En france, la parole raciste se banalise

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
comme beaucoup se convertissent on peut "mixer"
Pas obligatoirement non‑plus. La mixité religieuse existe aussi. Seulement, elles/eux, on ne les entends pas, elles/ils ne vont pas le crier sur tout les toits. La parole xénophobe fait plus de bruit que la vie tranquille des gens qui ne le sont pas.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Pedo je connais .
La liberté d'expression en France n'inclut pas légalement la parole raciste . Et l'attaque ad hominem est détestable . Enfin j'ai discuté avec l'intéressé , il a été courtois , lui .
C’est difficile à entendre, mais si. C’est l’incitation à la haine qui condamnée, pas la parole raciste. Un raciste anti‑Chinois peut déblatérer tous les clichés qu’il veut, il en a le droit, dans le cadre de la liberté d’expression. Mais s’il vient à avoir des discours présentant les Chinois comme un danger imminent à éliminer (*), là, il est condamnable.

(*) Juste un exemple. Les présenter comme étant tous des criminels ou des tortionnaires ou des psychopathes, serait un autre exemple. L’appréciation peut être subjective aussi, et tenir compte de l’audience, de la répétition, du média utilisé, etc ; tout cela, pour apprécier l’impacte d’une parole et la juger en tenant compte de cet impact.

Ça s’appelle la liberté d’expression, qui n’est pas régit pas la bienpensance d’une partie ou d’une autre. Elle s’applique à tout le monde, même aux gens qu’on aime pas ou qui disent des choses qu’on aime pas. C’est une nécessite logique, sinon la liberté d’expression ne pourrait même pas exister, et elle serait au lieu de ça, le monopole d’une parole, c’est à dire le contraire de la liberté d’expression.

Il ne faut pas non‑plus comprendre que la liberté d’expression cautionne une parole plus qu’une autre, elle se comprends avec neutralité. Elle permet aussi de répondre à ce qui ne nous plait pas. Mais là encore, sans que ce ne soit un monopole, car les gens qui ne nous plaisent pas, ont ce droit aussi.
 
Dernière édition:
Avant l'antiracisme n'était pas un bizness , il n'y avait pas de statistiques, ni d'indicateurs

Avant les immigrés se faisaient traiter de bougnoules et bicos ou bamboulas ouvertement. Certains ont vécus dans des bidonvilles, des foyers et des logements insalubres. Avant il n'y avait pas une mosquée ou une boucherie Hallal dans chaque quartier en France. Pourtant l'ancienne génération d’immigrés ne se plaignait pas . Ils respectaient les règles et lois du pays accueillant et ne se victimisaient pas. C’était pas mieux avant.

Ils se plaignaient mais personne pour leur tendre la main, alors ils ont fait avec c'est tout.
Et pour eux les choses étaient clairs, la France c'était juste pour y gagner sa vie, leur sociabilité, leur famille, leurs amours etc... étaient au sein de leurs communauté et au pays.
 
6 minutes après avoir ouvert ton topic, tu te plains déjà de l’absence de réactions?:eek:
Bah y a 30 ans que j'entends dire que la parole raciste se banalise...(ce qui me fait marrer quand on connait les mentalités des Français avant ces 30 dernières années)

Exact c'est pas nouveau du tout, mais c'est juste encore un énième rapport d'une commission Théodule qui pourrira sur une étagère d'un ministère et qui ne fera rien avancer du tout.
 

droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
C’est difficile à entendre, mais si. C’est l’incitation à la haine qui condamnée, pas la parole raciste. Un raciste anti‑Chinois peut déblatérer tous les clichés qu’il veut, il en a le droit, dans le cadre de la liberté d’expression. Mais s’il vient à avoir des discours présentant les Chinois comme un danger imminent à éliminer (*), là, il est condamnable.

(*) Juste un exemple. Les présenter comme étant tous des criminels ou des tortionnaires ou des psychopathes, serait un autre exemple. L’appréciation peut être subjective aussi, et tenir compte de l’audience, de la répétition, du média utilisé, etc ; tout cela, pour apprécier l’impacte d’une parole et la juger en tenant compte de cet impact.

Ça s’appelle la liberté d’expression, qui n’est pas régit pas la bienpensance d’une partie ou d’une autre. Elle s’applique à tout le monde, même aux gens qu’on aime pas ou qui disent des choses qu’on aime pas. C’est une nécessite logique, sinon la liberté d’expression ne pourrait même pas exister, et elle serait au lieu de ça, le monopole d’une parole, c’est à dire le contraire de la liberté d’expression.

Il ne faut pas non‑plus comprendre que la liberté d’expression cautionne une parole plus qu’une autre, elle se comprends avec neutralité. Elle permet aussi de répondre à ce qui ne nous plait pas. Mais là encore, sans que ce ne soit un monopole, car les gens qui ne nous plaisent pas, ont ce droit aussi.
La parole , injure raciale tombe sous le coup de la loi

http://www.francetv.fr/temoignages/racisme-ordinaire/ce-que-dit-la-loi_96
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Non la je parle de la parole , injure raciale .
L'une peut passer par l'autre .
Oui, je crois que je vois, même si je ne suis pas très sûr.

