Je cite :
"Les auteurs de ce rapport sont très clairs, ce rapport non désiré est cédé par la femme lorsqu'il y a un rapport de subordination, un chantage (pour obtenir une promotion par exemple), ou encore une manipulation. Pour eux, cela entre très clairement dans la fameuse zone grise du consentement, celle où quelqu'un ne parvient pas à dire non, mais se sent forcé. Il s'agit en réalité de viol déguisé."
Il s'agit dans ce cas là de viol aggravé. C'est, par contre, beaucoup plus difficile à prouver.
Il ne s'agit pas de vous inventer des propos, il s'agit de bien nommer les choses.
Mais, ça reste un viol, donc une violence.
Je cite :
"Pour celles qui n'ont pas été menacé physiquement, il n'y a pas de viol. Cessons d'insulter les véritables victimes de viols avec ces femmes fragiles. Elles auraient pu dire non, elles donnent raison à ces pervers en cédant."
Je crois qu'il y en a qui ont du mal avec le terme "menacé". Ce que nous suggère l'auteur de ces lignes, c'est que quand les femmes ne résistent pas, c'est qu'il n'y a pas eu viol, et qu'elles sont donc, sous entendu, consentantes.
Moi, j'ai lu et j'ai relu. En substance, c'est que tant qu'on lui a pas montré les gros bras, "il n'y a pas de viol" (sic).
