et automatiquement la « norme » par défaut.
Le député J.-L. Touraine est déjà à l’origine de plusieurs idées qui ont déjà fait parler d’elles notamment la neutralité des paquets de cigarettes1. Jusqu’à présent, ces lois décidées « pour notre bien », ne portaient pas atteinte à la personne.
C’était sans compter l’inventivité des socialistes, jamais en panne d’idée pour contraindre l’individu à entrer dans le cadre souhaité. L’atteinte à l’intégrité corporelle constitue une première en matière d’intrusion dans le domaine privé.
Jusqu’ici, à défaut de consentement exprimé, la loi autorisait déjà le prélèvement d’organes. Mais cela se faisait toujours en consultant les proches, notamment pour s’assurer que le défunt n’y était pas totalement opposé. Les médecins pouvaient ainsi recueillir sinon le souhait du défunt, du moins celui de la famille. Mais devant le nombre insuffisant de greffons disponibles (les donneurs n’ayant pas expressément donné leur consentement n’étant pas prélevés), il a été envisagé qu’une loi imposant le contraire ferait mathématiquement augmenter leur nombre (+25% selon le député) : il faudra donc signaler officiellement qu’on refuse de donner ses organes pour être assuré de l’intégrité de son défunt corps. L’augmentation attendue compte en fait sur les oublis de déclaration des réfractaires au don d’organe.
Les proches ne seront plus consultés mais seulement informés du prélèvement et ne devraient pas être en mesure de le refuser. Selon Jean-Louis Touraine, cela évitera aux familles de se poser un cas de conscience dans un moment difficile de deuil. Bien entendu, encore une fois c’est pour notre bien.
Que le prélèvement d’organes sauve des vies est un fait incontestable, mais peut-on le rendre obligatoire sous ce seul prétexte, et ne plus laisser aux proches ou au défunt le « bénéfice » du doute ou de la réticence ?
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Don d’organes : votre corps ne vous appartient plus | Contrepoints
mais notre corps ca fait longtemps qu ils nous appartient plus il appartientUn amendement à la loi de santé, adopté vendredi dernier, prévoit que les proches ne seront plus consultés avant le prélèvement d’organes du défunt.
Déposé par le Professeur Jean-Louis Touraine et Michelle Delaunay, et adopté vendredi, un amendement soulève bien des inquiétudes. Il ne sera plus demandé aux proches si le défunt avait exprimé un souhait. Le prélèvement sera légalement et automatiquement la « norme » par défaut.
Le député J.-L. Touraine est déjà à l’origine de plusieurs idées qui ont déjà fait parler d’elles notamment la neutralité des paquets de cigarettes1. Jusqu’à présent, ces lois décidées « pour notre bien », ne portaient pas atteinte à la personne.
C’était sans compter l’inventivité des socialistes, jamais en panne d’idée pour contraindre l’individu à entrer dans le cadre souhaité. L’atteinte à l’intégrité corporelle constitue une première en matière d’intrusion dans le domaine privé.
Jusqu’ici, à défaut de consentement exprimé, la loi autorisait déjà le prélèvement d’organes. Mais cela se faisait toujours en consultant les proches, notamment pour s’assurer que le défunt n’y était pas totalement opposé. Les médecins pouvaient ainsi recueillir sinon le souhait du défunt, du moins celui de la famille. Mais devant le nombre insuffisant de greffons disponibles (les donneurs n’ayant pas expressément donné leur consentement n’étant pas prélevés), il a été envisagé qu’une loi imposant le contraire ferait mathématiquement augmenter leur nombre (+25% selon le député) : il faudra donc signaler officiellement qu’on refuse de donner ses organes pour être assuré de l’intégrité de son défunt corps. L’augmentation attendue compte en fait sur les oublis de déclaration des réfractaires au don d’organe.
Les proches ne seront plus consultés mais seulement informés du prélèvement et ne devraient pas être en mesure de le refuser. Selon Jean-Louis Touraine, cela évitera aux familles de se poser un cas de conscience dans un moment difficile de deuil. Bien entendu, encore une fois c’est pour notre bien.
Que le prélèvement d’organes sauve des vies est un fait incontestable, mais peut-on le rendre obligatoire sous ce seul prétexte, et ne plus laisser aux proches ou au défunt le « bénéfice » du doute ou de la réticence ?
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