Le problème, c’est que ce n’est pas toujours évident à jauger (*). Il y a le langage familier, qui pour certaines gens est une injure, sans toujours en être, et il y a des manières d’insulter les gens poliement, des insultes qui n’en ont pas l’apparence à première vue. Il y a aussi la provocation, la désinformation volontaire, l’attaque personnelle, etc. Parler d’injure, n’est même pas la question, tellement il y en a de différent niveau et de différentes nature, et tellement il en reste à côté, des problèmes en plus de l’injure. L’incitation à la haine, est déjà plus facile à caractériser, et c’est là qu’est l’urgence, et c’est d’ailleurs pour ça que l’on peut concrètement déposer une plainte. Si un jour ce problème est réglé, on pourra rêver au luxe de déposer des plaintes pour injure gratuite.

(*) Et au passage, pour déposer une plainte pour injure, bon courage … j’ai voulu essayer au tout début, quand je venais d’avoir le Net. C’était pour des insultes envers les Africains immigrés en france, et c’est même une association de défense de leurs droits qui m’a rit au nez quand j’ai voulu signaler des insultes à leur égard sur un forum.

Les problèmes, je les caractériserais plutôt autrement : attaque personnelle, incitation à la haine / à l’agression / au dénit de droit, recherche du conflit pour le conflit (ce qui inclut les dialogues de sourds délibérés), entretient d’une psychose.
 
Tu es raciste ? Faut croire, pour sortir un cliché pareil …
Ce n'est pas un cliché, je te signale que l'Islam interdit à une femme musulmane de se marier avec un non-musulman. (Et bizarrement pas l'inverse...) Et pourtant, comme bien des choses, ce n'est même pas spécifié dans le coran. Je connais personnellement des femmes que leur famille ont renié après un mariage mixte. Et elles ont un sacré caractère pour avoir résisté à la pression familiale. Je suis pas raciste, je suis anti dogme débile.
 
Ce n'est pas un cliché, je te signale que l'Islam interdit à une femme musulmane de se marier avec un non-musulman. (Et bizarrement pas l'inverse...) Et pourtant, comme bien des choses, ce n'est même pas spécifié dans le coran. Je connais personnellement des femmes que leur famille ont renié après un mariage mixte. Et elles ont un sacré caractère pour avoir résisté à la pression familiale. Je suis pas raciste, je suis anti dogme débile.

Visiblement tu es athée. Mais ne croire en rien, c'est croire au néant, au fait que nous sommes le fruit du hasard. C'est une forme de croyance et visiblement tu es plutôt extrêmiste dans tes positions vu que tu ne tolères pas les autres idées ("dogme débile"). Tu agis comme certains croyants convaincus de détenir la vérité et tu es certain que les autres sont dans l'erreur.
Ne te fait donc pas défenseur de la tolérance quand tu es toi même intolérant.
Pour en revenir au racisme en France ça parle d'intégration, d'assimilation etc......"les arabes et les musulmans ne veulent pas s'intégrer blablabla......". Prenons le cas inverse:
Imaginons que la France coule, l'économie est au plus bas, plus de travail, plus de perspectives.
L'Afrique en revanche sort enfin la tête de l'eau. Du coup Michel et Nathalie Terrier prennent leur valise et vont s'installer au Mali pour offrir un avenir à leurs enfants.
Penses-tu que dans un souci d'intégration et d'assimilation, ce couple appelera son premier enfant Bakari ou Mamadou ?
Se convertiront-ils à l'Islam ? Renonceront-ils à leur culture française pour adopter à 100% la façon de vivre des maliens ?
On connaît la réponse entre nous......Déjà en vacances à l'autre bout du monde, beaucoup de touristes français remuent ciel et terre pour trouver une boîte de fromage et une bouteille de vin rouge.
 
Ce n'est pas un cliché, je te signale que l'Islam interdit à une femme musulmane de se marier avec un non-musulman. (Et bizarrement pas l'inverse...) Et pourtant, comme bien des choses, ce n'est même pas spécifié dans le coran. Je connais personnellement des femmes que leur famille ont renié après un mariage mixte. Et elles ont un sacré caractère pour avoir résisté à la pression familiale. Je suis pas raciste, je suis anti dogme débile.

Si, l'inverse est clairement interdit dans le Coran, mais ils ont trouvés une ou deux hadith qui les arrangeait bien leur permettant de butiner à droite à gauche...
 
Visiblement tu es athée. Mais ne croire en rien, c'est croire au néant, au fait que nous sommes le fruit du hasard. C'est une forme de croyance et visiblement tu es plutôt extrêmiste dans tes positions vu que tu ne tolères pas les autres idées ("dogme débile"). Tu agis comme certains croyants convaincus de détenir la vérité et tu es certain que les autres sont dans l'erreur.
Ne te fait donc pas défenseur de la tolérance quand tu es toi même intolérant.
Pour en revenir au racisme en France ça parle d'intégration, d'assimilation etc......"les arabes et les musulmans ne veulent pas s'intégrer blablabla......". Prenons le cas inverse:
Imaginons que la France coule, l'économie est au plus bas, plus de travail, plus de perspectives.
L'Afrique en revanche sort enfin la tête de l'eau. Du coup Michel et Nathalie Terrier prennent leur valise et vont s'installer au Mali pour offrir un avenir à leurs enfants.
Penses-tu que dans un souci d'intégration et d'assimilation, ce couple appelera son premier enfant Bakari ou Mamadou ?
Se convertiront-ils à l'Islam ? Renonceront-ils à leur culture française pour adopter à 100% la façon de vivre des maliens ?
On connaît la réponse entre nous......Déjà en vacances à l'autre bout du monde, beaucoup de touristes français remuent ciel et terre pour trouver une boîte de fromage et une bouteille de vin rouge.

Pas faux.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Ce n'est pas un cliché, je te signale que l'Islam interdit à une femme musulmane de se marier avec un non-musulman.
L’Islam selon qui ? Selon toi ? Tu parles comme si les Musulman(e)s ne seraient pas capables de penser et seraient comme des robots.

(Et bizarrement pas l'inverse...) […]
Le sexisme ordinnaire, pas la religion qui ne l’a pas inventé.
 
Visiblement tu es athée. Mais ne croire en rien, c'est croire au néant, au fait que nous sommes le fruit du hasard. C'est une forme de croyance et visiblement tu es plutôt extrêmiste dans tes positions vu que tu ne tolères pas les autres idées ("dogme débile"). Tu agis comme certains croyants convaincus de détenir la vérité et tu es certain que les autres sont dans l'erreur.
Ne te fait donc pas défenseur de la tolérance quand tu es toi même intolérant.

Lorsqu'on prétend que l'athéisme est une croyance, c'est la même chose que prétendre que l'abstinence est une position sexuelle.
 
Ta comparaison n'est vraiment pas terrible. Désolé....

Parce que ça parle de sexe ? Oh, je peux en faire une autre si tu veux.

Dire que l'athéisme est une croyance (inversée), c'est comme dire que le froid est le contraire du chaud.

Aux dernières nouvelles, ce n'est pas le cas. Tout comme l'obscurité n'est pas le contraire de la lumière.
 
Parce que ça parle de sexe ? Oh, je peux en faire une autre si tu veux.

Dire que l'athéisme est une croyance (inversée), c'est comme dire que le froid est le contraire du chaud.

Aux dernières nouvelles, ce n'est pas le cas. Tout comme le noir n'est pas le contraire de la lumière.

Non on s'est mal compris dans le sens où l'Athéisme est bien une forme de croyance. C'est croire en l'absence de Dieu.
Je pense que tu confonds l'Athéisme avec une personne qui ne rejette aucune possibilité et qui reste avec un point d'interrogation à l'esprit. L'Athée, lui rejette clairement Dieu comme explication. C'est croire en la non-existence de Dieu:

"L’athéisme est une attitude ou une doctrine qui nie1 l’existence de quelque dieu ou divinité que ce soit, contrairement, par exemple, au déisme et au théisme qui soutiennent ces existences, ou à l’agnosticisme qui considère que personne ne peut répondre à ces questions. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu »."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Athéisme
 
L’Islam selon qui ? Selon toi ? Tu parles comme si les Musulman(e)s ne seraient pas capables de penser et seraient comme des robots.


Le sexisme ordinaire, pas la religion qui ne l’a pas inventé.

"Dans l'islam, Le mariage mixte est toléré entre un homme musulman et une femme non musulmane, pourvu qu’elle appartienne à une religion du Livre, le mariage mixte est absolument illicite en ce qui concerne les femmes musulmanes et des hommes non-musulmans. Pour une musulmane, épouser un non musulman, revient à se couper de façon irrémédiable de sa communauté religieuse, sauf à obtenir de son conjoint une improbable conversion à l’Islam.
La religion représente donc de façon incontestable, dans le cas des musulmans, un obstacle au mariage mixte, tout au moins en ce qui concerne les femmes, car seul le mari transmet la religion. Il est défendu à la femme musulmane d'épouser un non musulman : "art. 58 : Le mariage du non-musulman avec une musulmane est nul", afin précisément que la progéniture ne se détache pas de la communauté musulmane par effet de ses propres lois, et aussi pour que le mariage et tous les droits qui en découlent soient régis par la législation musulmane.

Le Coran reste muet au sujet du mariage d'un juif ou d'un chrétien avec une musulmane. Mais la tradition arabo-musulmane opère une différence radicale entre le mariage mixte des hommes et le mariage mixte des femmes. Ce dernier, seul, fait l’objet d’un interdit rigoureux, l’homme musulman étant autorisé à épouser une non musulmane, pourvu qu’elle appartienne à une religion « du Livre ».

L’interdit qui pèse sur le mariage mixte des femmes s’impose avec une telle évidence qu’il n’offre guère matière à commentaire. Une femme épousée est une femme gagnée au groupe, alors qu’une femme donnée en mariage est une femme perdue pour le groupe.
"
J'ai déjà dit que j'étais agnostique, non croyant. J'attends qu'on me démontre scientifiquement l'existence ou l'inexistence de Dieu, d'une force créatrice, intelligente ou non. En attendant je ne prend pas partie. Et je vais attendre un moment je pense. Par contre, je ne crois absolument pas que ce Dieu se soit adressé aux hommes, et de fait je n'accorde aucun caractère transcendantal aux textes religieux. Je ne parle même pas de toutes les interprétations qu'on peut faire dire aux textes, tellement ils sont flous. Ma manière de penser est certainement plus proche de l'athéisme, même si je n'exclue pas l'existence d'un "Dieu".
J'ai du mal à tolérer des gens qui me rejettent de facto pour ce que je suis. La mixité se fera, mais ça devra passer par l'abandon de ce genre de préjugés de déshonneur. Les musulmans ne sont ni meilleurs ni moins bons que les autres.
 
Non on s'est mal compris dans le sens où l'Athéisme est bien une forme de croyance. C'est croire en l'absence de Dieu.
Je pense que tu confonds l'Athéisme avec une personne qui ne rejette aucune possibilité et qui reste avec un point d'interrogation à l'esprit. L'Athée, lui rejette clairement Dieu comme explication. C'est croire en la non-existence de Dieu:

"L’athéisme est une attitude ou une doctrine qui nie1 l’existence de quelque dieu ou divinité que ce soit, contrairement, par exemple, au déisme et au théisme qui soutiennent ces existences, ou à l’agnosticisme qui considère que personne ne peut répondre à ces questions. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu »."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Athéisme

Je ne confond pas l'athéisme et l'agnosticisme, je fais très bien la différence entre les deux.

L'athéisme n'est pas une croyance puisque c'est une absence de croyance. Si je reprends mon exemple :

Tu ne peux pas "croire" dans le froid puisque cette notion n'existe pas en réalité. Elle n'a pas, en sciences, d'existence tangible. Il s'agit de l'absence (ou de la diminution) d'une notion qui elle existe : la chaleur.

Dans la même idée, tu ne peux pas croire dans l'absence de croyance.
 
Je ne confond pas l'athéisme et l'agnosticisme, je fais très bien la différence entre les deux.

L'athéisme n'est pas une croyance puisque c'est une absence de croyance. Si je reprends mon exemple :

Tu ne peux pas "croire" dans le froid puisque cette notion n'existe pas en réalité. Elle n'a pas, en sciences, d'existence tangible. Il s'agit de l'absence (ou de la diminution) d'une notion qui elle existe : la chaleur.

Dans la même idée, tu ne peux pas croire dans l'absence de croyance.

Si tu demandes à un Athée s'il croit en Dieu ou pas, il va te répondre "Je crois qu'il n'y a pas de Dieu".
Il "CROIT" qu'il n'y a pas de Dieu.
S'il y avait absence de croyance comme tu le dis il répondrait "Je ne sais pas".
 
Si tu demandes à un Athée s'il croit en Dieu ou pas, il va te répondre "Je crois qu'il n'y a pas de Dieu".
Il "CROIT" qu'il n'y a pas de Dieu.
S'il y avait absence de croyance comme tu le dis il répondrait "Je ne sais pas".

"Je ne sais pas" est la réponse de l'agnostique. L'agnostique étant coincé entre les deux en réalité. L'agnostique ne sait pas s'il a la foi ou s'il ne l'a pas. Ou alors il s'en fout (c'est une autre possibilité).

L'athéisme est l'absence de croyance. Dire "Dieu n'existe pas" équivaut à dire, pour lui, "le froid n'existe pas". Tu ne peux pas croire dans la non-existence de quelque chose, c'est antinomique.

Ce n'est là que la simple application des mathématiques des prédicats. La logique donc (d'un strict point de vue mathématique).

Tu peux créer un ensemble regroupant différentes "chaleurs" (sous forme de température par exemple) et tu peux créer dans cet ensemble des sous-ensembles d'intervalles comme tu le souhaites. Et réaliser différentes opérations sur ces sous-ensembles. Tu ne peux pas créer par contre un ensemble de différents "froid".

Il en va de même pour la croyance. Tu peux créer un ensemble appelé croyance dans lequel tu regrouperas les différentes croyances. Tu peux aussi en faire des sous-ensembles et réaliser des opérations logiques entre ces sous-ensembles. Christianisme, Hindouisme, Islam, etc... Et chacun de ces sous-ensembles sont eux aussi divisibles (christianisme inclut les sous-ensembles protestantisme, catholicisme, etc...).

Mais dans l'ensemble "croyance" (ou foi) tu ne peux pas y inclure un ensemble "absence de croyance" (ou absence de foi). mathématiquement, et donc logiquement, cela ne fonctionne pas.

La phrase "croire qu'il n'y a pas de Dieu" est la même chose que de dire "il a la foi qu'il n'existe pas de foi". Ce qui est une construction illogique. Ce serait comme un état binaire qui est à la fois 1 et 0. En physique quantique, ça peut fonctionner, en logique, non.
 
"Je ne sais pas" est la réponse de l'agnostique. L'agnostique étant coincé entre les deux en réalité. L'agnostique ne sait pas s'il a la foi ou s'il ne l'a pas. Ou alors il s'en fout (c'est une autre possibilité).

Faux ! L'agnostique répondra "personne ne peut dire s'il y a un Dieu ou pas".
Il est convaincu que personne n'a de réponse et que toutes les explications qu'on lui apportera sont un mensonge.
Il "croit" que personne n'a la réponse.

L'athéisme est l'absence de croyance. Dire "Dieu n'existe pas" équivaut à dire, pour lui, "le froid n'existe pas". Tu ne peux pas croire dans la non-existence de quelque chose, c'est antinomique.
.

Tu te prends la tête sur une formulation grammaticale:
Dire "Je crois en Dieu" ou "Je ne crois pas en l'absence d'un Dieu" c'est la même chose.
De la même façon l'Athée peut dire "Je crois qu'il n'y pas de Dieu" ou "Je ne crois pas en l'existence de Dieu".
L'Athée est convaincu qu'il n'y a pas de Dieu, il croit en un monde sans Dieu.

La phrase "croire qu'il n'y a pas de Dieu" est la même chose que de dire "il a la foi qu'il n'existe pas de foi".

D'après toi une personne ne peut pas dire "Je crois qu'il n'y a pas de Dieu" ???

Athée n'est pas le mot que tu cherches. Il n'y a pas de mots pour définir le genre de personnes auxquelles on pense tous les 2: Une personne qui ne sait pas ce qu'il y a autour de nous. Une personne qui ne sait pas s'il y a un Dieu ou pas, qui ne sait pas si quelqu'un peut apporter cette réponse, qui ne rejette aucune théorie, aucune religion sans pour autant y croire.
Je ne sais pas s'il est possible d'être comme ça.
 

nordia

🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
@samy74

Se demander si l’athéisme est une religion, c’est se poser une question délicate, car tout dépend de ce que l’on entend par athéisme et par religion. Si toutefois, on prend ces deux termes dans leur acceptation rigoureuse, il semble bien qu’il faille dire que l’athéisme est une forme de religion.

Pour bien le voir, commençons par expliciter le terme de religion. Parce que les sociétés occidentales sont marquées par le christianisme qui met Dieu au de la religion, la notion de religion est devenue synonyme de « Ensemble de rapports entre Dieu et les hommes ». Toutefois, si l’on veut pouvoir inclure le bouddhisme ou d’autres spiritualités qui sont clairement des religions, il convient de définir de manière plus rigoureuse ce terme.

On dira alors que la religion désigne « un ensemble structuré de rapports entre les hommes et le sacré ». Ces rapports sont généralement structurés par :

des croyances communes ;
des pratiques communes ;
une histoire fondatrice partagée.

Ainsi, d’une manière qui étonne ceux qui ne sont pas habitués à la sociologie des religions, le foot est considéré par les spécialistes des religions comme l’exemple même d’une religion moderne. Les hommes communient autour d’un culte rendu à la compétition et la performance. On y croit aux valeurs de solidarité et d’esprit d’équipe, à l’endurance, à la force, etc. L’histoire sainte est celle du club de foot que l’on supporte et les pratiques seront liés à la télévision, au journal L’équipe, etc. La religion est donc d’abord un concept sociologique et non pas une attitude mentale. Se demander si l’athéisme est une religion, c’est donc l’étudier en sociologue.


Spiritualité et athéisme
Le sacré est aussi présent dans l’athéisme
L’athéisme peut-il entrer dans cette définition de la religion ? Tout dépend du type d’athéisme considéré. Par exemple, l’anticléricalisme entre ainsi parfaitement dans cette définition : on y trouve une histoire fondatrice (celle de la séparation entre l’Église et l’État) ; des pratiques communes (mariages civils, baptêmes civils, etc) et des croyances communes (la liberté individuelle, la tolérance deviennent des valeurs sacrées). Inversement, l’agnosticisme n’est pas une religion : puisqu’il s’agit d’un athéisme implicite non revendiqué, on n’y trouve pas de pratiques clairement définies. De même, le laïcisme tend à devenir une religion au fur et à mesure qu’elle se rapproche de l’anticléricalisme.

Si l’on prend maintenant, l’athéisme au sens strict, c’est à dire « le rejet explicite et revendiqué d’une quelconque réalité surnaturelle (Nirvana, Dieu, éternité) et des propriétés qui lui sont attribuées (providence ; absolu ; simplicité ; etc.) ». Dans l’athéisme on trouve clairement
une communion des hommes autour d’une symbolique du sacré : notion de fraternité, sacralisation de la liberté individuelle et de la connaissance des croyances communes : vision matérialiste du monde ; morale laïque centrée autour de la tolérance ; sens donné à l’histoire à travers la notion de progrès. une histoire sainte de type hagiographique avec ses héros et ses drames : Darwin ; Russell ; Einstein ; la lutte entre l’obscurantisme religieux et la lumière de la science.

L’athéisme est-il une religion ?
Apparemment non, car l’athéisme serait une simple croyance négative. Mais pour répondre à la question, l’athéisme doit être ici considéré non comme simple position philosophique mais comme une attitude sociologique.

une communion des hommes autour d’une symbolique du sacré : notion de fraternité, sacralisation de la liberté individuelle et de la connaissance
des croyances communes : vision matérialiste du monde ; morale laïque centrée autour de la tolérance ; sens donné à l’histoire à travers la notion de progrès.
une histoire sainte de type hagiographique avec ses héros et ses drames : Darwin ; Russell ; Einstein ; la lutte entre l’obscurantisme religieux et la lumière de la science.

C’est autour de la notion de pratique qu’il y a le plus d’interrogations. Dans la mesure où il n’y a pas d’athéisme institutionnalisé, on ne trouve pas de rite officiel. Notons toutefois les points suivants :

on trouve parfois des rites de substitution (baptêmes civils, etc).
des rites se développent en marge des religions et qui accompagnent probablement l’essor de l’athéisme : incinération des personnes ; mariages civils ; rite de passage scolaire (baccalauréat), cérémonies républicaines.
certaines pratiques religieuses sont combattues (prosélytisme, processions, port de signes religieux).
aujourd’hui l’athéisme qui se revendique tend à s’organiser de manière plus positive en associations dotés de réelles pratiques (illuminaci, positive atheism, etc).

En conclusion, on dira que plus l’athéisme est revendiqué et plus il est religieux.
 
Faux ! L'agnostique répondra "personne ne peut dire s'il y a un Dieu ou pas".
Il est convaincu que personne n'a de réponse et que toutes les explications qu'on lui apportera sont un mensonge.
Il "croit" que personne n'a la réponse.

Pour en avoir discuter avec de nombreux agnostiques, non, ce n'est pas leur position. Leur position est qu'eux, à titre personnel, ne savent pas si Dieu existe ou non. La plupart exprimant d'ailleurs quelque chose comme "on verra bien le moment venu".

Tu te prends la tête sur une formulation grammaticale:
Dire "Je crois en Dieu" ou "Je ne crois pas en l'absence d'un Dieu" c'est la même chose.
De la même façon l'Athée peut dire "Je crois qu'il n'y pas de Dieu" ou "Je ne crois pas en l'existence de Dieu".
L'Athée est convaincu qu'il n'y a pas de Dieu, il croit en un monde sans Dieu.

Je me prends la tête sur une question de formulation parce que la formulation fait tout, justement. Parce qu'une construction est ou n'est pas logique. Cela répond à des règles clairement définie.

Un athée pense (plutôt que croit) que Dieu n'existe pas. Ce qui est différent de "croire". L'un implique la foi, l'autre non. Croire en l'incroyance n'est pas un prédicat logique valide.

D'après toi une personne ne peut pas dire "Je crois qu'il n'y a pas de Dieu" ???

Tout le monde dit ce qu'il a bien envie de dire. Quand tu vois comment certains s'expriment parfois, on voit bien qu'il est possible de dire ce que l'on veut.

Cependant, il existe un certains nombres de règles que l'on a découvert au sein des mathématiques afin de vérifier si un discours (un prédicat en réalité) est ou non logiquement valide. Ensuite, on peut vérifié s'il est vrai ou faux.

Une phrase peut être logiquement construite tout en étant fausse. "Mon chien vole dans le ciel" respecte les règles logiques des prédicats. Et la valeur de ce prédicat précis est : Faux.

Croire en l'absence de croyance, par contre, n'est pas un prédicat valide. Cela ne permet pas une réponse de type "vrai" ou "faux". Grammaticalement, c'est une construction parfaitement valide. En logique par contre, c'est une construction qui n'a pas de sens.

Athée n'est pas le mot que tu cherches. Il n'y a pas de mots pour définir le genre de personnes auxquelles on pense tous les 2: Une personne qui ne sait pas ce qu'il y a autour de nous. Une personne qui ne sait pas s'il y a un Dieu ou pas, qui ne sait pas si quelqu'un peut apporter cette réponse, qui ne rejette aucune théorie, aucune religion sans pour autant y croire.
Je ne sais pas s'il est possible d'être comme ça.

C'est l'agnosticisme ça. Tu en donnes la définition même en fait. Suffit d'aller voir dans un dictionnaire.
 
@samy74

Se demander si l’athéisme est une religion, c’est se poser une question délicate, car tout dépend de ce que l’on entend par athéisme et par religion. Si toutefois, on prend ces deux termes dans leur acceptation rigoureuse, il semble bien qu’il faille dire que l’athéisme est une forme de religion.

Pour bien le voir, commençons par expliciter le terme de religion. Parce que les sociétés occidentales sont marquées par le christianisme qui met Dieu au de la religion, la notion de religion est devenue synonyme de « Ensemble de rapports entre Dieu et les hommes ». Toutefois, si l’on veut pouvoir inclure le bouddhisme ou d’autres spiritualités qui sont clairement des religions, il convient de définir de manière plus rigoureuse ce terme.

On dira alors que la religion désigne « un ensemble structuré de rapports entre les hommes et le sacré ». Ces rapports sont généralement structurés par :

des croyances communes ;
des pratiques communes ;
une histoire fondatrice partagée.

Ainsi, d’une manière qui étonne ceux qui ne sont pas habitués à la sociologie des religions, le foot est considéré par les spécialistes des religions comme l’exemple même d’une religion moderne. Les hommes communient autour d’un culte rendu à la compétition et la performance. On y croit aux valeurs de solidarité et d’esprit d’équipe, à l’endurance, à la force, etc. L’histoire sainte est celle du club de foot que l’on supporte et les pratiques seront liés à la télévision, au journal L’équipe, etc. La religion est donc d’abord un concept sociologique et non pas une attitude mentale. Se demander si l’athéisme est une religion, c’est donc l’étudier en sociologue.


Spiritualité et athéisme
Le sacré est aussi présent dans l’athéisme
L’athéisme peut-il entrer dans cette définition de la religion ? Tout dépend du type d’athéisme considéré. Par exemple, l’anticléricalisme entre ainsi parfaitement dans cette définition : on y trouve une histoire fondatrice (celle de la séparation entre l’Église et l’État) ; des pratiques communes (mariages civils, baptêmes civils, etc) et des croyances communes (la liberté individuelle, la tolérance deviennent des valeurs sacrées). Inversement, l’agnosticisme n’est pas une religion : puisqu’il s’agit d’un athéisme implicite non revendiqué, on n’y trouve pas de pratiques clairement définies. De même, le laïcisme tend à devenir une religion au fur et à mesure qu’elle se rapproche de l’anticléricalisme.

Si l’on prend maintenant, l’athéisme au sens strict, c’est à dire « le rejet explicite et revendiqué d’une quelconque réalité surnaturelle (Nirvana, Dieu, éternité) et des propriétés qui lui sont attribuées (providence ; absolu ; simplicité ; etc.) ». Dans l’athéisme on trouve clairement
une communion des hommes autour d’une symbolique du sacré : notion de fraternité, sacralisation de la liberté individuelle et de la connaissance des croyances communes : vision matérialiste du monde ; morale laïque centrée autour de la tolérance ; sens donné à l’histoire à travers la notion de progrès. une histoire sainte de type hagiographique avec ses héros et ses drames : Darwin ; Russell ; Einstein ; la lutte entre l’obscurantisme religieux et la lumière de la science.

L’athéisme est-il une religion ?
Apparemment non, car l’athéisme serait une simple croyance négative. Mais pour répondre à la question, l’athéisme doit être ici considéré non comme simple position philosophique mais comme une attitude sociologique.

une communion des hommes autour d’une symbolique du sacré : notion de fraternité, sacralisation de la liberté individuelle et de la connaissance
des croyances communes : vision matérialiste du monde ; morale laïque centrée autour de la tolérance ; sens donné à l’histoire à travers la notion de progrès.
une histoire sainte de type hagiographique avec ses héros et ses drames : Darwin ; Russell ; Einstein ; la lutte entre l’obscurantisme religieux et la lumière de la science.

C’est autour de la notion de pratique qu’il y a le plus d’interrogations. Dans la mesure où il n’y a pas d’athéisme institutionnalisé, on ne trouve pas de rite officiel. Notons toutefois les points suivants :

on trouve parfois des rites de substitution (baptêmes civils, etc).
des rites se développent en marge des religions et qui accompagnent probablement l’essor de l’athéisme : incinération des personnes ; mariages civils ; rite de passage scolaire (baccalauréat), cérémonies républicaines.
certaines pratiques religieuses sont combattues (prosélytisme, processions, port de signes religieux).
aujourd’hui l’athéisme qui se revendique tend à s’organiser de manière plus positive en associations dotés de réelles pratiques (illuminaci, positive atheism, etc).

En conclusion, on dira que plus l’athéisme est revendiqué et plus il est religieux.

Quand on reprend un texte écrit par un autre, on fournit la source avec. Ca permet de savoir qui parle et de pouvoir juger si oui ou non cette personne est compétente. Ou si elle a, ou non, un parti pris.

La source se trouve donc ici :

http://theopedie.com/L-atheisme-est-il-une-religion.html

Qui est un site chrétien écrit par deux membres de l'ordre des frères prêcheurs... Y a donc peu de risque de les voir aller plus loin que la doctrine "dure" du Vatican étant donnée l'histoire des dominicains et de leur ordre. Je veux dire, le nom de leur ordre veut tout dire : il s'agit avant tout de prêcheurs. Donc de personnes cherchant à convaincre les autres que leurs idées sont les meilleures. Pas de le prouver masi de convaincre, ce qui sont deux choses différentes.

Si tu cherches des sources plus neutres, autant aller voir du coté des Jésuites. Tout autant "fils du Vatican" qu'ils sont, ils ont au moins le mérite de mettre l'intelligence et la logique au centre de leur doctrine.
 

nordia

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Quand on reprend un texte écrit par un autre, on fournit la source avec. Ca permet de savoir qui parle et de pouvoir juger si oui ou non cette personne est compétente. Ou si elle a, ou non, un parti pris.

La source se trouve donc ici :

http://theopedie.com/L-atheisme-est-il-une-religion.html

Qui est un site chrétien écrit par deux membres de l'ordre des frères prêcheurs... Y a donc peu de risque de les voir aller plus loin que la doctrine "dure" du Vatican étant donnée l'histoire des dominicains et de leur ordre. Je veux dire, le nom de leur ordre veut tout dire : il s'agit avant tout de prêcheurs. Donc de personnes cherchant à convaincre les autres que leurs idées sont les meilleures. Pas de le prouver masi de convaincre, ce qui sont deux choses différentes.

Si tu cherches des sources plus neutres, autant aller voir du coté des Jésuites. Tout autant "fils du Vatican" qu'ils sont, ils ont au moins le mérite de mettre l'intelligence et la logique au centre de leur doctrine.

moi et les liens sa fait deux ensuit pour le texte je ne le vois pas de cette façon il me parait logique
pour être honnête je ne me suis pas aperçue qu'il étais écris par des prêcheurs je l'est lut et me parait cohérent voilà tout
 
Pour en avoir discuter avec de nombreux agnostiques, non, ce n'est pas leur position. Leur position est qu'eux, à titre personnel, ne savent pas si Dieu existe ou non. La plupart exprimant d'ailleurs quelque chose comme "on verra bien le moment venu".

Tes amis peuvent se dire bouddhistes et croire en Jésus que ça ne changerait rien à la définition de ce que sont les bouddhisme et le christiannisme. La définition de l'agnosticisme est ce qu'elle est malgré les croyances de tes amis.
C'est un peu comme tous ces terrosites qui disent tuer au nom de l'Islam...Leurs égarements n'altère en rien l'Islam hormis dans l'esprit des gens dont la connaissance est limitée.


Un athée pense (plutôt que croit) que Dieu n'existe pas. Ce qui est différent de "croire". L'un implique la foi, l'autre non. Croire en l'incroyance n'est pas un prédicat logique valide.

Tu ne saurais parler pour tous les athées. Penser c'est déjà avoir une opinion. A partir de quel moment penser devient croire ? Ne penses-tu pas que parmis les athées certains sont plus convaincus que d'autres de cette théorie ? Comme dans n'importe qu'elle croyance ?. Et l'analogie "croire en l'incroyance" ne convient pas du tout à l'exemple. Croire en la non-existence ou en l'absence est tout à fait possible. Pourquoi auraient-on le droit de croire à la présence de fantômes et non à leur absence ? "pensez-vous qu'il y aient des fantômes dans cette pièce ?" "oui je crois qu'il y en a".... "moi par contre je crois qu'il n'y en a pas".....

C'est l'agnosticisme ça. Tu en donnes la définition même en fait. Suffit d'aller voir dans un dictionnaire.

Les agnostiques prennent partie de croire que les religions ne sont que pures inventions humaines.
Moi j'ai parlé d'un être qui ne refuserait pas les religions en tant que possible vérité...

"Si les agnostiques refusent de se prononcer quant à l'existence d'une intelligence supérieure, ils n'accordent, en revanche, ou du moins tendent à n'accorder, aucune transcendance et aucune valeur sacrée aux religions (prophète, messie, textes sacrés...) et à leurs institutions (clergé, rituels et prescriptions diverses...). Ceux-ci voient en effet les religions comme de pures constructions sociales et culturelles qui auraient surtout pour fonction historique d'assurer la cohésion et l'ordre dans les sociétés humaines traditionnelles via par exemple la menace de l'enfer, la promesse du paradis ou encore la notion de péché..."

http://www.bladi.info/threads/france-raciste-banalise.410274/page-18#post-13958323
 

BrainStorm

Et à part ça, pas d'amalgames ?
Bladinaute averti
L'Athée est convaincu qu'il n'y a pas de Dieu, il croit en un monde sans Dieu.
Heu, l'athée s'en fout complètement de dieu. Pas de dogmes à part ceux de base : ne pas voler, ne pas tuer, dire bonjour à la dame et ne pas se curer le nez en public (surtout au feu rouge).

Je me fous complètement de l'existence ou de l'inexistence d'un dieu. Il est absent de mes équations.

Le religieux a toujours eu des problèmes avec les athées. L'athée, c'est l'impie, l'hérétique, le mécréant. C'est celui qui menace l'ordre des choses mais qui échappe, finalement, à toutes définitions, à tout classement.

Le religieux aime bien classer les gens : cathos, protestants, adventistes, pentecôtistes, chiites, sunnites, ashkénazes, sépharades, j'en passe et des meilleurs.

Le religieux n'aime pas l'athée car il ne peut pas le ranger dans ses petites cases. Et ça l'énerve.

Moi, je suis foutu de citer pas mal d'obédience ( de schisme ) des religions du livre.

Est-ce qu'un religieux, sur ce site, peut-il me citer un seul schisme de l'athéisme ?

Un seul ?
 
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